Nous regardions l'heure d'avant. Quand nous n'étions pas encore faits l'un pour l'autre. Seules les ombres de nos mains dérivent des ombres des ombres. Nous étions index du temps dans une mémoire externe qui parle en clefs indéchiffrables. Nous étions un matin géant de pierre et de glace pilée comme des murs incessants situés entre l'immensité des cordes entrecoupées, sans se toucher. Dans ce labyrinthe de silence perdu, bien que proche, sans se voir, criant des regards nous appelant, ignorant que nous étions là.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

We were looking at the time before. When we were not yet made for each other. Only shadows of our hands drifting from the shadows of the shadows. We were index of the time in an external memory that speaks in indecipherable keys. We were a giant morning of stone and ice crushed like incessant walls located between the immensity of the interspersed strings, without touching. In that labyrinth of silence lost, although close, without seeing each other, shouting for glances calling us, ignoring that we were there.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Estábamos mirando al tiempo anterior. Cuando aún no éramos uno para el otro. Solo sombras de nuestras manos a la deriva de las sombras de las sombras. Éramos índice del tiempo en una memoria externa que habla en claves indescifrables. Éramos un gigante mañana de piedra y hielo aplastados como incesantes muros situados entre la inmensidad de las cuerdas intercaladas, sin tocarse. En ese laberinto del silencio perdidos, aunque cercanos, sin vernos, a gritos de miradas llamándonos, ignorando que allí estábamos.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Les yeux de la mémoire. Des mots, fort. Noix du passé. Ce souvenir du temps sec. Les mots brisés nous blessent. Oui, comme ça, là où ils nous font mal comme du bois. Puis vient ce qui nous brise. Ce qui ne va pas pense. Vous vivez mal. Il est difficile de vivre avec la tromperie et la douleur. La tromperie de pierre nous conçoit. Comment dire le vôtre infini. Parmi les ombres disparues. Il nous enveloppe. Au-delà de notre mémoire manquante.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 The eyes of memory. From words, strong. Nuts of the past. That memory of dry weather. Broken words hurt us. Yes, like this, there where they hurt us hard as wood. Then comes that which breaks us. What is wrong thinks. You live badly. It is difficult to live with deception and pain. Stone deception conceives us. How to say yours infinity. Among the disappeared shadows. It envelops us. Beyond our missing memory.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Los ojos de la memoria. De las palabras, fuertes. Frutos secos del pasado. Esa memoria del tiempo seco. Las palabras rotas nos duelen. Sí, así, ahí donde nos duelen duro como madera. Después viene eso que nos parte. Lo que se mal piensa. Mal se vive. Mal se vive con el engaño y el dolor. Engaño de piedra nos concibe. Como decir tuyo infinito. Entre las desaparecidas sombras. Nos envuelve. Más allá de nuestra memoria desaparecida.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Qui étais-je sans toi. Sans moi. Long oubli. Regardez vers le passé sans demain. Pas de rêves ni d'espace. Et tu m'apparais. Donc tous les matins. Tu m'as réveillé Changer la lumière de l'horizon. La lumière de te voir. Un autre et le même pour vous. Tu me fais corps. Je sors du confinement et j'existe. Je sors de ma déception. En pensant à toi j'oublie. Toi, ma présence. Tu me fais du bruit Et nid. Et l'existence dans le temps. Vous êtes mes yeux de fenêtres. Des yeux en verre transparent où passe la vie.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Who was I without you. Without me. Long oblivion. Look to the past without tomorrow. No dreams or space. And you appear to me. So every early morning. You wake me up Changing the light of the horizon. The light of seeing you. Another and the same to you. You make me body. I come out of the confinement and I exist. I come out of my deception. Thinking of you I forget. You, my presence. You make me noise And nest. And existence in time. You are my windows eyes. Transparent glass eyes where life passes.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Quién fui yo sin ti. Sin mí. Largo olvido. Mirar al pasado sin el mañana. Sin sueños ni espacio. Y me apareces. Así cada mañana temprano. Me amaneces. Cambiando la luz del horizonte. La luz de verte. Otra y misma a ti. Me haces cuerpo. Salgo del encierro y existo. De mi engaño salgo. Pensando en ti me olvido. Tú, mi presencia. Me haces ruido. Y nido. Y existencia en el tiempo. Eres mis ojos de ventanas. Ojos de cristal transparente por donde la vida pasa.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Build the ability to let yourself be spoken by words. Inside them as much as in exteriority without leaving us corpses. Let them catch us and in fornication, make us pregnant. Throwing us out of nonsense hell. Come to light. That of your life-giving eyes. From you. Of whom you make me beyond the bone. Of that thing that without you I look without seeing myself. Your long look makes me. Oblivion clears me. It makes me dream of life.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Développez la capacité de vous laisser parler par des mots. En eux autant qu'en extériorité sans nous laisser de cadavres. Qu'ils nous attrapent et dans la fornication, nous rendent enceintes. Nous jeter hors de l'enfer des absurdités. Venez à la lumière. Celui de tes yeux vivifiants. De toi. De qui tu me fais au-delà de l'os. De cette chose que sans toi je regarde sans me voir. Votre long regard me fait. L'oubli m'efface. Cela me fait rêver de la vie.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Construir habilidad para dejarse hablar por las palabras. Dentro de ellas tanto como en exterioridad sin que nos deje cadáveres. Que nos cojan y en la fornicación, nos embaracen. Tirándonos fuera del sinsentido infierno. Salir a la luz. La de tus ojos dadores de vida. A partir de ti. De quien me haces más allá del hueso. De esa cosa que sin ti miro sin verme. Tu larga mirada me hace. Me despeja el olvido. Me hace sueño de la vida.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Flyer de l'espace extra-atmosphérique inconnu. Phénomène aérien dans l'espace infini. Avec leurs formes volantes. Apparition intermittente apparition. Observations de phénomènes phénoménaux. Céleste, comme de nouveaux anges contemporains. Lumineux, lumineux, de jour, de nuit. Signalé partout sur Terre. A des distances astronomiques. Dans l'espace extraterrestre, au-delà de l'eau.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Unknown outer space flyer. Aerial phenomenon in infinite space. With their flying shapes. Appearing intermittent appearing. Phenomenal phenomena observations. Celestial, like new contemporary angels. Bright, luminous, daytime, nighttime. Reported in every place on Earth. At astronomical distances. In the extra-terrestrial space, beyond the water.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Volador de espacio sideral desconocido. Aéreo fenómeno en infinito espacio. Con sus voladoras formas. Apareciendo intermitentes apareciendo. Observaciones fenómenos fenomenales. Celestial, como nuevos ángeles contemporáneos. Brillantes, luminosos, diurnos, nocturnos. Reportados en cada lugar de la Tierra. A distancias astronómicas. En el espacio extra-terrestre, más allá del agua.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Enlevé l'arbre incessant dans sa croissance virtuelle. Deux arbres. Deux racines. Seul côté. Dans l'ombre de la terre. Enraciné. Semé. Dans les racines profondes. Et je te vois brancher. Balancement de l'air. Dans l'immobilité du temps. Déjà dans la confiance totale de l'amour et de l'illusion. Accroché à notre voix. Producteurs de sève abondante avec laquelle les mots se diluent. En eux, nous n'allons pas aussi morts dans notre incompréhension. Tombeau de l'enfer des mots. Désormais dans la tentative incessante de sa renaissance.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Abducted the incessant tree in its virtual growth. Two trees. Two roots. Single side. In the shadows of the earth. Rooted. Sown. In the deep roots. And I see you branch. Swaying of the air. In the immobility of time. Already in the total trust of love and illusion. Clinging to our voice. Producers of abundant sap with which words are diluted. Within them we do not go as dead in our incomprehension. Tomb of the hell of words. From now on in the incessant attempt of its rebirth.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Abducido el árbol incesante en su virtual crecimiento. Dos árboles. Dos raíces. Un solo lado. En las sombras de la tierra. Arraigados. Sembrados. En las profundas raíces. Y te veo rama. Vaivén del aire. En la inmovilidad del tiempo. Ya en la total confianza del amor e ilusión. Aferrados a nuestra voz. Productores de abundante savia con la que se diluyen las palabras. Dentro de ellas no vamos como muertos en nuestra incomprensión. Tumba del infiernos de las palabras. A partir de ahora en el incesante intento de su renacimiento.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 La cavité de l'abdomen où les mots s'écrasent pour devenir nos oreilles digestives. Ils en viennent aux mains. Ils grincent. Ils deviennent une nuit de verre brisé de conscience. Contre ta liberté. Contre la beauté de la parole. Des iconoclastes importants ont émergé du chaos de l'évolution. Cela ne prend que des mots. Principe de foi dans la lettre. Ils ont brisé le verre peint de sublimes yeux brisés, grands, aspiration vers les profondeurs du sens élevé. Les arbres. L'arbre. Hey vous.

Sens, puis ex-isto comme hypothèse/thèse.

The cavity of the abdomen where words crush themselves to become our digestive ears. They come to blows. They creak. They become a night of broken glass of consciousness. Against your freedom. Against the beauty of speech. Significant iconoclasts emerged from the chaos of evolution. That only take words. Principle of faith in the letter. They broke the painted glass with sublime broken, big eyes, aspiration towards the depths of the high sense. The trees. The tree. Hey you.

Sense, then ex-isto as a hypothesis / thesis.

 La cavidad del abdomen donde las palabras se trituran a si mismas para hacerse a nuestros oídos digestivas. Llegan a las manos. Se crujen. Se hacen noche de cristales rotos del sentido. Contra su libertad. Contra la belleza del discurso. Iconoclastas significantes surgidos del caos de la evolución. Que solo llevara palabras. Principio de la fe en la letra. Rompían los cristales pintados de rotos sublimes, grandes ojos, aspiración hacia las profundidades del elevado sentido. Los árboles. El árbol. Eh, tú.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Abbreviating the meaning. So brief so brief that it is sought. So brief that it breaks. It grows back. Breaks. The sense is broken inside. Meeting the cold gaze of the eye. He spends time with himself. It pretends to be transparency. Transparent trees. Reflections of scriptures. Their peaks puncture the globes of air, the roots of air, glass and air.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Abréger le sens. Si bref si bref qu'on le cherche. Tellement bref que ça casse. Il repousse. Se casse. Le sens est brisé à l'intérieur. Rencontrer le regard froid de l'œil. Il passe du temps avec lui-même. Il prétend être transparent. Arbres transparents. Réflexions des écritures. Leurs pics percent les globes d'air, les racines d'air, le verre et l'air.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Abreviando el sentido. Tan breve tan breve que se busca. Tan breve que se rompe. Vuelve a crecer. Se rompe. Se rompe el sentido por dentro. Al encuentro con la frialdad mirada del ojo. Se transcurre el tiempo consigo mismo. Pretende ser transparencia. Árboles transparentes. Reflejos de escrituras. Sus picos pinchan los globos del aire, las raíces de aire, de cristal y de aire.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Las reglas de la gramática como las de un íntimo monasterio. Y nosotros, tinta de palabras. Cuerpos llenos de hambre. Como límite cuerpo. Del otro lado del cuerpo. Uno y completo. Descompletado y uno. Dividido y ser. Carnalidad que nos hace. Más allá del amor, más acá del cuerpo. Del indeterminado cuerpo. Sus indefinidas carencias. Sus maléficas sombras empujan hacia el más allá que la carne. Hacia esa realidad externa inconstante. En la prisa de ser comido por el hambre del espejo.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Des mots détestés qui ne nous aiment pas. Ils massacrent nos sens. Des cris de terreur. Il n'y a pas plus de tristesse que l'oubli. Dans l'oubli, le bruit est un danger. Ils affectent d'autres dimensions en tant que messages cachés à travers les cristaux extérieurs. Naufragés, les cristaux écorchés par le temps hurlent. Son enfermement. Son enfermement. La terre infernale de l'univers.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Hated words that don't love us. They slaughter our senses. Screams of terror. There is no more gloom than oblivion. In oblivion noise is a danger. They affect from other dimensions as hidden messages through the crystals outside. Shipwrecked, the crystals flayed by time scream. His confinement. His confinement. The Hell Land of the Universe.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Aborrecidas palabras que no nos aman. Nos degüellan los sentidos. A gritos de terror. No hay ya más penumbra que el olvido. En el olvido es un peligro el ruido. Afectan desde otras dimensiones como ocultos mensajes a través de los cristales de fuera. Gritan náufragos los cristales despellejados por el tiempo. Su encierro. Su encierro. La Tierra del Infierno del Universo.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Abominable innocence of not knowing what one suffers. To the innocent forgetfulness of what I forget. To be in a simple way, stone, wonderful earth; as the one who does not want the thing. All things that are words. Your messages. Wounds Unforgettable. Lean secrets. Odes without rhythm of words. Message upon message crossed by letter. Abandoned words.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Innocente abominable de ne pas savoir ce qu'on souffre. A l'oubli innocent de ce que j'oublie. Être d'une manière simple, pierre, terre merveilleuse; comme celui qui ne veut pas de la chose. Toutes choses qui sont des mots. Tes messages. Blessures Inoubliable. Secrets maigres. Odes sans rythme de paroles. Message sur message croisé par lettre. Mots abandonnés.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Abominable inocencia del no saber de lo que se sufre. Al inocente olvido de lo que se me olvida. Ser de forma sencilla cosa, piedra, maravillosa tierra; como el que no quiere la cosa. Todas las cosas que son las palabras. Sus mensajes. Heridas. Imborrables. Descarnados secretos. Odas sin ritmo de palabras. Mensaje sobre mensaje cruzados por la letra. Palabras abandonadas.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Complice pleure comme un appel. Préparez les chemins du retour. Avec son regard fort, confiant et insolent. Comme la vie en arrière-plan. Comme l'amour de la terre. Comme le cœur en urgence. Face au désir de vivre. Il y avait vos mots escaliers vers le ciel. Alors le ciel n'est plus fait de pierre. Ni calciné ni pierre. Je vis les mains ouvertes. Avec les mots germés. Eh bien, je vous écris. Je vous parle en votre nom. Innocent et amour. Fils coupable de douleur. De ce rivage où je ne suis pas allé. Je suis opposé à la mort.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Accomplice cries as a call. Prepare the ways to return. With his strong, confident and insolent gaze. Like life in the background. Like the love of the land. Like the heart in urgency. Facing the longing for life. There were your words stairs to heaven. Then the sky is no longer made of stone. Neither calcined nor stone. I live with open hands. With the germinated words. Well, I'm writing to you. I speak to you on your behalf. Innocent and love. Son guilty of pain. From that shore where I did not go. I am opposed to death.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Cómplice llora como llamada. Prepara los caminos del volver. Con su mirada fuerte, segura e insolente. Como la vida en segundo plano. Como el amor de la tierra. Como el corazón en urgencia. Frente al ansia de la vida. Fueron allí tus palabras escaleras hacia el cielo. Entonces el cielo ya no es de piedra. Ni calcinado ni de piedra. Vivo con las manos abiertas. Con las palabras germinadas. Pues te escribo. Te hablo en tu nombre. Inocente y amor. Hijo culpable del dolor. Desde aquella orilla donde no fui. Me opongo a la muerte.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Espanha. Ilhas Canárias. Erupção do vulcão Cumbre Vieja. Baixa do dia. Alguém lamenta a perda da terra, longe no mar largo. Lá, rugido e silêncio. Da ameaça de silêncio. Nossas casas perdidas sob a terra líquida. Toda nossa vida emocional enterrada. Não poderemos nem ver as ruínas, os tijolos, as pedras, as janelas. A vida enterrada chora. As fotos, memórias, queimadas. Pedaço visual do passado apagado, sem matéria. Os caminhos que nos conduziam à nossa porta, ao nosso jardim, às suas árvores frutíferas, aos cães, às cabras foram apagados. Grite, daí, a dor terrível.

Sentir, então ex-isto como uma hipó/tese.

 スペイン。カナリア諸島。クンブレビエハ火山の噴火。その日の安値。遠く離れた広い海で、誰かが土地の喪失を悼みます。そこに、轟音と沈黙。沈黙の脅威から。私たちの家は液体の地球の下で失われました。私たちのすべての感情的な生活は埋もれています。廃墟、レンガ、石、窓すら見えなくなります。埋葬された人生は嘆き悲しむ。写真、思い出、燃やされた。過去の視覚的な部分は問題なく消去されました。私たちをドア、庭、果樹、犬、山羊に導く道は消されました。そこから、ひどい痛みを叫びなさい。

感覚、そして仮説/論文としてのex-isto。

 स्पेन। कैनरी द्वीप। कुम्ब्रे विजा ज्वालामुखी का विस्फोट। दिन का नीचा। कोई दूर विस्तृत समुद्र में भूमि के नुकसान का शोक मनाता है। उधर, गर्जना और सन्नाटा। चुप्पी की धमकी से। हमारे घर तरल पृथ्वी के नीचे खो गए। हमारा सारा भावनात्मक जीवन दफन हो गया। हम खंडहर, ईंटें, पत्थर, खिड़कियां भी नहीं देख पाएंगे। दबी हुई जिंदगी मातम मनाती है। तस्वीरें, यादें, जल गईं। अतीत का दृश्य टुकड़ा मिट गया, बिना किसी बात के। जो रास्ते हमें हमारे दरवाजे, हमारे बगीचे, उसके फलों के पेड़, कुत्तों, बकरियों तक ले जाते थे, वे मिट गए। चिल्लाओ, वहाँ से, भयानक दर्द।

सेंस, फिर एक्स-आइस्टो एक परिकल्पना / थीसिस के रूप में।

 סְפָרַד. האיים הקנריים. התפרצות הר הגעש קומברה וייחה. שפל היום. מישהו מתאבל על אובדן הארץ, רחוק בים הרחב. שם שאגה ודממה. מאיום השתיקה. הבתים שלנו אבדו מתחת לאדמה הנוזלית. כל חיי הרגשות שלנו קבורים. אפילו לא נוכל לראות את ההריסות, את הלבנים, האבנים, החלונות. החיים הקבורים מתאבלים. התמונות, הזיכרונות, נשרפו. פיסה חזותית של העבר נמחקה, ללא כל עניין. השבילים שהובילו אותנו לדלתנו, הגינה שלנו, עצי הפרי שלה, הכלבים, העזים נמחקו. תצעק, משם, הכאב הנורא.

 스페인. 카나리아 제도. 쿰브레 비에하 화산 폭발. 낮음. 넓은 바다에서 멀리 떨어진 땅을 잃은 슬픔을 슬퍼하는 사람이 있습니다. 거기, 포효와 침묵. 침묵의 위협에서. 우리의 집은 액체 지구 아래에서 길을 잃었습니다. 우리의 모든 감정적 삶이 묻혀 있습니다. 우리는 폐허, 벽돌, 돌, 창문조차 볼 수 없을 것입니다. 묻힌 삶이 슬퍼합니다. 사진, 추억, 불타올랐다. 과거의 비쥬얼 조각은 아무 것도 없이 지워진다. 우리를 우리의 문, 정원, 과일 나무, 개, 염소로 인도하는 길이 지워졌습니다. 비명, 거기에서 끔찍한 고통.

Sense, 그리고 ex-isto는 가설/테제로 존재합니다.

 西班牙。加那利群岛。 Cumbre Vieja 火山喷发。当天低位。有人哀悼失去土地，远在广阔的大海中。那里，咆哮而寂静。来自沉默的威胁。我们的房子在液态泥土下消失了。我们所有的感情生活都被埋没了。我们甚至看不到废墟、砖块、石头和窗户。被埋葬的生命哀悼。照片，回忆，燃烧。过去的视觉片断抹去，无所谓。通往我们家门口的小路、我们的花园、果树、狗、山羊都被抹去了。尖叫，从那里，可怕的痛苦。

Sense, then ex-isto 作为假设/论文。

 إسبانيا. جزر الكناري. انفجار بركان كومبر فيجا. تم إنزال أيديهم. المزيد من الشعور. في اليأس هم لحم. يشعرون أنهم يشعرون بها. في بعض الأحيان يكونون جائعين ، مكتئبين. الرغبة في الهروب. يبتسمون بأمل بين أصابعهم. يبتسمون مثل أوراق الشجر في مهب الريح. ورقة نحن. يترك اليدين. أوراق البطن. الصفاء يحسد. إنها لا تعرف سمها. إنه لا يعرف أن هناك شيئًا ما. كما في البداية حيث تم بناؤه.

 Spanien. Kanarische Inseln. Ausbruch des Vulkans Cumbre Vieja. Ihre Hände wurden gesenkt. Mehr Gefühl. In Verzweiflung sind sie Fleisch. Sie fühlen, dass sie sie fühlen. Manchmal sind sie hungrig, niedergeschlagen. Vom Verlangen als Flucht. Sie lächeln mit Hoffnung zwischen den Fingern. Sie lächeln wie Blätter im Wind. Blatt wir sind. Hinterlässt Hände. Bauch geht. Gelassenheit beneidet. Es kennt sein Gift nicht. Er weiß nicht, dass da was raus ist. Wie am Anfang, wo es gebaut wurde.

Sinn, dann ex-isto als Hypo/These.

 Espagne. Îles Canaries. Éruption du volcan Cumbre Vieja. Les mains ont été abaissées. Plus de sensation. Dans le découragement, ils sont chair. Ils sentent qu'ils les ressentent. Parfois, ils ont faim, sont abattus. Du désir comme évasion. Ils sourient avec de l'espoir entre leurs doigts. Ils sourient comme des feuilles au vent. Fiche nous sommes. Laisse les mains. Le ventre part. La sérénité envie. Il ne connaît pas son poison. Il ne sait pas qu'il y a quelque chose dehors. Comme au début où il a été construit.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Spain. Canary Islands. Eruption of the Cumbre Vieja volcano. Hands were lowered. More feel. In despondency they are flesh. They feel that they feel them. Sometimes they are hungry, dejected. Of desire as escape. They smile with hope between their fingers. They smile like leaves in the wind. Sheet we are. Leaves hands. Belly leaves. Serenity envies. It does not know its poison. He does not know that there is something out. Like at the beginning where it was built.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 A bajo del día. Alguien llora por la pérdida de la tierra, allá lejos en el amplio mar. Allí, rugido y silencio. De la amenaza silencio. Las casas nuestras perdidas bajo la líquida tierra. Toda nuestra vida emotiva sepultada. Ni siquiera podremos ver las ruinas, los ladrillos, piedras, ventanas. Llora la vida sepultada. Las fotos, recuerdos, quemadas. Trozo visual del pasado borrado, sin materia. Se borraron los caminos que nos llevaban a nuestra puerta, nuestro huerto, sus frutales, los perros, las cabras. Grita, desde allí, el terrible dolor.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Their hands were lowered. More feel. In despondency they are flesh. They feel that they feel them. Sometimes they are hungry, dejected. Of desire as escape. They smile with hope between their fingers. They smile like leaves in the wind. Sheet we are. Leaves hands. Belly leaves. Serenity envies. It does not know its poison. He does not know that there is something out. Like at the beginning where it was built.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Se abatían las manos. Mas sienten. En el abatimiento son carne. Sienten que las sienten. A veces son hambre, abatida. Del deseo como fuga. Sonríen con la esperanza entre los dedos. Sonríen como hojas al viento. Hoja somos. Hojas manos. Hojas vientre. La serenidad envidia. No sabe su veneno. No sabe que hay algo fuera. Como al comienzo donde se fue construyendo.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 I carry you inside. Stunned by the great noise. Ahead of causality. In front of every closed door. Of every shadow. Under the shadow. Shadows of announced catastrophes. From ferment to ruin. Sacrificial. Evil dribbles every time suffering is done. A thousand times the slime. Acid burns.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Je te porte à l'intérieur. Abasourdi par le grand bruit. En avance sur la causalité. Devant chaque porte fermée. De chaque ombre. Sous l'ombre. Ombres de catastrophes annoncées. Du ferment à la ruine. Sacrificiel. Le mal dribble chaque fois que la souffrance est faite. Mille fois la bave. Brûlures acides.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Te llevo dentro. Aturdido por el gran ruido. Delante la causalidad. Delante de cada puerta cerrada. De cada sombra. Bajo la sombra. Sombras de catástrofes anunciadas. De fermento de ruina. Sacrificial. Babea el mal cada vez se hace el sufrimiento. Mil veces la baba. Ácida quema.  

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Cherchez le manque, ce qui manque ou dit manque. Les otages harcelés s'ouvrent à la tristesse. Del il n'y a pas. S'il y a. Et hostile, pensez-vous. Et aimer tu penses. Dans l'espace rouge. Couleur solitaire. Perdu dans le futur. Sans avenir et ouvert. Les portes! Les portes! Ceux du temps. Cela s'ouvre. Et ça ferme. Et ça s'ouvre. Passe passe. Assis dans votre attente. En attente à l'intérieur. Qu'est-ce qui se passe, qu'est-ce qui se passe. Il se déplace de l'intérieur, de l'extérieur. De peur, mort.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Look for the lack, what is missing or says is missing. Hostages harassed open to sadness. Del there is not. Yes there are. And hostile you think. And loving you think. In the red space. Solitary color. Lost in the future. Without future and open. The doors! The doors! Those of time. That opens. And it closes. And it opens. Come in, come in Sitting in your waiting. Inside waiting. What is going, what is going. It moves from the inside, from the outside. From fright, dead.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Buscar la falta, lo que falta o dice que falta. Rehenes acosados abiertos a la tristeza. Del no hay. Sí hay. Y hostil piensas. Y amando piensas. En el rojo espacio. Solitario color. Perdido en el futuro. Sin futuro y abierto. ¡Las puertas! ¡Las puertas! Las del tiempo. Que se abre. Y se cierra. Y se abre. Pasa, pasa. Sentado en su espera. Dentro de la espera. Que se va, que se va. Se mueve desde dentro, desde fuera. De espanto, muerto.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 And the pain. And the kisses. And the pain. Your shores. They are late. To the hits of the sun. To your precision. Scapegoat. At the right time. Time is poured. There was still no describing the pain. Its collapse. Inside the mirrors. The room was getting smaller. The blankets screamed. Not even the high night sky. Daily. Sometimes dressed in black. Rain couple. Whose hands. Whose hands. Face of the rain. Hostage to the humidity of the sky. Hostage of sadness.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Et la douleur. Et les baisers. Et la douleur. Vos rives. Ils sont en retard. Aux coups de soleil. À ta précision. Bouc émissaire. Au bon moment. Le temps est versé. Il n'y avait toujours pas de description de la douleur. Son effondrement. A l'intérieur des miroirs. La pièce devenait plus petite. Les couvertures criaient. Pas même le ciel nocturne élevé. Du quotidien. Parfois vêtus de noir. Couple de pluie. Dont les mains. Dont les mains. Visage de la pluie. Otage de l'humidité du ciel. Otage de la tristesse.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Y el dolor. Y los besos. Y el dolor. Tus orillas. Son tarde. A los golpes del sol. A su precisión. Víctima propiciatoria. Al buen momento. Se derrama el tiempo. Aún no hubo describiendo el dolor. Su derrumbe. Dentro de los espejos. Se achicaba la habitación. Gritaban las mantas. Ya ni el alto nocturno cielo. Diario. A veces, vestido de negro. Pareja de la lluvia. Cuyas manos. Cuyas manos. Rostro de la lluvia. Rehén de la humedad del cielo. Rehén de la tristeza.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Quand tu regardes, je suis à l'intérieur. A l'intérieur de l'espace que la fenêtre s'ouvre pour vous. De l'autre côté, moi. Comme un parc verdoyant ou un long champ. Quand tu regardes par la fenêtre, je suis à l'intérieur. De l'autre côté je pense. Et tes cheveux sur les épaules du vent. Et le vol. Et les rêves. Et la nuque des rêves. Ma nourriture. Vous fleurissez le sourire. Tu reprends mes mains. Les vôtres à moi, paumes. Des rythmes sonores aux chansons joyeuses. Ils me disent. Ils me disent. Je parle pour eux. Ils me tiennent au-dessus du sol. Les pieds flottant. Les genoux tremblent. La danse. La danse.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 When you look, I am inside. Inside the space that the window opens for you. On the other side, me. Like a green park or a long field. When you look out the window I am inside. On the other side I think. And your hair on the shoulders of the wind. And the flight. And the dreams. And the nape of dreams. My food. You bloom smile. You pick up my hands again. Yours mine, palms. From sonorous rhythms to happy songs. They tell me. They tell me. I am speaking for them. They hold me above the ground. The feet floating. The knees shaking. The dance. The dance.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Cuando miras yo estoy dentro. Dentro del espacio que te abre la ventana. Del otro lado, yo. Como verde parque o largo campo. Cuando miras por la ventana yo estoy dentro. Del otro lado me pienso. Y tu cabellos sobre los hombros del viento. Y el vuelo. Y los sueños. Y la nuca de los sueños. Mi alimento. Floreces sonrisa. Vuelves a recoger mis manos. Las tuyas mías, palmas. De ritmos sonoros de alegres cantos. Me dicen. Me dicen. Por ellas hablado soy. Me sostienen por encima del suelo. Los pies flotando. Las rodillas temblando. El baile. El baile.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

Il a écrit une écriture brisée. De grains de sable. Des frontières brisées qui ne connaissent pas l'espace. L'espace naît dans tes bras, sur tes lèvres, la parole. Cette île aux mouettes que le monde commande. Cela commande l'attente. Cette partie de vous dessiné, comme un temps étrange et vulnérable. Toi, amant, de tous les enfers flétris. D'où émane la douleur des non-dits.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 He wrote broken writing. Of grains of sand. Broken boundaries that do not know the space. The space is born in your arms, on your lips, the word. That island of seagulls that the world orders. That orders the wait. That part of you drawn, like a strange and vulnerable time. You, lover, of all withered hells. Where the pain of unspoken words emanates from.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

Escribía escritura rota. De granos de arena. Límites rotos que desconocen el espacio. Me nace el espacio en tus brazos, en tus labios, la palabra. Esa isla de gaviotas que ordena el mundo. Que ordena la espera. Aquella parte de ti dibujada, como un tiempo extraño y vulnerable. Tú, amante, de todos los marchitos infiernos. De donde emana el dolor de las palabras no dichas.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

It does not matter the import. They say. Choked on self-love. Drunk from their impossible night. They want to shine like trees. For centuries, for centuries. Swallow the light from the rooftops. Their houses filling themselves, in that great night of their body. His body waiting. The night of the trembling is shaken. Their empty secrets are shaken. They pretend to be chests of precious jewels, rubies, diamonds.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Peu importe l'importation. Ils disent. Étouffé par l'amour-propre. Ivre de leur impossible nuit. Ils veulent briller comme des arbres. Pendant des siècles, pendant des siècles. Avalez la lumière des toits. Leurs maisons se remplissent, dans cette grande nuit de leur corps. Son corps attend. La nuit du tremblement est secouée. Leurs secrets vides sont ébranlés. Ils se font passer pour des coffres de bijoux précieux, rubis, diamants.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Regardez, maintenant confessez le souffle. Maintenant, j'espère que je peux embrasser ta bouche. Je pensais t'avoir entendu. Cela dépend de toi. La vie est votre propriétaire. Avec sa précipitation tellement. Ça m'attaque, ça me surprend, ça me déçoit. Chaque tendre humain me touche, me tue. Parfois, il pleure pour moi. Toi, la vie, mon complice. Ici, tous deux nous donnent des signes de désert. Regardez les signaux blessés. Je ne sais ni ne regarde. Ça fait mal comme une goutte d'œil. Comme quelque chose de complet de la chute avec ses mains de silence, comme un effondrement, comme un effondrement bombardé. Comme des silences au visage blanc.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Look, now confess the breath. Now I hope I can kiss your mouth. I thought I heard you. It depends on you. Life is your owner. With his rush so much. It lashes out at me, it surprises me, it disappoints me. Every tender human touches me, kills me. Sometimes he cries for me. You, life, my accomplice. Here both giving us signs of desert. Look signals hurt. I neither know nor look. It hurts like an eye dropping. As something complete of the fall with his hands of silence, as a collapse, as a shelled collapse. Like white-faced silences.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Mira, ahora confiesa el aliento. Ahora espero poder besar tu boca. Creí oírte. De ti depende. La vida es tu dueño. Con su prisa tanta. Me arremete, me sorprende, me decepciona. Todo tierno humano  me toca, me mata. A veces me llora. Tú, la vida, mi cómplice. Aquí  ambos dándonos señales de desierto. Hacen daño señales de mirada. Ni sé ni miro. Duele como un ojo cayendo. Como algo completo de la caída con sus manos de silencio, como derrumbe, como desgranado derrumbe. Como silencios de cara blanca.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

It will be curved sliding through the terrible pain. Far far away at every moment. Ola presence all. Impossible presence all. Nest noise. Thing named in chunks possible. To signs of the desert. Thought dunes. The red of sand made the sea before the wind. It rains wind. It rains instead. Place of windows in the desert. Seasonal air and storm. Then time damage. In the next outings. At your signals. One by one they approach defiantly. Now the senses of the streets confess.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Il sera courbé en glissant à travers la terrible douleur. Très loin à chaque instant. Ola présence à tous. Présence impossible à tous. Bruit de nid. Chose nommée en morceaux possible. Aux signes du désert. Dunes de pensée. Le rouge du sable faisait la mer devant le vent. Il pleut du vent. Il pleut à la place. Place des fenêtres dans le désert. Air saisonnier et tempête. Puis dommage du temps. Dans les prochaines sorties. A vos signaux. Un par un, ils s'approchent avec défi. Maintenant, les sens de la rue s'avouent.

Sens, puis ex-isto comme hypothèse/thèse.

 Será curva deslizándose por el terrible dolor. Lejos muy lejos en cada instante. Ola presencia toda. Imposible presencia toda. Nido ruido. Cosa nombrada a trozos posible. A señales de desierto. Dunas pensamiento. Del rojo de arena hizo mar antes viento. Llueve viento. Llueve lugar . Lugar de ventanas en el desierto. Aire de las estaciones y tormenta. Luego daño del tiempo. En las próximas salidas. A sus señales. Una a una se aproximan desafiante. Ahora confiesan los sentidos de las calles.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Nous étions faits de silences instables et lâches comme les voix basses des éléphants avec leurs longues trompes mangeant de la terre demandant la vie. Donne-moi le jour de l'amour et de ses ombres Clés de vie. Regarde-moi comme une joie se termine. Demain peut-être. Pas aujourd'hui pour l'instant. Aube d'une beauté insupportable. En voyage dans le désert. Désert aérien. Sable meuble. Bas prisonnier, tristesse du vide, glissant à travers ses ténèbres.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 We were made of unstable and loose silences like the low-frequency voices of elephants with their long trunks eating dirt asking for life. Give me the day of love and its shadows. Keys of life. Look at me as a joy ends. Tomorrow maybe. Not today for now. Dawn of unbearable beauty. On a desert trip. Air desert. Loose sand. Low prisoner, sadness of the void, sliding through its dark shadows.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Estábamos hechos de silencios inestables y sueltos como voces de baja frecuencia de elefantes con sus largas trompas come tierra pidiendo vida. Entrégame el día del amor y sus sombras.Teclas de la vida. Miradme como una acaba alegría. Mañana quizá. Por ahora no hoy. Amanecer de belleza insoportable. De desierto viaje. Desierto de aire. Arena suelta. Baja prisionera, tristeza del vacío, deslizándose por sus oscuras sombras.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 There you my fruit. And seed. And alone and one. There I look for you. Among all the names. There she, life. It faces us. With your hunger. With our hunger. It feeds on it. It devours a full mouth, full of drive. Who eats his arms. It devours sight. Similar to how death does. The void is filled with meat. Ours. Word evacuated meat. It splattered the windowpanes with its accumulated fat from time and hunger. Of dead seasons. Who drifted from the land, sowing after sowing, and futile harvests.

Sense, then ex-isto as a hypo/hesis.

 Voilà mon fruit. Et la graine. Et seul et un. Là je te cherche. Parmi tous les noms. Là, elle, la vie. Il nous fait face. Avec ta faim. Avec notre faim. Il s'en nourrit. Il dévore une bouche pleine, pleine d'entrain. Qui mange ses bras. Il dévore la vue. Semblable à ce que fait la mort. Le vide est rempli de viande. La notre. Word a évacué la viande. Il éclaboussait les vitres de sa graisse accumulée par le temps et la faim. Des saisons mortes. Qui a dérivé de la terre, semant après semence, et de vaines récoltes.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

Allí tu mi fruto. Y semilla. Y solos y uno. Allí te busco. Entre todos los nombres. Allí ella, la vida. Se nos enfrenta. Con su hambre. Con nuestra hambre. De ella se alimenta. Devora boca llena, plena de pulsión. Quien se come sus brazos. Se devora vista. Semejante a como lo hace la muerte. Se llena el vacío con carne. La nuestra. Carne evacuada de palabras. Salpicaba los cristales de las ventanas con su grasa acumulada de tiempo y hambre. De estaciones muertas. Que se fueron a la deriva de la tierra, siembra tras siembra, y cosechas fútiles.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Ils embrassent les lits. Peut-être qu'ils pensaient qu'ils étaient étrangers. Ils ont changé de nom. Par manque de vie. Et cela a fait le monde avec des pas sombres suivis d'ombres. Ombres brisées. Il y avait des cris qui affirmaient. Des cris nécessaires qui cherchent au-delà du silence. Des cris de perte. Des cris comme des fruits bouillonnants. Je te cherche entre les cris, entre leurs noms. Entre ces cris.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 They hug the beds. Perhaps they thought they were alien. They changed their names. For lack of life. And that made the world with shadowy footsteps followed by shadows. Broken shadows. There were screams that affirm. Necessary screams that seek beyond silence. Screams of loss. Screams like bubbling fruit. I look for you between the screams, between their names. Between those screams.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Se abrazan las camas. Tal vez se creían ajenas. Cambiaron sus nombres. Por falta de vida. Y ese hizo el mundo  con pasos de sombras seguidos por sombras. Quebradas sombras. Había gritos que afirman. Gritos necesarios que buscan más allá del silencio. A gritos de extravío. Gritos como frutos borboteando. Te busco entre los gritos, entre sus nombres. Entre esos gritos.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

Présence abrégée que tu me prends. Pas pour être moins vrai. En étant j'existe, de toi, de moi, ensemble. Peut-être, dans l'incohérence. Perdu dans les chemins. Protégé par notre bouche commune. Dans votre cœur et votre pensée. Où les rêves deviennent réalité. Sa dernière arrivée. Entrez votre nom. A chaque respiration. Son expansion. Des rives de la pluie. De son contour gris là sur fond de ciel. De nœuds de bouches. Ils se sont embrassés avec leurs lèvres à mesure que le champ semé grandit.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Frères, vous prononcez des paroles divines. Berger archaïque. Pour toi je réponds. Ala a prononcé la voix. Le monde. À ta langue. À ta langue prononcée. À ses sources, à ses racines. Alors vivez dans votre révélation. Là, mon âme coule comme la lave brûlante d'un volcan explosif. Son sourire coule liquide. D'où le jour. La journée à l'intérieur. Envahit même les pierres. Donc mon pacte divin. Je t'appartiens. A toi, présence. Ma réflexion. La vérité du moins, j'existe.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Au monastère de la solitude. Cloître. Par vous nommé. Ton nom perpétuel est entré dans le réel de la vieille pierre. Tu crois Des voix. La voix de Dieu. Le seul à elle. Dites votre nom, Präsident. La voix des autres vous change. Les oiseaux! Les oiseaux! Le doute devant le miroir ! La doute! Aucune image de visage. Sans nom. Et la terrible angoisse à proximité. Avec ses ombres nocturnes. Ils sont pour les cris qui traversent les arbres du parc. Tous les cris du Shining. Sans réponse. Pas de couloirs derrière la porte. La voix est annoncée. Haut jusqu'au sommet de la langue.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Confus, nous tremblions. En toi la pluie et le paysage invisible. Raisins du matin parfaits dans le flotteur thermique. La flore pousse sur le rivage aquatique de votre corps. Ce monde des canaux qui s'embrassent dans les vagues du corps. Lumière vibrante qui dévaste le calme tant convoité. Les nœuds sont faits de lumière. Noeuds nocturnes. Champ de révélation du corps. Sur lui les noms déchus. Les ailes mortes sans vol. Ils l'ont oublié. Comment l'encre de ce qui est écrit est oubliée.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Inquiétude incarnée. Partie de vol. Tendance des mains, ces flammes du corps. Je te regardais à l'aube, à l'aube. Perdu flottant ce qui sonne là-bas. Alors qu'il pleut, l'eau résonne à la tombée de la nuit, elle est lue. Les jours viennent et ils sont lus. Avec les ailes et les yeux fermés le vol est lu. C'est ta façon de me faire taire. Un silence épais jeté dans les mâchoires humides des chiens, aux gueule des bêtes furieuses, dans la confusion de la faim ils tremblent comme des gouttes de pluie tombant sur l'air âpre.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Abbreviated presence that you take from me. Not for being less true. In being I exist, of you, of me, together. Perhaps, in inconsistency. Lost in the ways. Protected by our joint mouth. In your heart and thought. Where dreams come true. His last arrival. Enter in your name. At every breath. Its expansion. From the shores of the rain. Of its gray outline there on a sky background. From knots of mouths. They hugged each other with their lips as the sown field grows.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Brothers, you speak divine words. Archaic shepherd. For you I answer. Ala pronounced voice. To the world. To your tongue. To your pronounced tongue. To its sources, to its roots. So living in your revelation. There my soul flows like burning lava from an explosive volcano. His smile flows liquid. Hence the day. The day inside. Invades even the stones. So my divine pact. I belong to you. To you, presence. My reflection. Truth of the least, I exist.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 In the monastery of solitude. Cloister. By you appointed. Your perpetual name entered the real of the old stone. You believe Voices. The voice of God. The only one hers. Say your name, Präsident. Other people's voices change you. Birds! Birds! The doubt in front of the mirror! The doubt! No face image. Nameless. And the terrible anguish near. With its nocturnal shadows. They are for the screams that go through the trees of the park. All shouts of the Shining. Unanswered. No hallways behind the door. The voice is announced. High to the top of the tongue.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Confused we trembled. In you the rain and the invisible landscape. Perfect morning grapes in the heat float. Flora grows on the aquatic shore of your body. That world of the channels who embrace in the waves of the body. Vibrant light that devastates the coveted calm. Knots are made of light. Nocturnal knots. Revelation field of the body. On him the fallen names. The dead wings without flight. They forgot about him. How the ink of what is written is forgotten.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Incarnate restlessness. Flight party. Tendency of the hands, those flames of the body. I was looking at you at dawn, at dawn. Lost floating what sounds there. While it rains the water sounds as night falls, it is read. The days come and they are read. With the wings and the eyes closed the flight is read. That's your way of keeping me quiet. Thick silence cast into the wet jaws of dogs, aux gueule of furious beasts, in the confusion of hunger they tremble like raindrops falling on the harsh air.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Abreviada presencia que me quitas. No por ser menos verdad. En el estar existo, de ti, de mí, juntos. Tal vez, en la inconsistencia. Perdidos en las formas. Protegidos por nuestra boca conjunta. En tu corazón y pensamiento. Donde se realizan reales los sueños. Su última llegada. Entrar en tu nombre. A cada suspiro. Su ensanche. De las orillas de la lluvia. De su gris contorno allá sobre fondo cielo. De nudos de bocas. Se abrazaban con los labios mientras crece el sembrado campo.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Hermanos pronunciáis divinas palabras. Arcaico pastor. Por ti respondo. Ala voz pronunciada. Al mundo. A tu lengua. A tu lengua pronunciada. A sus fuentes, a su raíz. Así viviendo en tu revelación. Allí fluye mi alma como lava ardiente de explosivo volcán. Fluye líquida su sonrisa . Por eso el día. El día dentro. Invade hasta las piedras. Así mi divino pacto. Te pertenezco. A ti, presencia. Mi reflejo. Verdad del menos, existo.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 En el monasterio de la soledad. Claustro. Por ti nombrado. Entró tu perpetuo nombre en lo real de la vieja piedra. Crees. Voces. La voz de Dios. La única suya. Dice tu nombre, Präsident. Voces ajenas te cambian. ¡Los pájaros! ¡Los pájaros! ¡La duda delante del espejo! ¡La duda! Sin imagen del rostro. Sin nombre. Y la terrible angustia cerca. Con sus nocturnas sombras. Son para los gritos que atraviesan los árboles del parque. Todo gritos del Resplandor. Sin respuesta. Sin pasillos detrás de la puerta. Se anuncia la voz. Alta hasta la cima de la lengua. 

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Confundidos temblábamos. En ti la lluvia y el invisible paisaje. Perfectas uvas de la mañana en el calor flotan. Crece flora en la acuática orilla de tu cuerpo. Ese mundo de los cauces quienes se abrazan en las olas del cuerpo. Luz vibrante que nos arrasa la ambicionada calma. Se hacen de luz nudos. Nocturnos nudos. Campo revelación del cuerpo. Sobre él los nombres caídos. Las alas muertas sin vuelo. De él se olvidaron. Como se olvida la tinta de lo escrito.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Encarnada inquietud. Fiesta del vuelo. Tendencia de las manos, esas llamas del cuerpo. Te miraba la madrugada, el amanecer. Perdida flotando lo que allí suena. Mientras llueve suena el agua al entrar la noche se lee. Vienen los días y se leen. Con las alas y los ojos cerrados se lee el vuelo. Esa es la manera tuya de hacerme silencio. Espeso silencio echado a las húmedas fauces de los perros, aux  gueule de las fieras furiosas, en la confusión del hambre tiemblan como gotas de lluvia al caer sobre la dureza del aire.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Inclinez-vous devant la structure de la grammaire. Rétrécissez votre langue pour qu'elle ne verrouille que les poissons insaisissables avec leurs importantes écailles brillantes. Île plate. Ils s'y enfuient en s'enfuyant. Toutes ses formes. Sud habillé. Des répliques de vêtements comme des volcans. Répliques du vœu. Des répliques de l'amour. Des répliques de peau agitée, toujours en attente de jouissance, agitées et flottantes, vivantes, jetées dans la montagne du silence.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Bow down to the structure of grammar. Shrink your tongue so that it only worm-tipped the elusive fish with their significant shiny scales. Flat island. They flee there by escaping. All its forms. South dressed. Replicas of clothes like volcanoes. Replicas of the wish. Replicas of love. Replicas of agitated skin, always waiting for enjoyment, restless and floating, alive, thrown into the mountain of silence.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Postrarse ante la estructura de la gramática. Reducirse la lengua para que solo pesque con móvil punta-gusano los escurridizos peces con sus brillantes escamas significantes. Isla llana. Huyen allí escapándose. Todas sus formas. De Sur vestidas. Réplicas de ropa como volcanes. Réplicas del deseo. Réplicas del  amor. Réplicas de la piel agitada, siempre en espera del goce, inquieta y flota, viva, echada al monte del silencio.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Phrase Scrabble. Scrabble de frases. Scrabble de phrases.

 And it descends culminated. Of the new day that is born after the long night of prayer and insomnia. He will come down bringing the fine fruit to the arid land. Fruit in love with the air found under the heights. You will think of your restless bed; There he waits for him on a blanket covered in sand, barely filtering the stinging heat that the day brought. He will rediscover the sins with the scrambled lies that he separated from just before his departure. With shame and modesty he will look at them before stepping on them with the almost melted sandals. Smell. Damn smell of meat corrupted by bad words!

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Et il descend culminé. Du nouveau jour qui naît après la longue nuit de prière et d'insomnie. Il descendra apporter les beaux fruits à la terre aride. Fruit amoureux de l'air trouvé sous les hauteurs. Vous penserez à votre lit agité ; Là, il l'attend sur une couverture recouverte de sable, filtrant à peine la chaleur cuisante que la journée a apportée. Il redécouvrira les péchés avec les mensonges brouillés dont il s'est séparé juste avant son départ. Avec honte et pudeur il les regardera avant de marcher dessus avec les sandales presque fondues. Sentir. Putain d'odeur de viande corrompue par de gros mots !

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Y desciende culminado. Del día nuevo que nace tras la larga noche del rezo y del insomnio. Bajará trayendo el fino fruto a la árida tierra. Fruto enamorado del aire encontrado bajo las alturas. Pensará en su cama inquieta; allí lo espera sobre manta cubre arena, filtrando a penas el punzante calor que trajo el día. Reencontrará los pecados con las mentiras revueltas de las que se separó justo antes de su marcha. Con vergüenza y pudor las mirará antes de pisarlas con la casi derretidas sandalias. ¡Olor. Maldito olor a carne corrompida por las malas palabras!

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Porteur de beaux martyrs amoureux du paradis terrestre. Même nous. Et les autres et tout. Avant d'arriver. Élévation suggérée. Montagne de haute altitude. Au moins, nous vallée. Ignorés nous ouvrons la nuit; et elle et ceci et elle s'échappe en prenant son nom de son regard abandonné et céleste. Alta s'ouvre à l'oreille du mot. Trop loin des yeux aveugles et immobiles ; à voir le ventre, son acidité, la chute dans le drain charnel. En revanche, montez jusqu'au cloud. Il n'y a pas d'air, pas de gens, et personne qui sait. Mais sa question est : « Qu'est-ce que tu m'aimes ? Je viens pour ça : pour savoir ; pour connaître ma vérité dans ta parole. Et exister. J'évite les frères sans nom qui seront bannis dans les rochers durs ; poignées pour qu'ils ne soient pas emportés par le vent épais du sable épicé, aveuglant sur la cécité, fouettant l'impiété et le mal dur.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Bearer of fine martyrs who love earthly paradise. Même us. And others and all. Before arriving. Suggesting elevation. High elevation mountain. At least we valley. Ignored we open the night; and she and this and she escapes taking her name from her abandoned and celestial gaze. Alta opens up to the ear of the word. Too far from blind, motionless eyes; to see the belly, its acidity, the fall down the carnal drain. In contrast, go up to the cloud. There is no air, no people, and no one who knows. But his question is: "What do you love me?" I come for that: to know; know my truth in your word. And exist. I avoid the nameless brothers who will be banished to the hard rocks; handles so that they are not carried away by the thick wind of the spicy sand, blinding on blindness, whip on impiety and harsh evil.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Portador de mártires finos amantes del terrenal paraíso. Même nos. Y otros y todos. Antes de llegar. Sugestionando elevación. Montaña de alta elevación. Al menos nosotros valle. Ignorados abrimos la noche; y ella y esto y ella se escapa tomando nombre  su mirada abandonada y celeste. Alta se abre al oído de la palabra. Demasiado lejos de los ojos ciegos e inmóviles; para ver el vientre, su acidez, la caída por el carnal desagüe. En contraposición, sube a la nube. No hay aire ni gente ni nadie que sabe. Pero sí su pregunta: «¿Qué me quieres?» Vengo por eso: para saber; saber mi verdad en tu palabra. Y existir. Evito los hermanos sin nombre que serán desterrados hacia las duras rocas; agarraderas para que no se los lleve el espeso viento de la picante arena, cegadora sobre ceguera, látigo sobre la impiedad y el duro mal.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Simultaneous Scrabbler in three or more languages: English, French, Spanish, and other possible ones. The words can be crossed similar to curved and three-dimensional branches or more, like an infinite snowflake. Each time they intersect in a letter (without meaning). They could intersect in curved three dimensions like an infinite snowflake. Scrabbler star shaped. Sectional. Cut between letters that allows the intersection of the diversity of words. Cut some letter. Bête noire of confusion, perplexity of puzzle idea. Littera. Bunk where two similar letters are they make bed together to make fog flakes.

 Aaron abaissiez abandon abandoned abase abate abated abatement abatements abates abbess abbey abbeys abbot abbots abbreviated abed abel abet abetting abhominable abhor abhorred abhorring abhors Abhorson abide abides abilities ability abject abjectly abjects abjure able abler aboard abode aboded abodements aboding abominable abominably abominations abortive abortives abound abounding about above abr Abraham Abram abreast abridge abridged abridgment abroach abroad abrogate abrook abrupt abruption abruptly absence absent absey absolute absolutely absolver abstains abstemious abstinence abstract absurd Absyrtus abundance abundant abundantly abuse abused abuser abuses abusing abutting aby abysm.

 academe academes accent accents accept acceptable acceptance accepted accepts access accessary accessible accidence accident accidental accidentally accidents accite accited accites acclamations accommodate accommodated accommodation accommodations accommodo accompanied accompany accompanying accomplices accomplish accomplished accomplishing accomplishment accompt accord accordant accorded accordeth according accordingly accords accost accosted account accountant accounted accounts accoutred accoutrement accoutrements accrue accumulate accumulated accumulation accursed accurst accusation accusations accusative accusativo accuse accused accuser accusers accuses accuseth accusing accustomed capriccio ace acerb ache Acheron aches achieve achieved achievement achievements achiever achieves achieving Achilles aching Achitophel achy acides acknowledge acknowledged acknowledgment acknown acold aconitum acordo acorn acquaint acquaintance acquainted acquaints acquire acquisition acquit acquittance acquittances acquitted acre acres across act Actaeon acted acting action actions Actium active actively activity actor actors acts actual acute acutely poison acte cannibals  Befall 

Scrabbler simultané en trois langues ou plus : anglais, français, espagnol et autres possibles. Scrabbler en forme d`étoile. Les mots peuvent être croisés comme des branches courbes et tridimensionnelles ou plus, comme un flocon de neige infini. Elles se croisent chaque fois dans une lettre (sans signification). Elles pourraient se croiser dans les trois dimensions courbes comme un flocon de neige infini. Coupure entre les lettres qui permet l'intersection de la diversité des mots. Intersection de la même lettre et de deux mots différents reliés par une similitude graphique. Couper quelqu'une lettre. Bête noire de confusion, perplexité d'idée de puzzle. Littera. Bunk où deux lettres similaires elles se font le lit ensemble pour faire des flocons de neige. 

 Scrabbler simultáneo en tres o más lengua: inglés, français, español, y otras posibles. Scrabbler en forma de estrella. Las palabras se pueden cruzar semejantes a las ramas curvas y tridimensionales o más, como un infinito copo de nieve infinito. Cada vez se cruzan en una letra (sin significado). Ellas podrían cruzarse en tres dimensiones curvas como un copo de nieve infinito. Corte entre letras que permite la intersección entre la diversidad de las palabras. Intersección de idéntica letra y des palabras diferentes unidas por similitud gráfica. Corta alguna letra. Bestia negra de confusión, perplejidad de la idea del rompecabezas. Littera. Litera donde se hacen cama juntas dos letras semejantes para fabricar copos de nieve.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Desde la soledad del agua. En sus nidos de tiempo. Hace amor en el olvido. Anterior y presente. Desde la soledad no se piensa en. Se toma solo el espacio en blanco. En la amplitud de la iglesia. Ese umbral de lo infinito. Silencio! Silencio! Algo aquí se esconde. En ese umbral. Se esconde el amor sigiloso. Entre nuestras manos nos hace. Crece, crece al oído.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Rain rails. With a fierce body. Where desire is made. And in your body, words. Sweet madness where everything is leafless. Everything but ours. We prove ourselves in unknowns, and in other impossible duties. We argue with our eyes closed. Between the waters. Between wines for hours. God came and grants me. Grant me your hands of delivery. Wise, heaped. True, accurate. Half, sometimes. With some effect. Half a word. True, well, true. That I even love you. In your ark of branches of green nests. Surrounded by almond trees. They flourish by taking love. Water where loneliness creaks. It bursts. It is battered. Half smile at love.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Rails de pluie. Avec un corps féroce. Où le désir est fait. Et dans ton corps, des mots. Douce folie où tout est sans feuilles. Tout sauf le nôtre. Nous faisons nos preuves dans l'inconnu et dans d'autres tâches impossibles. Nous nous disputons les yeux fermés. Entre les eaux. Entre les vins pendant des heures. Dieu est venu et m'accorde. Accordez-moi vos mains de livraison. Sage, entassé. Vrai, précis. La moitié, parfois. Avec un certain effet. Un demi-mot. Vrai, eh bien, vrai. Que je t'aime même. Dans ton arche de branches de nids verts. Entouré d'amandiers. Ils s'épanouissent en prenant l'amour. De l'eau où grince la solitude. Il éclate. Il est battu. Demi sourire à l'amour.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Le monde nous prend. Ensuite, reposez-vous dans le froid de l'air. Dans l'air de la Lune. Dans le ciel enflammé de la douleur. Et je prête mes lèvres à la fraîcheur du ciel, entrouverte comme un poisson dans l'air qui flotte sans ailes ni effort. Ciel de chair et de corps. Chèvre folle qui fait un signe sur le fond sombre du ciel ; Il est composé d'étoiles qui, en raison des distances immenses, ne sont même pas connues. Crazy désire faire une image de l'influence sur l'âme et le caractère qui croit venir de l'immensité du ciel.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 The world is taking us. Then rest in the cold of the air. In the air of the Moon. In the inflamed sky of pain. And I lend my lips to the freshness of the sky, parted like a fish in the air that floats without wings or effort. Heaven of flesh and body. Crazy goat that makes a sign against the dark background of the sky; It is made up of stars that, due to the immense distances, are not even known. Crazy desires to make an image of the influence on the soul and character that believes to come from the immensity of the sky. 

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Raíles de lluvia. De cuerpo fiera. Donde se hace deseo. Y en tu cuerpo, palabras. Dulce locura donde todo pasa deshojado. Todo menos nuestro. Nos probamos en incógnitas, y en otros imposibles deberes. Discutimos con los ojos cerrados. Entre las aguas. Entre vinos por horas. Vino Dios y me concede. Me concede tus manos de entrega. Sabias, colmadas. Ciertas, certeras. A medias, a veces. Con cierto efecto. A media palabra. Cierto, en fin, cierto. Que incluso te amo. En tu arca de ramas de nidos verdes. Rodeados de almendros. Florecen tomando amor. Agua donde la soledad cruje. Revienta. Queda maltrecha. Sonríe a medias ante el amor.

 Se nos lleva el mundo. Luego, reposos en el frío del aire. En el aire de la Luna. En el inflamado cielo del dolor. Y presto mis labios al frescor del cielo, entreabiertos como pez del aire que flota sin alas ni esfuerzo. Cielo de carne y cuerpo. Loca cabra que hace signo sobre el oscuro fondo del cielo; hace compuesto de estrellas que por las inmensas distancias ni se conocen. Locos deseos de hacer imagen de la influencia sobre el alma y carácter que cree proceder de la inmensidad del cielo.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 Et maintenant que tu me donnes la vie. Celui qui n'existait pas encore. Eh bien, tôt le matin. Soudain à ce moment-là. Soudain, l'ennui est terminé. Cette première heure est terminée. La moitié d'avant, la moitié d'aujourd'hui. Le pré-repos avant l'existence est terminé. Ce monde des limbes de la conscience qui est transporté dans le passé sans jamais atteindre le présent, sauf en présence du corps présent. Alors la bouche hurle sans savoir ce qu'elle dit, manifestation antérieure au langage et la plus secrète des langues inconnues sans savoir qu'elle est toujours lue et parle seule avec elle-même dans le brouhaha des discours.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 And now that you give me life. The one that did not yet exist. Well, early in the morning. Suddenly at this time. Suddenly the boredom is over. That first hour is over. Half of before, half of now. The pre-rest before existence is over. That world of limbo of consciousness that is taken to the past without ever reaching the present, except in the presence of the present body. Then the mouth screams without knowing what it says, a manifestation prior to language and the most secret unknown language without knowing that it is always read and speaks alone with itself in the hubbub of speeches.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Y ahora que me das la vida. Aquella que aún no existía. Pues temprano en el amanecer. De repente a esta hora. De repente se acabó el hastío. Se acabó aquella primera hora. Mitad del antes, mitad de ahora. Se acabó el pre-reposo anterior a la existencia. Ese mundo del limbo de la conciencia que se lleva al pasado sin llegar nunca al presente, salvo en la presencia del cuerpo presente. Luego grita la boca sin saber lo que dice, manifestación anterior al lenguaje y a lalengua desconocida mas secreta sin saber que siempre se lee y habla sola con ella misma en el barullo de los discursos.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.

 À l'intérieur du regard. Ces yeux tristes du doute, alors que le doute s'éteint au moment du retour de la flamme de l'espoir. Divin amour des heures. De nos éclipses quotidiennes. Où le scintillement de la peau nous éblouit. "A nous" aveugle des mains. Pas de récolte rapide annoncée dans les saisons qui ne changent jamais. Les paroles s'échauffent comme une bouche qui s'énerve. Et maintenant ne parlant qu'aux fenêtres fermées qui fermaient, fermaient.

Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.

 Inside the look. Those sad eyes of doubt, while doubt is extinguished at the time of the return of the flame of hope. Divine love of the hours. Of our daily eclipses. Where the flickering of the skin dazzles us. "A us" blind from the hands. No quick harvest announced in the never-changing seasons. The lyrics heat up like a mouth that gets angry. And now speaking only to the closed windows that shuttered, shuttered.

Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.

 Dentro de la mirada. Esos ojos tristes de la duda, mientras la duda se apaga a la hora del regreso de la llama de la esperanza. Divino  amor de las horas. De las eclipses nuestras de cada día. Donde el parpadeo de la piel nos deslumbra. “A nos” ciego desde las manos. Sin rápida cosecha anunciada en las nunca estaciones que no cambian. La letra se nos calienta como boca que se enrabia. Y ahora hablando solo a las cerradas ventanas que tapian, tapian.

Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.