Les livres sont sortis fertilisés de mots. Cocons de soie. Chapitres à sortir. Page par page. Ils ont dansé au rythme des origines. Les origines qui se dévoilent. Le temps du vent se déroule. Dernier train. Il tire la langue d'un air moqueur au loin. Semant toujours des champs de mots. Une terre aride finalement sécher. Jusqu'à ce que les feuilles tombent des épis. Ils s'égouttent de la tige comme des vaisseaux flottants d'air. Comme de longs doigts de grains durs. Ils serviront au feu des silences.
Du ténor que je connais. Chaque fois. Le soir. L'eau tombe. Pour cela. Un fleuve de dieux muets nourrit ses rives. Terres divines inondées. Avec nos mains au toucher, nous avons vu. Avec notre corps en attente. Vos points de contact. points d'émotion. prédisposé. à nos rencontres. De la pluie lointaine. Du bout du continent. Son goût soudain disparu. Soudain hors de ma tête. Dans son temps lent. Espace infini entre les points. Les points viennent avec leurs têtes noires. Les points parcourent l'espace des pages. Jusqu'à ce qu'ils transforment le ciel en eau avec leur agitation.
Perdez-vous dans le désert du temps. C'est plus facile à vivre sans aucun doute. Les miroirs du temps. La version de son décès. Son immortalité durable. Nous voulons seulement attraper une partie. Une heure. Une ponctualité sédative. Endormi au bout d'une heure. Dans la ligne du temps. Selon les horaires. À votre meilleure part. Les absences du vide. Je t'aime laissé flotter dans l'espace. Il se rétrécit pour l'entourer.
Perderse en el desierto del tiempo. Es más fácil vivir sin la duda. Los espejos del tiempo. La versión de su trascurrir. Su perdurable inmortalidad. Solo queremos atrapar una parte. Un ahora. Una puntualidad sedada. Dormida al marcar una hora. En la linea del tiempo. Conforme a las horas. A su mejor parte. Las ausencias del vacío. Los te quiero dejados flotando en el espacio. Se encoge para rodearlo.
Hyphes. Vésicules agrégées. Ils forment des monastères. Flagelles appariés. Du noyau les pores. Sécrétions fines. De nappes d'eau. Autour de flux de fossiles. Dissoudre la lumière entre les spores. Ni les mots ni le corps ne répondaient. Aucun contrôle de la perception de soi. Des mots sortaient de leurs narines comme deux souris phagocytaires. Ou de phonèmes déformés. Jeté dans le hasard de l'air. Dans les deux oreilles, des tempêtes comme des ouragans. C'est pourquoi certains vivaient dans les oreilles ; pour ne pas être phagocytés.
La volonté du mouvement de ce qui le fige. Voilà la preuve que la bouche n'était pas une bouche. Mais féroce. Ce mois-ci au moins, ou ce qu'il en reste. A celle du passage des miroirs. C'est du moins ce qu'ils ont dit. Avec leurs langues de verre. Avec ses gros mots cassés ou ses chances. A la recherche des âmes perdues parce que leurs corps sont tombés. Avec un fracas Bruyant. Cristal cristallin. Avec leurs âmes sombres. Créer une opposition forcée. Ils ont foulé les miroirs pieds nus, leurs propres débris croquants. Marches sur marches aux pieds fêlés. Ils constatent qu'ils ne retrouvent pas les traces qu'ils n'ont pas encore laissées. En raison du manque de marches ou de chaussures ou d'une envie inutile de marcher.
Autobiographies. Ecrire en miroir. Palimpseste sur peinture. Sous-irréalisme miroir. Intratextualité aléatoire.
L'incompatibilité du chaos. Métaphores, paradoxes, flux et reflux. De vivre ça De la sensation de l'est. Chaîne de mémoire, protagoniste du passé. Dans un territoire semblable aux sables mouvants. Nuit de la Terre. Ils n'ont pas les objets de support. Le maritime oublié. Dur sur les cercles sans centre. Il essaya de se souvenir de l'évasion. Mais quand il a senti que la maison partait. Il a dû remuer les larmes d'au revoir. Le mouvement a oublié. Il l'a laissé traîner dans une ruelle. Sale et défait. Parmi les décombres. Parmi les décombres de l'ombre. Le soleil n'y est pas parvenu. Pour être une rue étroite, ombragée et sans passants. Il vint s'abriter, lorsque la pluie fine commença à changer la lumière sur les murs, un canidé maigre et rongé par les puces dont le poil insuffisant ne l'isolait pas du soudain torrent d'eau.
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J'ai regardé en silence. Comme celui qui voit sans regarder. Aucun instrument. Avec un silence invisible. Les végétaux des animaux entrent dans l'écriture. Tomber en lui-même. Dans le silence non vidé de lui-même. Accumulant le silence dans son continent de plomb. Comme l'amour feint la cupidité. Le long de sentiers qui intensifient la marche des pieds. Alors je suis assis dans le rêve. Maintenant la somme de tous les yeux liquides pour voir à travers sa transparence fluide. Je ne peux pas me débarrasser de moi. Ni me démêler. Ni en racine me constituer. Ni voler dans les airs. Dans les multiples masques de l'absurde. Établit des liens avec emphase. Dans une réalité explosive et mutilée. L'autre, l'autre, l'autre arrive ! Toujours le seul coupable, parce que social abstrait, de l'innocente expérience intérieure individuelle. L'autre, l'autre, l'autre vient avec son intention de nous réduire, de nous limiter, de nous contraindre ! As-tu déjà oublié l'autre du premier don, Eliseo ?
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Quand tu mets tout à l'intérieur. Parmi ceux ici, je me tiens. Ici je te vois. Enlevez les feuilles aimantes des arbres. Pour laisser suffisamment de trous de respiration. Des coins à dormir. Qui parlent le langage des rêves. Dans ses débuts avant la langue commune. Où personne ne vit encore comme sujet. Dans son rôle de personne. Ils se parlent de rêves.
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Mutisme grand ouvert dans la bouche. Dans l'obscurité de son intrigue. Dans la persévérance du miroir. Mots enfantins. Il portait plusieurs langues articulées à la racine du pharynx. Peu avant la sortie de ses segments comme prolongements des viscères. Dans tous les refuges. Il retourne le visage désorienté sans comprendre les regards qui lui tombent dessus. Il avait un masque exposé.
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Entre la tête, les accès de tête sont ouverts. Une culture de la terre du sang. L'image est revenue dans le miroir. Tout à l'aspect liquide. Nouveau et mince. Ils sont possibles lors de votre venue. Du cœur et de la folie tu viens. Un tel jour bien connu de cœur silencieux. Qu'il ne devrait pas faire nuit. Du peut-être Où le hurlement disparaît. Sans savoir quels hurlements ils sont. Noir rond. Détresse en mangeant. Dans son entière détermination. Cela ne laisse pas le ciel tel qu'il était. Même la vénération ne le reconnaît pas. Éjecté par le poison des bouches qui crachent leurs essences de haine dans l'air avec des fleurs fraîches ornées, rejetant l'odeur toxique qui l'entoure. Impies, qui dans leur croyance de croire, prennent des langues de feu mythologiques arrachées pour réduire en cendres l'autre bonté distillée dans une claire innocence.
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Les métaphores sales ne sont pas adaptées à la lecture
Les mains dans les mains se succèdent sans interruption comme s'il était possible dans l'oubli d'écrire contre les restes inventés par les ruses de l'esprit. Ils n'ont aucun doute comme tous les doutes dont ils doutent eux-mêmes sans vergogne dans leur certitude comme ceux qui pendant la foi de fer doutent sans douter que le même doute dans sa propre certitude doute. Qu'il prenait le thé à cinq heures de l'après-midi dans une petite chambre anglaise sombre comme celle où il ne se passe rien dans le monde qui de là bouge au rythme incessant des mers agitées. Ils vont et viennent chargés de voiles de vents et d'eau venus d'ailleurs dont les origines leur sont déjà inconnues après avoir traîné la faim pendant des siècles.
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Les métaphores ne conviennent pas à la lecture
Gouverne la métamorphose du silence. Les vannes dépendent également de la pression. Cerques atrophiques. Déjà les longues routes aériennes. Troncs multichambres. Sécrétions d'une trachée. Élastiques en spirale. Ils fonctionnent simultanément comme uniques. Invagination des extrémités du sens des mots et de leurs regroupements pour rétablir la continuité du texte supposé. A travers ses canaux, ses métiers. Musculature robuste des plis des parois. Chemins tortueux. Des rangs croisés les rejoignent. Mosaïque d'images partielles, brisées, sans défense. Gouverne la métamorphose du silence.
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