Amour emprunté tu as infusé dans la flamme numéro lien centre noyau des coins nœud nœud appel piégé au lien qui ne mène à aucune page points fondamentaux agitation agitée cécité des yeux disséqués de l'âme dévorant la chair vivante essayant de dire avec la vibration du regard comment le temps passait Amour emprunté tu as infusé dans la flamme numéro lien centre...
Une extase de chagrin touchée par la vie dite banale où le corps est un rêve dans les yeux présents rêves étendus à tout le corps jusqu'à la présence permanente ouverts écarquillant les yeux sur le paysage d'automne pour oublier qu'on a appris même si plus personne ne s'en souvient cette dystopie actuelle centre de notre univers aux confins inconnus où tout s'entend...