Les livres sont sortis fertilisés de mots. Cocons de soie. Chapitres à sortir. Page par page. Ils ont dansé au rythme des origines. Les origines qui se dévoilent. Le temps du vent se déroule. Dernier train. Il tire la langue d'un air moqueur au loin. Semant toujours des champs de mots. Une terre aride finalement sécher. Jusqu'à ce que les feuilles tombent des épis. Ils s'égouttent de la tige comme des vaisseaux flottants d'air. Comme de longs doigts de grains durs. Ils serviront au feu des silences.
Salían los libros fecundados de palabras. Capullos de seda. Capítulos a salir. Página a página. Bailaban al ritmo de los orígenes. Los orígenes desgranándose. El viento el tiempo desgranándose. Último tren de tiempo. Saca burlona lengua en la distancia. Siempre campos de siembra de palabras. A secano. A la larga sequía. Hasta que caen las hojas de las mazorcas. Gotean del tallo como barcos flotantes de aire. Como largos dedos de los duros granos. Servirán para el fuego de los silencios.
Nearby horizons inscribed on celluloid projected in the broad shadows
jueves, julio 28, 2022What's left... the feet. Alone... without paths. Showing empty old shoes. Street edges. Do you believe? Serene voice. Voice funds at the edge of bets on the relationship as a lifelong investment with guaranteed profits for the heart. Your earnings open doors open horizons to love. Your sides writing impossible letters keep you right until dawn. Nearby horizons inscribed on celluloid projected in the broad shadows of the rooms where agitated movements of silent breath are whispered.
Des horizons proches inscrits sur du celluloïd projetés dans les larges sombres des salles où se murmurent
jueves, julio 28, 2022Ce qui reste... les pieds. Seul... sans chemins. Montrant de vieilles chaussures vides. bords de rue. crois-tu Voix sereine. Fonds de voix à la pointe des paris sur la relation comme un investissement à vie avec des bénéfices garantis pour le cœur. Vos gains ouvrent des portes qui ouvrent des horizons à l'amour. Vos côtés écrivant des lettres impossibles vous gardent droit jusqu'à l'aube. Des horizons proches inscrits sur du celluloïd projetés dans les larges sombres des salles où se murmurent des mouvements agités de souffles silencieux.
Horizontes cercanos inscritos sobre celuloide proyectados en la amplia penumbra de las salas donde se susurra
jueves, julio 28, 2022A que queda... los pies. Solos... sin caminos. Mostrando vacíos viejos zapatos. Bordes de calles. ¿Crees? Serena voz. Fondos de voz al filo de las apuestas por la relación como inversión de por vida con ganancias aseguradas para el corazón. Sus ganancias puertas abiertas abren horizontes al amor. Sus lados escribiendo imposibles cartas guardadas justo hasta el amanecer. Horizontes cercanos inscritos sobre celuloide proyectados en la amplia penumbra de las salas donde se susurra agitados movimientos de silenciado aliento.
In the possible aspiration of all the holes through the emptiness of which the body falls diluted without limits. About when when. Eyes narrow. Before seeing it. Eyes lying on the tree branches. Eyes don't make noise. Only looks make noise. The look takes foot in everything. Spreading by moisture in the air. Sometimes collapsed word. Bodiless look. No hollow eyes. Beyond the mud of the street when lies invade it. There lies dotting the walls. Overflowing the collective underground drains of all the streets. And the rivers. And the oceans. And the sea. From the mother of lies. In the spontaneous failure; before the emergence of life. Without giving rise to The lie cries.
Dans l'aspiration possible de tous les trous par le vide desquels le corps tombe dilué sans limites. A propos de quand quand. Yeux étroits. Avant de le voir. Les yeux posés sur les branches des arbres. Les yeux ne font pas de bruit. Seuls les regards font du bruit. Le look prend pied dans tout. Propagation par l'humidité de l'air. Mot parfois effondré. Regard sans corps. Pas d'yeux creux. Au-delà de la boue de la rue quand le mensonge l'envahit. Il se trouve parsemant les murs. Débordement des drains souterrains collectifs de toutes les rues. Et les rivières. Et les océans. Et la mer. De la mère des mensonges. Dans l'échec spontané; avant l'apparition de la vie. Sans donner lieu à Le mensonge pleure.
De la madre de las mentiras. Sin dar lugar a La mentira llora.
miércoles, julio 27, 2022En la posible aspiración de todos los agujeros por la vacuidad de los cuales cae diluido sin límites el cuerpo. Sobre cuando cuando. Se entreabren los ojos. Antes de verlo. Ojos tumbados sobre las ramas de los árboles. Ojos no hacen ruido. Solo las miradas hacen ruido. La mirada toma pie en todo. Extendiéndose por la humedad del aire. A veces, palabra derrumbada. Mirada sin cuerpo. Sin ojos huecos. Más allá del lodo de la calle cuando las mentiras la invaden. Allá mentiras salpicando las paredes. Rebosando los colectivos desagües subterráneos de todas las calles. Y los ríos. Y los océanos. Y el mar. De la madre de las mentiras. En el espontaneo fracaso; antes del surgimiento de la vida. Sin dar lugar a La mentira llora.
And when the water is put at full throttle. Animals drink. They close their eyes, drink. They smooth the hairs with their tongue. They smooth their tongue. They sharpen their carnivorous teeth. They sharpen their herbivorous teeth. Excellent formal logic. Enough and! Too many hairs and signs. Exit! Silence for the living understanding. Shaken. Ellipses. They shake the imprisoned reason. Kao on the ring of logic, wonderful for technology and science. The nebulous, the confusion, the false incoherence are still standing. With the logical risk of being taken by... Of being misunderstood. To live badly among false waters. Coding in the unshared. Well, the blessed enjoyment of sharing must be ethically agreed upon.
Et quand l'eau est mise à plein régime. Les animaux boivent. Ils ferment les yeux, boivent. Ils lissent les poils avec leur langue. Ils lissent leur langue. Ils aiguisent leurs dents carnivores. Ils aiguisent leurs dents herbivores. Excellente logique formelle. Assez et! Trop de poils et de signes. Sortir! Silence pour la compréhension vivante. Secoué. Ellipses. Ils ébranlent la raison emprisonnée. Kao sur l'anneau de la logique, merveilleux pour la technologie et la science. Le nébuleux, la confusion, la fausse incohérence sont toujours debout. Avec le risque logique d'être pris par... D'être incompris. Vivre mal parmi les fausses eaux. Codage dans le non partagé. Eh bien, le plaisir béni du partage doit être éthiquement accepté.
Y cuando se pone a todo gas el agua. Animales beben. Cierran los ojos, beben. Alisan con su lengua los pelos. Alisan su lengua. Afilan sus carnívoros dientes. Afilan sus herbívoros dientes. Excelente lógica formal. Basta y ! Demasiados pelos y señales. Mutis! Silencio para el vivo entendimiento. Sacudido. Elipsis. Sacuden a la razón prisionera. Noqueo sobre el ring de la lógica, maravillosa para la tecnología y la ciencia. En pie lo nebuloso, el despiste, la falsa incoherencia. Con el lógico riesgo de ser tomado por... De ser pensado a mal. A mal vivir entre falsas aguas. Codificando en lo no compartido. Pues el bendito disfrute de compartir debe ser éticamente pactado.
A closed sea do not look at the horizon. Until God put order in the language and in the word. Then it fell apart. Here the example. Example of the language of chaos. From the language of chaos prior to the divine act. Or at least its drift from projected wreckage. What to put when reading in its possible order. The order that has come to each one as the only possible order of subjective and exclusively personal understanding. Projected later, as a faithful palimpsest, on the order of the life of things.
A mer fermée ne lui regardez pas l'horizon. Jusqu'à ce que Dieu mette de l'ordre dans la langue et dans la parole. Puis il s'est effondré. Ici l'exemple. Exemple du langage du chaos. Du langage du chaos antérieur à l'acte divin. Ou du moins sa dérive de l'épave projetée. Que mettre lors de la lecture dans son ordre possible. L'ordre qui est venu à chacun comme le seul ordre possible de compréhension subjective et exclusivement personnelle. Projeté plus tard, comme un palimpseste fidèle, sur l'ordre de la vie des choses.
A mar cerrado no le mires el horizonte. Hasta que Dios puso orden en el lenguaje y en la palabra. Acto seguido se desbarató. Aquí el ejemplo. Ejemplo del lenguaje del caos. Del lenguaje del caos anterior al divino acto. O al menos su deriva de restos proyectados. Que hay que poner al leer en su posible orden. El orden que a cada cual le ha llegado como único posible orden del entendimiento subjetivo y exclusivamente personal. Proyectado luego, como fiel palimpsesto, sobre el orden de la vida de las cosas.
About up to. What the sky sets. We had to close our eyes for the animals to disappear. They shrink like hair. At disappearance they stick on themselves. The ears on the neck. The eyes on the root of the eyes. Folded lips on the tongue and on the roof of the mouth. On the cheeks, the mind. Brushes intersect. They are rinsed in the smell of the strong liquid. A cloth silence. From the canvas fold. On the silent night walls.
Environ jusqu'à. Ce que le ciel se couche. Nous avons dû fermer les yeux pour que les animaux disparaissent. Ils rétrécissent comme des cheveux. A la disparition ils se collent sur eux-mêmes. Les oreilles sur le cou. Les yeux à la racine des yeux. Lèvres repliées sur la langue et sur le toit de la bouche. Sur les joues, l'esprit. Les pinceaux se croisent. Ils sont rincés dans l'odeur du liquide fort. Un silence de drap. Du pli de la toile. Sur les murs silencieux de la nuit.
Sobre hasta. Que se pone el cielo. Teníamos que cerrar los ojos para que los animales desaparecieran. Se encogen como cabellos. A la desaparición se pegan sobre sí mismos. Las orejas sobre el cuello. Los ojos sobre la raíz de los ojos. Labios replegados sobre la lengua y sobre el cielo de la boca. Sobre las mejillas, la frente. Se cruzan los pinceles. Se enjuagan en el olor del líquido fuerte. Un silencio de tela. Del repliegue lienzo. En las silenciosas paredes nocturnas.
Of the tenor I know. Every time. The afternoon. The water falls. That's why. A river of mute gods fosters its banks. Flooded godlands. With our hands to the touch we saw. With our waiting body. Your points of contact. emotion points. predisposed. to our meetings. Of distant rain. From the end of the continent. His taste suddenly out. Suddenly out of my head. In his slow time. Infinite space between points. The dots come with their black heads. The dots run over the space of the pages. Until they turn the sky into water with their agitation.
Du ténor que je connais. Chaque fois. Le soir. L'eau tombe. Pour cela. Un fleuve de dieux muets nourrit ses rives. Terres divines inondées. Avec nos mains au toucher, nous avons vu. Avec notre corps en attente. Vos points de contact. points d'émotion. prédisposé. à nos rencontres. De la pluie lointaine. Du bout du continent. Son goût soudain disparu. Soudain hors de ma tête. Dans son temps lent. Espace infini entre les points. Les points viennent avec leurs têtes noires. Les points parcourent l'espace des pages. Jusqu'à ce qu'ils transforment le ciel en eau avec leur agitation.
Del tenor Lo sé. Cada vez. La tarde. Cae el agua. Por eso. Un río de diosos mudos fomenta sus orillas. Tierras de diosos inundadas. Con nuestras manos al tacto veíamos. Con nuestro cuerpo de espera. Sus puntos de contacto. Puntos de emoción. Predispuestos. A nuestros encuentros. De distante lluvia. Del final del continente. Su sabor de pronto fuera. De pronto fuera de la cabeza. En su tiempo lento. Espacio infinito entre puntos. Vienen los puntos con sus cabezas negras. Corren los puntos sobre el espacio de las páginas. Hasta que convierten con su agitación el cielo en agua.
United nests of blood. They lose days. They take branches. volatile. Like any road. They take their flight. Dry. Corrupted night flight. To disappear To leave scars. His tattoos. Of the new day that closes. Nests close mouths. Close words. Hide sun. Falls off. In outer space, it floats. Drawn by the dark. Hidden black nests. Transparent to light.
Nids de sang unis. Ils perdent des jours. Ils prennent des branches. volatil. Comme n'importe quelle route. Ils prennent leur envol. Sec. Vol de nuit corrompu. Disparaître Laisser des cicatrices. Ses tatouages. Du nouveau jour qui se ferme. Les nids ferment la bouche. Mots proches. Cachez le soleil. Tomber. Dans l'espace, il flotte. Attiré par l'obscurité. Nids noirs cachés. Transparent à la lumière.
Unidos nidos de sangre. Pierden días. Toman ramas. Volátiles. Como caminos cualquiera. Que toman su vuelo. Seco. Vuelo corrupta noche. De desaparecer. De dejar cicatrices. Sus tatuajes. Del nuevo día que se cierra. Nidos cierra bocas. Cierra palabras. Oculta sol. Cae. En el sideral espacio, flota. Atraído por la oscuridad. Ocultos nidos negros. A la luz transparentes.
Doubts piled up. Under the high ledges. Under the fallen heat. fictional birds. From the appearance of the morning. Prepared eyes. Serious Spectrum. From a desperate book whose walls of readable air develop composed fiction. From whose crimes they splatter the blood on their paper walls. From whose false and fictional clues, at the same time true, the resistant fibers are entangled with each other like subtle silk. Whose hidden transparency...
Les doutes se sont accumulés. Sous les hautes corniches. Sous la chaleur tombée. oiseaux fictifs. Dès l'apparition du matin. Yeux préparés. Spectre sérieux. D'un livre désespéré dont les murs d'air lisible développent une fiction composée. Dont les crimes éclaboussent le sang sur leurs murs de papier. À partir d'indices faux et fictifs à la fois vrais, les fibres résistantes s'enchevêtrent comme de la soie subtile. Dont la transparence cachée...
Apiladas las dudas. Bajo las altas cornisas. Bajo el calor caído. Pájaros ficticios. De la apariencia de la mañana. Ojos preparados. Serio espectro. De un desesperado libro cuyas paredes de lisible aire desarrollan compuesta ficción. De cuyos crímenes salpican la sangre a sus paredes de papel. De cuyas pistas falsas y de ficción a la vez verdaderas se enredan las resistentes fibras unas con todas como sutil seda. Cuya transparencia oculta...
Because it's never too late for what exists. When the rain awaits us. Its streets, its houses, its walls. They scratch. While they try to retain the escape on the wall. The bigger the labyrinth gets. As his paws wrap around the dead end. Stacked underground labyrinths. Secretly interconnected. He doesn't get out of his shadows. Your tangles. Others grow from them in the likeness of new roots like passageways. In their reflections, labyrinths of rain. Bird mazes. No exits. Birds flying at right angles from mazes. Within its walls, locked up.
Parce qu'il n'est jamais trop tard pour ce qui existe. Quand la pluie nous attend. Ses rues, ses maisons, ses murs. Ils grattent. Alors qu'ils essaient de retenir l'évasion sur le mur. Plus le labyrinthe s'agrandit. Alors que ses pattes s'enroulent autour de l'impasse. Labyrinthes souterrains empilés. Secrètement interconnecté. Il ne sort pas de son ombre. Vos enchevêtrements. D'autres en sortent à l'image de nouvelles racines comme des passages. Dans leurs reflets, des labyrinthes de pluie. Labyrinthes d'oiseaux. Pas de sorties. Oiseaux volant à angle droit depuis des labyrinthes. Dans ses murs, enfermé.
En sus reflejos, laberintos de lluvia, laberintos de pájaros
miércoles, julio 20, 2022Porque nunca es tarde para lo que existe. Cuando la lluvia nos espera. Sus calles, sus casas, sus murallas. Arañan. Mientras intentan retener sobre la pared el escape. Más grande se hace el laberinto. Mientras sus patas se enredan alrededor de la sin salida. Apilados laberintos subterráneos. Secretamente intercomunicados. No se sale de sus sombras. Sus enredos. Les crecen otros a semejanza de nuevas raíces como pasadizos. En sus reflejos, laberintos de lluvia. Laberintos de pájaros. Sin salidas. Pájaros volando en ángulos rectos de laberintos. Entre sus muros, encerrados.
Get lost in the desert of time. It is easier to live without doubt. The mirrors of time. The version of his passing. His enduring immortality. We only want to catch a part. An hour. A sedated punctuality. Asleep at the mark of an hour. In the time line. According to the hours. To your best part. The absences of emptiness. I love you left floating in space. It shrinks to surround him.
Perdez-vous dans le désert du temps. C'est plus facile à vivre sans aucun doute. Les miroirs du temps. La version de son décès. Son immortalité durable. Nous voulons seulement attraper une partie. Une heure. Une ponctualité sédative. Endormi au bout d'une heure. Dans la ligne du temps. Selon les horaires. À votre meilleure part. Les absences du vide. Je t'aime laissé flotter dans l'espace. Il se rétrécit pour l'entourer.
Perderse en el desierto del tiempo. Es más fácil vivir sin la duda. Los espejos del tiempo. La versión de su trascurrir. Su perdurable inmortalidad. Solo queremos atrapar una parte. Un ahora. Una puntualidad sedada. Dormida al marcar una hora. En la linea del tiempo. Conforme a las horas. A su mejor parte. Las ausencias del vacío. Los te quiero dejados flotando en el espacio. Se encoge para rodearlo.
They burn. The transparencies. Your tibias. Yesterday. Away from the fire. Soon. Sea memories. Exist. Like a there. It was. It was thought. They took. They were diluted. Your arms. In sand of you were. That truth is sought. Where the past falls. For that, farewell sheet. It opens in real time. where we went Al Then. Simulated. In desperation to love.
Ils brûlent. Les transparences. Vos tibias. Hier. Loin du feu. Très bientôt. Souvenirs de mer. Exister. Comme un là-bas. Il a été. C'était pensé. Ils ont pris. Ils ont été dilués. Tes bras. Dans le sable de vous étiez. Cette vérité est recherchée. Où tombe le passé. Pour cela, feuille d'adieu. Il s'ouvre en temps réel. où nous sommes allés Al Alors. Simulé. En désespoir de cause d'aimer.
Arden. Las transparencias. Sus tibias. Ayer. Alejados de la hoguera. Ya pronto. Recuerdos de mar. Existen. Como un allí. Fue. Se pensaba. Se llevaban. Se diluían. Sus brazos. En arena del fuiste. Aquella verdad del se busca. Donde se precipita el pasado. Por eso, hoja de la despedida. Se abre al tiempo real. Al que fuimos. Al Entonces. Simulados. En la desesperación de amar.
Hyphae. aggregated vesicles. They form monasteries. paired flagella. From the core the pores. thin secretions. Of sheets of water. Surrounding streaming fossils. Dissolving light between spores. Neither the words nor the body responded. No control of self-perception. Words poked out of their nostrils like two word-phagocytizing mice. Or of distorted phonemes. Thrown into the randomness of the air. In both ears, storms like hurricanes. That is why some lived in the ears; so as not to be phagocytosed.
Hyphes. Vésicules agrégées. Ils forment des monastères. Flagelles appariés. Du noyau les pores. Sécrétions fines. De nappes d'eau. Autour de flux de fossiles. Dissoudre la lumière entre les spores. Ni les mots ni le corps ne répondaient. Aucun contrôle de la perception de soi. Des mots sortaient de leurs narines comme deux souris phagocytaires. Ou de phonèmes déformés. Jeté dans le hasard de l'air. Dans les deux oreilles, des tempêtes comme des ouragans. C'est pourquoi certains vivaient dans les oreilles ; pour ne pas être phagocytés.
Sợi nấm. mụn nước tập hợp. Họ hình thành các tu viện. trùng roi bắt cặp. Từ lõi các lỗ chân lông. chất tiết loãng. Của các tấm nước. Xung quanh các hóa thạch phát trực tuyến. Ánh sáng hòa tan giữa các bào tử. Cả lời nói và cơ thể đều không đáp lại. Không kiểm soát nhận thức bản thân. Từ ngữ thò ra khỏi lỗ mũi như hai con chuột thực bào từ ngữ. Hoặc của các âm vị bị bóp méo. Ném vào sự ngẫu nhiên của không khí. Hai bên tai, bão như cuồng phong. Đó là lý do tại sao một số sống trong tai; để không bị thực bào.
Hifas. Vesículas agregadas. Forman cenobios. Flagelos emparejados. Del núcleo los poros. Secreciones delgadas. De láminas de agua. Fósiles de transmisión circundante. Disolviendo la luz entre las esporas. Las palabras ni el cuerpo respondían. Sin control de la auto-percepción. Se asomaban las palabras por los agujeros de la nariz como dos ratones fagocitadores de palabras. O de distorsionados fonemas. Lanzados en la aleatoriedad del aire. En ambos oídos, tormentas como huracanes. Por eso algunas vivían en las orejas; para no ser fagocitadas.
And the crazy knots of love and passion. In our orbit. We will be slow in the fall. Sweet drop of bodies. Without red doubts. Red fire ants devoured by the crowd. Of moving insect walls. In his hunger grind. They separate their steps to isolate the danger. Rain gills. Metallic breath. It sounds like a buzzard. The afternoon burns. Heat stirs in the air. It doesn't run, it floats. He burns his face and wings on the way. A late bird growls on the dry branch. It spreads its wings to the absent fresh air. Panting beak. stiff tongue Wild raisin eyes.
Et les nœuds fous de l'amour et de la passion. Dans notre orbite. Nous serons lents à l'automne. Douce goutte de corps. Sans doutes rouges. Fourmis de feu rouges dévorées par la foule. De murs d'insectes en mouvement. Dans sa mouture de faim. Ils séparent leurs pas pour isoler le danger. Branchies de pluie. Souffle métallique. Cela ressemble à une buse. L'après-midi brûle. La chaleur remue dans l'air. Il ne coule pas, il flotte. Il se brûle le visage et les ailes en chemin. Un oiseau tardif grogne sur la branche sèche. Il déploie ses ailes à l'air frais absent. Bec haletant. langue raide Yeux de raisin sauvage.
Y los locos nudos de amor y pasión. En nuestra órbita. Seremos lentos en la caída. Dulce caída de los cuerpos. Sin rojas dudas. Hormigas rojas de fuego por la multitud devoradas. De insectos móviles murallas. En su trajín del hambre. Separan sus pasos para aislar el peligro. Branquias de lluvia. Metálica respiración. Suena a chicharra. La tarde arde. Se agita el calor en el aire. No corre, flota. Se quema el rostro y las alas en la travesía. Gruñe un pájaro tardío en la rama seca. Abre las alas al ausente aire fresco. Pico jadeante. Lengua tiesa. Desorbitados ojos de pasas.
I do not know any more. No more lies. Of their violet tongues. They call null. Tongues stuck on themselves. Writhing in their knots. Drying saliva under the temperature of friction. Big Love. Your mind is read. Not herself in that impossibility. Not the usual identity. Al I have. Al we have. We forgive each other. Inside skin. There strangers. in our reading. In our Scripture of ourselves. Like ghost hunters. With tingling as a sign of life. Slow subterranean devouring insect snake.
Je ne sais plus. Plus de mensonges. De leurs langues violettes. Ils appellent nul. Langues collées sur elles-mêmes. Se tordant dans leurs nœuds. Séchage de la salive sous la température de frottement. Grand amour. Votre esprit est lu. Pas elle-même dans cette impossibilité. Pas l'identité habituelle. Al j'ai. Al nous avons. Nous nous pardonnons. Peau intérieure. Il y a des étrangers. dans notre lecture. Dans notre Ecriture de nous-mêmes. Comme des chasseurs de fantômes. Avec des picotements comme signe de vie. Serpent insecte dévorant souterrain lent.
Lenta serpiente de subterráneos insectos devoradores
viernes, julio 15, 2022No sé más. Ya no más de mentiras. De sus lenguas violetas. Que llaman nulo. Lenguas pegadas sobre ellas mismas. Retorciéndose en sus nudos. Resecando la saliva bajo la temperatura de la fricción. Gran amor. Se lee tu mente. No a ella misma en esa imposibilidad. No al de siempre identidad. Al tengo. Al tenemos. Nos perdonamos. De piel para adentro. Allí desconocidos. En nuestra lectura. En nuestra Escritura de nosotros mismos. Como cazadores de fantasmas. Con hormigueo como señal de vida. Lenta serpiente de subterráneos insectos devoradores.
You know we don't know just thought. Yes we were. Why? Without knowing you leave me unconscious of myself. To not go anywhere restoration. You leave me without free will. Without rhyme or reason. No love in the guts. No tongue wood. Dumb under the shock of the fertile imagination, it ruins lives. From surprises around corners, around suspicion, in the corner of the night, to the anguish of the orange patio, to the sustained silence of the long journey, to continuous despair, and more and more, a continuum without waiting, that time folded into its own dimension, time that from time to time opens up letting some of its untranslatable pieces escape.
Vous savez que nous ne savons pas ce que nous venons de penser. Oui nous étions. Parce que? Sans le savoir, tu me laisses inconscient de moi-même. Pour ne pas aller n'importe où restauration. Tu me quittes sans libre arbitre. Sans rime ni raison. Pas d'amour dans les tripes. Pas de bois de langue. Muet sous le choc de l'imagination fertile, il ruine des vies. Des surprises aux détours, aux soupçons, au coin de la nuit, à l'angoisse du patio orange, au silence soutenu du long voyage, au désespoir continu, et de plus en plus, un continuum sans attente, ce temps plié en sa propre dimension, le temps qui de temps en temps s'ouvre laissant s'échapper quelques-uns de ses intraduisibles.
Ya sabes que no sabemos lo solo pensado. Si estábamos. ¿Por qué? Sin saber me dejas inconsciente de mí mismo. Para no ir a ninguna parte de restauración. Me dejas sin libre albedrío. Sin ton ni son. Sin amor en las agallas. Sin madera de lengua. Mudo bajo el choc de la fértil imaginación arruina vidas. De sorpresas de vuelta de esquinas, a la vuelta de la sospecha, en el rincón de la noche, a la angustia del patio anaranjado, al sostenido mutismo del largo viaje, a la continua desesperación, y más y más, continuum sin espera, ese tiempo replegado sobre su propia dimensión, tiempo que de vez en cuando se abre dejando escapar algunos de sus trozos intraducibles.
They fall every day in the flatness of the night
miércoles, julio 13, 2022What is it like step I have you. Like simultaneity. Of tears, as an image. They take to the shadows. Of the memory among others. What will we do without them? Without our shadows. Without the doubts of the shadows. Downcast shadows. Dejected screams. of hopelessness As an invention. The dimension of the heart of nights loved as sane. Orphaned sane. In the morning. From the dimension bus. Parallel lines that the city runs through. Itinerant. On the inhabited asphalt. They fall each day into the flatness of the night.
Ils tombent chaque jour dans la platitude de la nuit
miércoles, julio 13, 2022Qu'est-ce que c'est que l'étape que je t'ai. Comme la simultanéité. Des larmes, comme une image. Ils se dirigent vers l'ombre. De la mémoire entre autres. Que ferons-nous sans eux ? Sans nos ombres. Sans les doutes de l'ombre. Ombres abattues. Des cris abattus. du désespoir Comme une invention. La dimension du cœur des nuits aimées comme saines. Orphelin sain d'esprit. De demain. Du bus de dimension. Lignes parallèles que traverse la ville. Itinérant. Sur l'asphalte habité. Ils tombent chaque jour dans la platitude de la nuit.
Caen cada día en la planitud de la noche
miércoles, julio 13, 2022Que se lleva como paso te tengo. Como a la simultaneidad. De las lágrimas, como imagen. Se llevan a las sombras. Del recuerdo entre otros. ¿Qué haremos sin ellas? Sin nuestras sombras. Sin las dudas de las sombras. Abatidas sombras. Abatidos gritos. De desesperanza. Como invento. La dimensión del corazón de las noches amadas como cuerdos. Cuerdos huérfanos. De mañana. Del bus de la dimensión. Líneas paralelas que la ciudad recorren. Itinerantes. Sobre el habitado asfalto. Caen cada día en la planitud de la noche.
I think you've been banging yourselves into fucking reality for a while now
lunes, julio 11, 2022We were trapped in our own temple of beauty. An enhanced fear. I think you've been banging yourselves into fucking reality for a while now. Waiting for putrefaction within the body of the soul, individual and collective. The exit of the steps where there is no exit. Spider tunnel. Of spider time. Sea spider wave. Its liquid air passages. Of sea nests. Of hands lost in shipwrecks. They float, they go balancing on the possibility of soaking their sinking. Shipwrecked hands floating.
Je pense que vous vous enfoncez dans la putain de réalité depuis un moment maintenant
lunes, julio 11, 2022Nous étions piégés dans notre propre temple de la beauté. Une peur renforcée. Je pense que vous vous enfoncez dans la putain de réalité depuis un moment maintenant. En attendant la putréfaction à l'intérieur du corps de l'âme, individuelle et collective. La sortie des marches où il n'y a pas de sortie. Tunnel d'araignée. Du temps des araignées. Vague d'araignée de mer. Ses passages d'air liquide. De nids marins. Des mains perdues dans les naufrages. Ils flottent, ils vont en équilibre sur la possibilité de tremper leur naufrage. Mains naufragées flottant.
Estábamos atrapados en nuestro propio templo de belleza. Un miedo mejorado. Creo que lleváis tirándoos a la maldita realidad un tiempo, desde hace. Esperando la putrefacción dentro del cuerpo del alma, individual y colectiva. La salida de los pasos donde no hay salida. De túnel araña. De tiempo araña. Ola araña de mar. Sus líquidos pasos de aire. De nidos de mar. De manos perdidas en naufragios. Flotan, van balanceándose sobre la posibilidad de empapar su hundimiento. Manos naufragas flotando.
Where the music of blindness vibrates
domingo, julio 10, 2022In that centered life that opens. In the gaze of being seen. In some time fall. We were uninhabited. Solar words. From the Sol Olvido bar, as the singer to whom I attribute it would say. Your forgetfulness “will not pass”, as the street banners say. Who perhaps remember us when we went hand in hand. As promised and said. For that Oblivion that no one inhabits. In that unknown somewhere. Remind me of the limits of what you say. Where the limits are heard. As part of the shadow structure. Where the music of blindness vibrates. It vibrates like the bodies of social spiders.
Dans cette vie centrée qui s'ouvre. Dans le regard d'être vu. Dans un certain temps tomber. Nous étions inhabités. Paroles solaires. Du bar Sol Olvido, comme dirait le chanteur à qui je l'attribue. Votre oubli « ne passera pas », comme disent les banderoles. Qui se souviennent peut-être de nous quand nous allions main dans la main. Comme promis et dit. Pour cet Oblivion que personne n'habite. Dans cet inconnu quelque part. Rappelle-moi les limites de ce que tu dis. Où les limites se font entendre. Dans le cadre de la structure d'ombre. Où vibre la musique de l'aveuglement. Il vibre comme le corps des araignées sociales.
En esa vida centrada que se abre. En la mirada de ser visto. En alguna vez caer. Inhabitados estábamos. Solares palabras. De la barra Sol Olvido como diría el cantante a quien se lo atribuyo. “No pasarán” tus olvidos, como dicen las callejeras pancartas. Quienes tal vez nos recuerdan cuando íbamos de la mano. Por lo prometido y dicho. Por ese Olvido que no habita nadie. En esa desconocida de alguna parte. Recuerdame los límites de lo que dices. Donde se oyen los límites. Como parte de la estructura de las sombras. Donde la música de la ceguera vibra. Vibra como los cuerpos de las sociales arañas.
And orphans, downcast, we screamed. Winds of love in act. In its great dimension. Ours, the nights fall on us. If we have the love knots. All our blind centers. Without exit they came. Of the existence of the look. Present and extend. Without leaving the blurred poetry. Monotonous in its noise: in that dislodged background. Under that tree of existence. There where the presence unfolds. The body of words. Where the eyes fall.
Et orphelins, abattus, nous avons crié. Vents d'amour en acte. Dans sa grande dimension. Chez nous, les nuits tombent sur nous. Si nous avons les nœuds d'amour. Tous nos centres aveugles. Sans issue ils sont venus. De l'existence du regard. Présenter et prolonger. Sans sortir de la poésie floue. Monotone dans son bruit : dans ce fond délogé. Sous cet arbre de l'existence. Là où la présence se déploie. Le corps des mots. Où les yeux tombent.
Y huérfanos, abatidos, gritábamos. Vientos de amor en acto. En su Gran dimensión. Nuestras, nos Caen las noches. Si tenemos los nudos de amor. Todos nuestros centros ciegos. Sin salida venían. De La existencia de la mirada. Presente y extenderse. Sin salir de la poesía borrosa. Monótona en su ruido: en ese fondo desalojado. Bajo ese árbol de la existencia. Allí donde se despliega la presencia. La del cuerpo de las palabras. Donde se ven las miradas caer.
Disappear as through a blurry page. In its lines it covers gaps. Where they are poured spilled. Beginning pours. Found in an earlier time. In a time of meaning. In its movement of meaning. That necessary air. He wants to sleep in the dreams of the mirror. On their distant peaks. Without knowing steps or glances. Of secret beauty. Of labyrinth love. Of corner love. Tournant. Smell of old winter. In the passageways of the found arms. know you Know body without words. Know yourself question maze. Directed at poison.
Disparaître comme à travers une page floue. Dans ses lignes, il couvre les lacunes. Où ils sont versés renversés. Début des coulées. Trouvé à une époque antérieure. A l'heure du sens. Dans son mouvement de sens. Cet air nécessaire. Il veut dormir dans les rêves du miroir. Sur leurs cimes lointaines. Sans connaître les pas ni les regards. D'une beauté secrète. De l'amour du labyrinthe. De l'amour du coin. Tournant. Odeur de vieil hiver. Dans les couloirs des armes retrouvées. te connais Connaître le corps sans mots. Connaissez-vous le labyrinthe des questions. Dirigé contre le poison.
Desaparecer como a través de una hoja borrosa. En sus lineas cubre huecos. Donde se vierten derramadas. Vertidas de comienzo. Encontradas en un tiempo anterior. En un tiempo del sentido. En su movimiento de sentido. Esa aérea necesaria. Quiere dormir en los sueños del espejo. En sus cumbres lejanas. Sin que sepa de pasos ni de mirada. De belleza secreta. Del amor laberinto. Del amor de esquina. Tournant. Olor a viejo invierno. En los pasadizos de los brazos encontrados. Saberse tú. Saberse cuerpo sin palabras. Saberse laberinto de pregunta. Dirigida al veneno.
You said. Mystery. Now I know you kept the mystery from me. Nobody loses there. It has the now and one. To a point of difference. Sitting looks. Small as water. From the sea. Its movement and wind. Both missing. Of sunsets in the sea. Fixed in its depth. In his body of sea. In his clothing reflection of the earth. Crumbling into grains of sand. In its mysteries. In its sea mysteries. About the random. Of the naked bodies. It smells like her curves. They are falling. Like night dreams. Passed through days From body to body. They remember. How love is written. In the indefiniteness of writing. Who under what is written disappears.
Tu as dit. Mystère. Maintenant je sais que tu m'as caché le mystère. Personne n'y perd. Il a le maintenant et un. À un point de différence. Regards assis. Petit comme de l'eau. De la mer. Son mouvement et son vent. Les deux manquants. Des couchers de soleil sur la mer. Fixé dans sa profondeur. Dans son corps de mer. Dans son habillement reflet de la terre. Effritement en grains de sable. Dans ses mystères. Dans ses mystères marins. À propos du hasard. Des corps nus. Ça sent ses courbes. Ils tombent. Comme des rêves nocturnes. Traversé des jours De corps à corps. Ils se souviennent. Comment l'amour s'écrit. Dans l'indéfini de l'écriture. Qui sous ce qui est écrit disparaît.
Decías. Misterio. Ahora sé que me ocultabas el misterio. Allí nadie pierde. Tiene el ahora y uno. A un punto de diferencia. Sentadas miradas. Pequeñas como agua. Desde el mar. Su movimiento y viento. Ambos desaparecidos. De atardeceres en el mar. Fijado en su profundidad. En su cuerpo de mar. En su reflejo de ropa de la tierra. Desmoronada en granos de arena. En sus misterios. En sus misterios de mar. Sobre lo fortuito. De los desnudos cuerpos. A sus curvas huele. Van cayendo. Como los nocturnos sueños. Atravesados de días. De cuerpo a cuerpo. Recuerdan. Como el amor se escribe. En la indefinición de la escritura. Quien bajo lo escrito desaparece.
The words became easy to spread. Distantly close, physically close to his body. When love is born. Life warns you. Misses you. He is surprised by the unexpected. Guess the moment. It waits for you waiting. Sometimes long. Sometimes wait. Sometimes arrival. When things start you wake up. Flying lights. You sing songs with your eyes. Dawn. Dreams with independent dawns. We woke up out of ourselves. As a gift to the games.
Les mots sont devenus faciles à tartiner. Lointain proche, physiquement proche de son corps. Quand l'amour naît. La vie vous prévient. Tu me manques. Il est surpris par l'inattendu. Devinez le moment. Il vous attend en attendant. Parfois longue. Attends parfois. Parfois arrivée. Quand les choses commencent, vous vous réveillez. Feux volants. Vous chantez des chansons avec vos yeux. Aube. Rêves aux aurores indépendantes. Nous nous sommes réveillés hors de nous-mêmes. En cadeau aux jeux.
Las palabras se volvieron fáciles de untar. Lejanamente cercanos, físicamente cerca de su cuerpo. Cuando nace el amor. La vida te avisa. Te extraña. Se sorprende de lo inesperado. Te adivina el instante. Te espera en la espera. A veces larga. A veces espera. A veces llegada. Cuando las cosas empiezan despiertas. Luces vuelo. Cantas canciones con los ojos. Amanece. Sueños con amaneceres independientes. Despertamos fuera de nos. Como un regalo a los juegos.
The fly garden. In the jar of oblivion. And hare of the wind remained like a synthetic mannequin hanging from an invisible fishing line for images. In his fixed immobility he did not look for the mobile hole through which to escape. Image reducer. Thinking mirror reducer. There would be a reducer that was then hung on the doors of the houses. Those who did not find his image upon arrival could not enter because they had no limits to manage in space. He spoke from the voice belonging to the body asking about his image. His absent image did not respond. The walls and the consistency of objects were dissolved. Break out onto its panting surface. That of the present objects. He fell into the heap of himself.
Il est tombé dans le tas de lui-même
viernes, julio 08, 2022Le jardin des mouches. Dans le bocal de l'oubli. Et le lièvre du vent est resté comme un mannequin synthétique suspendu à une ligne de pêche invisible pour les images. Dans son immobilité figée, il ne cherchait pas le trou mobile par lequel s'échapper. Réducteur d'image. Réducteur de miroir pensant. Il y aurait un réducteur qui était ensuite accroché aux portes des maisons. Ceux qui ne trouvaient pas son image à leur arrivée ne pouvaient pas entrer car ils n'avaient pas de limites à gérer dans l'espace. Il a parlé de la voix appartenant au corps en posant des questions sur son image. Son image absente ne répondait pas. Les parois et la consistance des objets se sont dissoutes. Sortez sur sa surface haletante. Celle des objets présents. Il est tombé dans le tas de lui-même.
El jardín de moscas. En el frasco del olvido. Y liebre del viento quedó como un maniquí sintético colgada de un invisible hilo de pescar imágenes. En su fija inmovilidad no buscaba el móvil agujero por donde escapar. Reductor de imágenes. Reductor de espejos pensantes. Habría un reductor que luego loas colgaban en las puertas de las casas. Quienes al llegar no encontraban su imagen no podían entrar pues no tenían límites para manejarse en el espacio. Habló desde la voz perteneciente al cuerpo preguntando por su imagen. Su ausente imagen no respondió. Se disolvían las paredes y la consistencia de los objetos. Salir a su jadeante superficie. La de los presentes objetos. Cayó en el montón de sí mismo.
Names not associated with places evaporate as in the non-existence of memory
miércoles, julio 06, 2022Names not associated with places evaporate as in the non-existence of memory. Experienced in the place and the object where the action occurred. Memory was unaware of its own oblivion. Each individual noise caused a stain on the environment of childhood objects. A stain on memory. I used to take it literally. But each time only one foot.
Les noms non associés aux lieux s'évaporent comme dans l'inexistence de la mémoire
miércoles, julio 06, 2022Les noms non associés aux lieux s'évaporent comme dans l'inexistence de la mémoire. Expérimenté dans le lieu et l'objet où l'action s'est produite. La mémoire ignorait son propre oubli. Chaque bruit individuel a causé une tache sur l'environnement des objets de l'enfance. Une tache de mémoire. Il avais l'habitude de le prendre au pied de la lettre. Mais à chaque fois un seul pied.
Se evaporan los nombres no asociados con lugares
miércoles, julio 06, 2022Se evaporan los nombres no asociados con lugares como en la inexistencia de la memoria. Vivenciada en el lugar y el objeto donde la acción ocurría. Desconocía la memoria su propio olvido. Cada individual ruido provocaba una mancha sobre el entorno de objetos de la infancia. Una mancha sobre la memoria. Solía tomarle el pie a la letra. Pero cada vez un solo pie.
Deformed and cloudy shadow in the immense total emptiness of heaven and earth. No drift limits. Dream Of The martlet. The jugular of the Moon. In the gaps of the gaze. In the robe of his eyes. Under the shade of a bamboo forest. Riding on wind languages. Rainbows creeping undulating across the ground through the unrestrained attack of beauty. No recovery rates. Reactivation of oblivion. Reduction of phenomenological details. Anomalies of mental travel in imaginary time. The hours are ritualized. Anchorage of daily reality turns ties into ties, installing the immutable beneficial perpetuity for the fruit.
Ombre déformée et nuageuse dans l'immense vide total du ciel et de la terre. Aucune limite de dérive. Rêve rapide. La jugulaire de la Lune. Dans les interstices du regard. Dans la robe de ses yeux. A l'ombre d'une forêt de bambous. Rouler sur les langues du vent. Des arcs-en-ciel rampants ondulant sur le sol par l'attaque effrénée de la beauté. Pas de taux de récupération. Réactivation de l'oubli. Réduction des détails phénoménologiques. Anomalies du voyage mental dans le temps imaginaire. Les heures sont ritualisées. L'ancrage de la réalité quotidienne transforme les liens en liens, installant l'immuable perpétuité bénéfique pour le fruit.
Sombra deforme y turbia en el inmenso vacío total de cielo y de la tierra. Sin límites de deriva. Sueño de vencejo. La yugular de la Luna. En los huecos de la mirada. En la túnica de sus ojos. Bajo la sombra de un bosque de bambú. Cabalgando sobre lenguajes de viento. Arco iris que se arrastran ondulándose por el suelo a través del desenfrenado ataque de hermosura. Sin índices de recuperación. Reactivación del olvido. Reducción de detalles fenomenológicos. Anomalías del viaje mental en el tiempo imaginario. Se ritualizan las horas. Anclaje de la cotidiana realidad convierte lazos en lazos, instalando la inmutable beneficiosa perpetuidad para el fruto.
The pillars that support chaos. They bring rest. Remember, integrity is always prosperity. The water grass. The afternoon cicadas. Eighth grain falling from the leaf. Without the shelter of autumn. The mystery of reason. Seven times the mulberry tree grows. Its noble granites stain the violet buds. He spends a constant path next to his shadow looking for distant ships. The gray feathers of the neighboring pigeons are stained. It's not silk winter. Not the sweetness of dates. Without any border defect. Elusive face of life. His nature. The exquisite floating leaves. The evening grows deep and dark. And its scent full of destiny. Life is a path that you can carry under your arm.
Les piliers qui soutiennent le chaos. Ils apportent du repos. Rappelez-vous, l'intégrité est toujours la prospérité. L'herbe d'eau. Les cigales de l'après-midi. Huitième grain tombant de la feuille. Sans l'abri de l'automne. Le mystère de la raison. Sept fois le mûrier grandit. Ses granites nobles colorent les bourgeons violets. Il passe un chemin constant à côté de son ombre à la recherche de navires lointains. Les plumes grises des pigeons voisins sont tachées. Ce n'est pas l'hiver de la soie. Pas la douceur des dattes. Sans aucun défaut de bordure. Visage insaisissable de la vie. Sa nature. Les feuilles flottantes exquises. La soirée devient profonde et sombre. Et son parfum chargé de destin. La vie est un chemin que l'on peut porter sous le bras.
Los pilares que sostienen al caos. Que traen el descanso. Recuerda, la integridad es siempre prosperidad. La hierba de agua. Las cigarras de tarde. Octavo grano cayendo de la hoja. Sin el refugio del otoño. El misterio de la razón. Siete veces la morera crece. Sus granitos nobles manchan las yemas violetas. Pasa camino constante al lado de su sombra buscando lejanos barcos. Se manchan las plumas grises de las vecinas palomas. No es invierno de seda. Ni dulzor de dátiles. Sin defecto alguno de frontera. Rostro esquivo de la vida. Su naturaleza. Las exquisitas hojas flotantes. Crece profundo y oscuro el atardecer. Y su olor lleno de destino. Es la vida un camino que puedes llevar bajo el brazo.
It is commented, in knee language. His tail in the form of a rainbow-silence. In multitude of time. At the foot of the poem's letters, the crooked black legs of the cockroach mark the rhythm of the writing. They are no less dangerous than a multitude of cockroaches. And our frontier storm created to give us water shelter. His generosity on fire. It comes crystal clear to answer the muted silence. To the silence of the struggles of avarice. Embedded in faux homage. Sending, as an offering, the autumn leaves. Free from the tearing of pain and all affliction. Of the quiet great sacrifice. Along the path marked by the hooves. Small lakes are created in the dimension of the hollows in the rain. On the surface of which the yellow bees drink. While its agile flying insect wings are reflected. To bring the bounty of another fall.
C'est commenté, en langue de genou. Sa queue en forme d'arc-en-ciel-silence. En multitude de temps. Au pied des lettres du poème, les pattes noires tordues du cafard marquent le rythme de l'écriture. Ils ne sont pas moins dangereux qu'une multitude de cafards. Et notre tempête frontalière créée pour nous abriter de l'eau. Sa générosité enflammée. Il vient limpide pour répondre au silence sourd. Au silence des luttes d'avarice. Intégré dans un faux hommage. Envoi, en offrande, des feuilles d'automne. Libre de la déchirure de la douleur et de toute affliction. Du grand sacrifice silencieux. Le long du chemin balisé par les sabots. Des petits lacs se créent à la dimension des creux sous la pluie. A la surface de laquelle boivent les abeilles jaunes. Tandis que ses agiles ailes d'insectes volants se reflètent. Pour apporter la générosité d'une autre chute.
Se comenta, en idioma de rodilla. Su cola en forma de arcoiris-silencio. En multitud de tiempo. Al pie de las letras del poema las negras y torcidas patas de la cucaracha marcan el ritmo de escritura. No son menos peligrosa la multitud de cucaracha. Y nuestra tormenta frontera creada para darnos cobijo de agua. Su generosidad en llamas. Viene cristalina para responder al enmudecido silencio. Al silencio de las luchas de avaricia. Incrustados en falsos homenajes. Enviando, como ofrenda, las hojas del otoño. Libre del desgarro del dolor y de toda aflicción. Del tranquilo gran sacrificio. Por el camino marcado por las pezuñas. Se crean en la dimensión de los huecos pequeños lagos bajo la lluvia. Sobre la superficie de los cuales las amarillas abejas beben. Mientras se reflejan sus ágiles alas de volador insecto. Para traer la generosidad de otro otoño.
It was presented without its nudity. Even in the ruins of his dreams. Everywhere pure emptiness without silence. The Shih Ching "Book of Sounds". The house comes out and is wrapped in mirrors. He painted a new colander for the inside of the mirror. Between its ring the surrounding images slipped at the speed of light. He was defeated by the clothes that came off like an image in the direction of the hole. Her nakedness followed her. It was presented without nudity. Before the call of the sex of the other and of one's own. It was presented without nudity before the strangeness of the eye. Before the cold of his own bones. It was presented herself without nakedness before the nakedness of the eyes. It was presented without nudity like lost objects, naked in their disappearance. It was presented without nudity at first unacknowledged. It didn't recognize herself in the mirrors without her nakedness. It was presented without nudity as born from warnings about the dangers. Naked in that innocence, only love took away her nudity.
Se présentait sans sa nudité. Même dans les ruines de ses rêves. Partout vide pur sans silence. Le Shih Ching "Livre des sons". La maison sort et est enveloppée de miroirs. Il a peint une nouvelle passoire dans l'intérieur du miroir. Entre son anneau les images environnantes glissaient à la vitesse de la lumière. Il a été vaincu par les vêtements qui se sont détachés comme une image dans la direction du trou. Sa nudité la suivait. Se présentait sans nudité. Avant l'appel du sexe de l'autre et du sien. Se présentait sans nudité devant l'étrangeté de l'œil. Avant le froid de ses propres os. Se présentait sans nudité devant la nudité des yeux. Se présentait sans nudité comme des objets perdus, nus dans leur disparition. Se présentait sans nudité d'abord inavouée. Ne se reconnaissait pas dans les miroirs sans sa nudité. Se présentait sans nudité comme née d'avertissements sur les dangers. La nudité qui dans cette innocence, seul l'amour lui a enlevé sa nudité.
Se presentaba sin su desnudez. Incluso en las ruinas de sus sueños. En todas partes puro vacío sin silencio. El “Libro de los Sonidos” de Shih Ching. Sale la casa y se envuelve de espejos. Pintó un nuevo colador para el interior del espejo. Entre su aro se colaban a la velocidad de la luz las imágenes circundantes. Le derrotaba la ropa que se desprendía como imagen en dirección al agujero. La seguía su desnudez. Se presentaba sin desnudez. Ante la llamada del sexo del otro y del propio. Se presentaba sin desnudez ante la extrañeza del ojo. Ante el frío de sus propios huesos. Se presentaba sin desnudez ante la desnudez de los ojos. Se presentaba sin desnudez como los objetos perdiendo, desnudos en su desaparición. Se presentaba sin desnudez al principio no reconocida. No se reconocía en los espejos sin su desnudez. Se presentaba sin desnudez como nacido de avisos sobre los peligros. Desnudos en esa inocencia solo el amor le quitaba su desnudez.
Dead of silence. In the sense of lost absence. In Swedish. Echo of time passing under the branches. Multiple time, with its threads leads. As long as he doesn't move in his immobility. Not even from the mouth of time comes light. The eyes smell like clothes. From maybe I take it off. I put it on. It is spent. Tear. Without you. Without smell. Our bodies, their sweat games. His desire for your essence. Fight against getting lost. It is known to cry. In the dawn. He pauses. Distinguishes the space between words. "Siliban" the syllables. They creep as notice. Using the strange arms of the air.
Morts de silence. Au sens de l'absence perdue. En suédois. Echo du temps qui passe sous les branches. Multiple fois, avec ses fils conducteurs. Tant qu'il ne bouge pas dans son immobilité. Pas même de la bouche du temps ne vient la lumière. Les yeux sentent les vêtements. De peut-être que je l'enlève. Je l'ai mis. C'est dépensé. Larme. Sans toi. Sans odeur. Nos corps, leurs jeux de sueur. Son désir de votre essence. Lutte contre la perte. Il est connu de pleurer. A l'aube. Il fait une pause. Distingue l'espace entre les mots. "Siliban" les syllabes. Ils rampent comme avis. Utiliser les bras étranges de l'air.
Muertos de silencio. En el sentido de la perdida ausencia. En su eco. Eco del tiempo que pasa bajo las ramas. Multiple tiempo, con sus hilos conduce. Mientras no se mueve en su inmovilidad. Ni siquiera de la boca del tiempo sale luz. Huelen los ojos a ropa. Del tal vez me la quito. Me la pongo. Se gasta. Desgarra. Sin ti. Sin olor. Nuestros cuerpos, sus juegos de sudor. Su deseo de tu esencia. Lucha contra perderse. Sabido es llorar. En el amanece. Hace pausa. Distinende el espacio entre palabras. “Siliban” las sílabas. Se arrastran como aviso. Usando las extraños brazos del aire.
Why forgetting if there is no memory. For what memory if there is no longer forgetting.
viernes, julio 01, 2022In another life of love. In another source. Look at. Look at us. Like the color of the earth. Of the lost and forgotten. Sun realizing there is no longer forgetting or absences. Of ourselves, absent. In the very absence flourishing. Why forget if forgetfulness is taken away from us. Clogged unconscious oblivion. For what memory if there is no longer forgetting. Maybe covered cave from the past. With your signs. In stone draft. On his magic blackboard. Memory inscribed in the landscape. I remember the graphic from hunger. Among them the graphic: emaciated upright bodies; after the cannibal banquet. Those are the tests. The rind of meat is eaten. Why forgetting if there is no memory.
Write en miroir. Palimpseste sur painting. Mirror Sub-Irrealism. Random intratextuality.
Pourquoi oublier s'il n'y a pas de mémoire. Pour quelle mémoire s'il n'y a plus d'oubli.
viernes, julio 01, 2022Dans une autre vie d'amour. Dans une autre source. Regarder. Regarde nous. Comme la couleur de la terre. Des perdus et des oubliés. Soleil réalisant qu'il n'y a plus d'oublis ni d'absences. De nous-mêmes, absents. Dans l'absence même florissante. Pourquoi oublier si l'oubli nous est enlevé. L'oubli inconscient obstrué. Pourquoi la mémoire s'il n'y a plus d'oubli. Peut-être une grotte couverte du passé. Avec vos signes. En projet de pierre. Sur son tableau noir magique. Mémoire inscrite dans le paysage intérieur. Je me souviens du graphique de la faim. Parmi eux le graphique : des corps droits décharnés; après le banquet cannibale. Ce sont les preuves. La couenne de la viande est consommée. Pourquoi oublier s'il n'y a pas de mémoire.
Ecrire en miroir. Palimpseste sur peinture. Sous-irréalisme miroir. Intratextualité aléatoire.
Para qué el olvido si ya no hay memoria. Para qué memoria si ya no hay olvido.
viernes, julio 01, 2022En otra vida del amor. En otra fuente. Mirar. Mirarnos. Como color de la tierra. De las perdidas y olvidadas. Sun darnos cuenta ya no hay olvido ni ausencias. De nos mismos, ausentes. En la propia ausencia florecientes. Para qué olvidar si se nos quita el olvido. Tapado olvido inconsciente. Para qué memoria si ya no hay olvido. Tal vez cueva cubierta del pasado. Con sus signos. En el borrador de piedra. En su mágica pizarra. Inscrita del paisaje la memoria. Del hambre el gráfico recuerdo. Entre ellos el gráfico: cuerpos erguidos descarnados; posterior al caníbal banquete. Esas son las pruebas. Se come la corteza de la carne. Para qué el olvido si ya no hay memoria.
Écriture en miroir. Palimpseste sur peinture. SubIrrealismo en espejo. Intratextualidad aleatoria.