Doute non concluant sur la triste vérité

 Doute non concluant sur la triste vérité. Mienne. et que p e dans le. Arbre en fait. Planté au pays des feuilles. Je te prépare le matin. Jetez les feux de l'aube dans sa bouche. Encore. Encore. avec la bouche e. La nuit s'illumine dans ce temps d'attente, laisse-moi tes mains pour que je ne rende pas le doux amer, même si c'est ta bouche rêveuse. Pas comme ce texte qui sort comme une corne brûlée. Âme froide. S'il vous plaît ne quittez pas cette piste. J'ai mangé un t p Still. baisers laids mots laids malodorant Sans visage. Saigner. D'autres fois, soudain, fleur de vertige. les portes ouvertes en miroir nous séduisent par leurs reflets de visage intemporels. dans le il Laisse-moi ton petit matin comme toujours dos au silence J'ai pour la peau d'hiver à son air de marbre. D de. Puisqu'il est temps sans sommeil de faire patienter la vie dans votre armoire à pharmacie en ruine. Comme d'habitude, nuit. A propos de la faim n'a pas encore été dit. Sur votre liste d'attente à voir. La vie ici. Voleur de temps. De la vie qui se dit vie. S et a dans votre j'ai un Elme a te los. Je sais déjà que c'est de cette manière probable que la langue ezquizo est démantelée. Pas de l'angoisse de bien dire mais de l'inadaptation même de la réalité elle-même. Toute la nuit vécue seul avec des mots simples rapides, incessants dans sa répétition. Le corps dans sa mare de sueur vivant sans fond.

Ecrire en miroir. Palimpseste sur peinture. Sous-irréalisme miroir. Intratextualité aléatoire.