Une extase de chagrin touchée par la vie dite banale où le corps est un rêve dans les yeux présents rêves étendus à tout le corps jusqu'à la présence permanente ouverts écarquillant les yeux sur le paysage d'automne pour oublier qu'on a appris même si plus personne ne s'en souvient cette dystopie actuelle centre de notre univers aux confins inconnus où tout s'entend et dit ce dont nous doutions quand nous demandions si c'était notre heure