Dans cette vie centrée qui s'ouvre. Dans le regard d'être vu. Dans un certain temps tomber. Nous étions inhabités. Paroles solaires. Du bar Sol Olvido, comme dirait le chanteur à qui je l'attribue. Votre oubli « ne passera pas », comme disent les banderoles. Qui se souviennent peut-être de nous quand nous allions main dans la main. Comme promis et dit. Pour cet Oblivion que personne n'habite. Dans cet inconnu quelque part. Rappelle-moi les limites de ce que tu dis. Où les limites se font entendre. Dans le cadre de la structure d'ombre. Où vibre la musique de l'aveuglement. Il vibre comme le corps des araignées sociales.

 Les métaphores ne conviennent pas à la lecture

Gouverne la métamorphose du silence. Les vannes dépendent également de la pression. Cerques atrophiques. Déjà les longues routes aériennes. Troncs multichambres. Sécrétions d'une trachée. Élastiques en spirale. Ils fonctionnent simultanément comme uniques. Invagination des extrémités du sens des mots et de leurs regroupements pour rétablir la continuité du texte supposé. A travers ses canaux, ses métiers. Musculature robuste des plis des parois. Chemins tortueux. Des rangs croisés les rejoignent. Mosaïque d'images partielles, brisées, sans défense. Gouverne la métamorphose du silence.

Autobiographies. Ecrire en miroir. Palimpseste sur peinture. Sous-irréalisme miroir. Intratextualité aléatoire.