Les soupirs m'ont quitté. Souvenirs d'amour excessif. Pour moi, libre de la distance, du manque d'amour et du dépit. Tu me protèges des mauvais souvenirs. Depuis hier interdit. Aujourd'hui réparé. De l'essoufflement. Et tu me feras de l'eau. Pour me dire innocent quand j'oublie demain. Sans retour du futur. Son silence est énorme. Le présent continue sans savoir qu'il ignore ce front temporel inexistant.
Sighs has left me. Memories of excessive love. To me, free from distance, from lack of love and spite. You protect me from bad memories. From yesterday forbidden. Today repaired. From shortness of breath. And you will make me water. To tell me innocent when I forget about tomorrow. Of no return from the future. His silence is enormous. The present continues without knowing that it ignores that non-existent temporal front.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Suspiros me has dejado. Recuerdos de amor excesivo. A mí, libre de distancia, de desamor y despecho. Me proteges del mal recuerdo. Del ayer prohibido. Del hoy reparado. De la falta de aliento. Y me harás agua. Para decirme inocente cuando me olvido del mañana. Del no regreso del futuro. Es enorme su silencio. Prosigue el presente sin saber que ignora ese delante temporal inexistente.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Sad Wing. Of penalty hour. And if I lose you in kisses Maybe it's not too late. Between your mouth and my sleeping eyes. Your happy pillow in the temple. Crossed in our bed. While the sleeping kisses will not move. Your eyes-I remember owners of my dreams. While the secrets of your name come from the memory. Made to your chest. To your lips, kisses. With arms crossed standing. And with sighs, discouragement.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Aile triste. De l'heure de pénalité. Et si je te perds en baisers Il n'est peut-être pas trop tard. Entre ta bouche et mes yeux endormis. Votre joyeux oreiller dans le temple. Croisé dans notre lit. Alors que les baisers endormis ne bougeront pas. Vos yeux, je me souviens des propriétaires de mes rêves. Alors que les secrets de votre nom viennent de la mémoire. Fait à votre poitrine. A tes lèvres, bisous. Les bras croisés debout. Et avec des soupirs, le découragement.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Ala triste. De pena hora. Y si te pierdo en besos. A lo mejor aún no es tarde. Entre tu boca y mis ojos dormidos. Tu feliz almohada en el temblor. Cruzado en nuestra cama. Mientras los besos durmiendo no se moverán. Tus ojos-recuerdo dueños de mis sueños. Mientras los secretos de tu nombre vienen del recuerdo. A tu pecho hecho. A tus labios, besos. A brazos cruzados parados. Y a suspiros, desaliento.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Pour mot, serment. Pour le mien, toujours oublié. Pour le vôtre, souvenez-vous. Un avant l'amour, un avant. Un avant où l'amour sous les yeux. Les yeux aux flaques d'eau. Faites-moi (faites-moi) comprendre. Ce que tu étais, ce que tu es (sinon les yeux se fâchent). Dans votre livraison. Dans mon excès. Que je t'ai écrit sur le papier (au chiffre) de mémoire. Écrit, écrit, comme j'écrivais avec tristesse.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
For word, oath. For mine, always forgotten. For yours, remembered. A before love, a before. A before where love under the eyes. The eyes to puddles. Make me (make me) understand. What you were, what you are (if not the eyes get angry). In your delivery. In my excess. That I have you written on the paper (in the digit) of memory. Written, written, as I used to write to sadness.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Para palabra, juramento. Para la mía, siempre olvidada. Para la tuya, recordada. Un antes del amor, un antes. Un antes donde el amor bajo los ojos. Los ojos a charcos. Hazme (háceme) entender. Lo que fuiste, lo que eres (que si no los ojos se enfadan). En tu entrega. En mi exceso. Que te tengo escrita en el papel (en el dígito) de la memoria. Escrita, escrito, como antes escribía a la tristeza.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Et, ma vie, ma douce condamnation, balle allumée à la lumière du feu incessant de nos bouches. Bien que si je ne suis pas d'accord, rendez-moi ce temps utilisé en baisers, promis de revenir quand l'amour est devenu mensonge, angoisse et tristesse. Pour l'instant, tout pour vous, pour vous, pour vous, ici et maintenant, en cette heure qui efface les fausses secondes, les blancs, les pensées indignes. Mes rêveurs. Bien-aimés, mis au-delà des mots brisés, évacués, emportés dans leur propre maison. Pour cela tu penses toujours avoir oublié toutes les promesses que les fausses lèvres t'ont faites.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
And, my life, my sweet condemnation, bullet lit in the light of the incessant fire from our mouths. Although if I do not agree, give me back that time used in kisses, promised to return when love became a lie, anguish and sadness. For now, everything for you, for you, for you, here and now, in this hour that erases the false seconds, the blank spaces, the unworthy thoughts. My dreamy ones. Yours well loved, put beyond the broken words, evacuated, swept into their own home. For that you always think you have forgotten all the promises that false lips made to you.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Y, tú, vida, mi dulce condena, bala encendida a la luz del incesante fuego de nuestras bocas. Aunque si no conforme devuélveme ese tiempo usado en los besos, prometidos a devolver cuando el amor se hiciese mentira, angustia y tristeza. Por ahora, todo para ti, por ti, por ti, aquí y ahora, en esta hora que borra los segundos falsos, los espacios en blanco, los indignos pensamientos. Los míos ensoñados. Los tuyos bien amados, puestos más allá de las palabras rotas, evacuadas, barridas en su propia casa. Por ese te crees siempre olvidada de todas las promesas que falsos labios te hicieron.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
J'ai déjà un cœur de douleur! De la fissure de la douleur. Et rien, rien. Dans le sang du cœur. Amour de batelier. Navigateur du moment. De mains en mains les phares des ports. Ils viennent des voiles usées et cassées, jaunies par le sel et la mer, ordinaires. Chaînes usées d'ancres moisies, teinture de fond marin. Ils viennent de purger de longues peines dans des déserts virulents salés, fouettés par d'immenses chaînes.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
I already have a heart of pain! From the crack of pain. And nothing, nothing. In the blood of the heart. Boatman love. Navigator of the moment. From hands to hands lighthouses ports. They come worn and broken sails, yellowed with salt and sea, ordinary. Worn chains of moldy anchors, sea bottom tincture. They come from serving long sentences in salty virulent deserts, lashed by immense chains.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
¡Que ya tengo corazón de dolor! Del resquebrajo del dolor. Y nada, nada. En la sangre del corazón. Amor barquero. Navegante del momento. De manos en manos faros puertos. Vienen velas desgastadas y rotas, amarillentas de sal y mar, corrientes. Gastadas cadenas de mohosas anclas, tintura de fondo de mar. Vienen de cumplir largas condenas en salados desiertos virulentos, azotes de inmensas cadenas.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Ni le lieu. Ni à l'époque. Possédé par le processus. Fragment des fragments. Plus de mille fois, je me suis brisé comme un miroir. Être nouveau à chaque instant. Toujours fugace. J'ai entendu dire que tu ne me le dirais pas. Toujours vers là où le vent pousse. Là où le temps mène. Que ça ne passe pas et que ça fait mal. Que je ne veux pas te voir. Pour te voir devant ma bouche. Ma bouche avec toi pour mourir pendant un moment. Que j'ai déjà la douleur de ne pas te voir.
Senso, luego ex-isto como hipó/thesis.
Nor the place. Nor the then. Possession of the process. Fragment of fragments. More than a thousand times I broke as a mirror. Being new at every instant. Always fleeting. Hearing of you won't tell me. Always towards where the wind pushes. Towards where time leads. That it doesn't pass and it hurts. That I don't want to see you. To see you in front of my mouth. My mouth with you to die for a while. That I already have the pain of not seeing you.
Senso, luego ex-isto como hipó/thesis.
Ni el lugar. Ni el pues. Poseso del proceso. Fragmento de fragmentos. Más de mil veces me rompiera como espejo. Siendo nuevo a cada instante. Fugaz siempre. Oído del no me dirás. Siempre hacia donde empuja el viento. Hacia donde lleva el tiempo. Que no pase y duela. Que no quiero verte. Verte enfrente de mi boca. Mi boca contigo para morirse un rato. Que ya tengo al dolor de no verte.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Je peux souffrir. Et je vis l'amour. Pas de tromperie. Seulement de la soie. Dites-moi maintenant si je suis un soulagement pour les blessures ouvertes. Vous dites que je suis invisible. Que je suis inutile pour regarder le visage de la nuit pendant que les nuits chevauchent, reviennent, chevauchent, s'éloignent devant leurs longues queues, nuits aveugles de désespoir. Vous dites qu'ils racontent des prodiges de lieux de pèlerinage, de portes avec des yeux, où le Néant semble n'être rien, et de surcroît, sans intérêt.
Senso, luego ex-isto como hipó/thèse.
Suffering I can. And I live love. No deceit. Only silk. Tell me now if I am relief from open wounds. You say I'm invisible. That I am useless to look at the face of the night while the nights ride, come back, ride, ride away in front of their long tails, blind nights of despair. You say that they tell prodigies of pilgrim places, of doors with eyes, where Nothingness appears to be nothing, and besides, irrelevant.
Senso, then ex-isto as hypo/thesis.
Sufrimiento puedo. Y vivo amor. Nada de engaño. Solo seda. Dime ahora si soy alivio de heridas abiertas. Dices que invisible. Que no sirvo para mirar la cara de la noche mientras las noches cabalgan, regresan, cabalgan, se van delante de sus largas colas, ciegas noches de desesperanza. Dices que cuentan prodigios de lugares peregrinos, de puertas con ojos, donde la Nada aparenta ser nada, y además, irrelevante.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
You never denied me the version of your gaze. For dejected beloved. Open dead prey. He says now his sadness. His living memory devours him. Remote and at a distance. But it comes From the sense of emotion of what is already past. Remote suffering can be exercised at a great distance. Alive, beyond death.
Senso, then ex-isto as hypo/thesis.
Tu ne m'as jamais refusé la version de ton regard. Pour les amoureux déprimés. Ouvrez la proie morte. Il dit maintenant sa tristesse. Votre mémoire vivante le dévore. A distance et à distance. Mais il vient du sens de l'émotion de ce qui est déjà passé. La souffrance à distance peut être exercée à une grande distance. Vivant, au-delà de la mort.
Senso, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Nunca me negabas la versión de tu mirada. Para amado abatido. Abierta presa muerta. Dice ahora su tristeza. Su memoria viva lo devora. Remota Y a distancia. Mas proviene Del sentido de la emoción de lo ya pasado. Remoto sufrimiento puede ejercerse a gran distancia. Vivo, más allá de la muerte.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Des gens qui disent sans aimer. Ils parlent comme de l'eau courante. Brève, vide, bien sûr. Du mal, ils se réveillent. Ils semblent être des feux d'un autre temps. Une autre fois, c'est raté. Le feu peut ; il peut. Simple et parfait, il peut. Cipher of the Enigma. Mettez votre émotion devant l'inconnu qui ne vous reconnaît pas. Il vous ignore sans mots. Il vous laisse en vie pour les dire. Ils vous poussent, vous encouragent, vous aiment, vous poussent. C'est pourquoi ils croient être la source de l'amour humain. Un look impeccable, en version intégrale.
Senso, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Of people who say without loving. They speak like running water. Brief, empty, sure. From evil they awaken. They seem like fire from another time. Another time fails. Fire can; it can. Simple and perfect, it can. Cipher of the Enigma. Can your emotion before the unknown that does not recognize you. It ignores you without words. It leaves you alive to say them. They burst you, encourage you, love you, push you. That's why they believe they are the source of human love. Flawless, full version look.
Senso, then ex-isto as hypo/thesis.
De la gente que dice sin amar. Hablan como agua corriente. Breves, vacíos, seguros. Del mal despiertan. Parecen fuego de otro tiempo. Otro tiempo fracase. Puede el fuego; puede. Simple y perfecto, puede. Cifra del Enigma. Puede tu emoción ante lo desconocido que no te reconoce. Te ignora sin palabras. Te deja con vida para decirlas. Te revientan, animan, aman, empujan. Por eso creen ser fuente del amor humano. Sin fallas, versión completa mirada.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
The weft of your eyes; yes, no. In the hubbub, always. In the nothingness, sometimes. You-me. It's not everything but it completes, fills in the gaps of meaninglessness. Ad hoc. The marrow of our mind. Our meeting in music. In the language of music. In its shouting. Those knots of sea ropes on the tongue. A raw screaming. Again. the curve of the days. Without its doubts of the days. Its windows of beauty. Bubbles of shadows. Mirrors of shadows. Lips go. Towards love they go.
Senso, then ex-isto as hypo/thesis.
Le complot de vos yeux ; oui, non. Dans le brouhaha, toujours. Dans le néant, parfois. Toi-moi. Ce n'est pas tout, mais ça complète, ça comble les vides de sens. Ad hoc. La moelle de notre esprit. Notre rencontre en musique. Dans le langage de la musique. Dans ses cris. Ces nœuds de cordes de marins sur la langue. Un cri brut. Encore une fois, la courbe des jours. Sans ses doutes des jours. Ses fenêtres de beauté. Des bulles d'ombres. Miroirs d'ombres. Les lèvres vont. Ils vont vers l'amour.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
La trama de tus ojos; sí, no. En el barullo, siempre. En la nada, a veces. Tú-yo. No es todo pero completa, rellena los huecos del sinsentido. Ad hoc. La médula de nuestra mente. Nuestro encuentro en la música. En la lengua de la música. En su griterío. Esos nudos de sogas marineras en la lengua. Un crudo griterío. Otra vez. la curva de los días. Sin sus dudas de los días. Sus ventanas de belleza. Burbujas de sombras. Espejos de sombras. Van los labios. Hacia el amor van.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
La splendeur du corps. Mon âme entière dans l'attente. Toutes les mains pleines. De votre nom. Repose sur tes lèvres. Pommier doux. Là-bas, je vis dans ton ombre. Dormir sur mon ventre. Là, un abri, une protection. Nid d'un oiseau en fleur. Alchimie de votre amour en attente. Alchimie de tes lèvres de tristesse. Car à quand le bonheur la tristesse ? Que l'amour nous prenne dans les fibres de notre corps ! Du centre à la périphérie. Du bonheur. Possédé et aimé. Plus. Dans ta bouche brûlante. Dans ce mystère. D'être toi et moi, d'être. Nous, être. Mot et relief.
Senso, luego ex-isto como hipó/thesis.
Body splendor. All my soul in expectation. All full hands. Of your name. Rest on your lips. Sweet apple tree. There I live in your shadow. Sleep on my belly. There, shelter, protection. Nest of blooming bird. Alchemy of your love in waiting. Alchemy of your lips of sadness. For when happiness sadness? May love take us in the fibers of our body! From the center to the periphery. From the happy. Possessed and loved. More. In your burning mouth. In that mystery. Of being you and me, being. Us, being. Word and relief.
I feel, then I exist as hypo/thesis.
Cuerpo esplendor. Toda mi alma en espera. Toda a manos llenas. De tu nombre. Reposan en tus labios. Dulce manzano. Allí vivo en tu sombra. Duerme sobre mi vientre. Allí, reparo, protección. Nido de floreciente ave. Alquimia de tu amor en espera. Alquimia de tus labios de la tristeza. ¿Para cuando felicidad tristeza? ¡Que nos tome el amor en las fibras de nuestro cuerpo! Desde el centro a la periferia. Desde el felices. Poseídos y amados. Más. En tu boca encendida. En ese misterio. De ser tú y yo, ser. Nosotros, ser. Palabra y alivio.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Prison footprint. From the abandoned touch. Interior exterior même. Accomplices. Of interior. Winking: fluttering feathers. They burn in fire in the wind. I saw you in love. Your touched body appears. Under the caresses. Under the heat. To take me. Like a floating soap bubble. To love me. As you will and can from your heart. That looks like a smooth ship on smooth water. Float me. Like a purple cluster of light grapes of Paradise. Take me on your wanderings. Blossoms. Clusters of love.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Empreinte de prison. de la touche abandonnée. Intérieur extérieur même. Des complices. De l'intérieur. Clin d'œil : plumes qui volent. Ils brûlent en feu dans le vent. Je t'ai vu amoureux. Votre corps touché apparaît. Sous les caresses. Sous la chaleur. Pour me prendre. Comme une bulle de savon flottante. Pour m'aimer. Comme vous le voulez et le pouvez, depuis votre cœur. Cela ressemble à un navire légère sur une eau lisse. Fais-moi flotter. Comme une grappe violette de raisins légers du Paradis. Emmenez-moi dans vos pérégrinations. Les fleurs. Des grappes d'amour.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Huella de prisión. Del toque abandonado. Interior exterior même. Cómplices. De interior. Guiños: agitadas plumas. Arden en fuego al viento. Te veía en amor. Aparece tu cuerpo tocado. Bajo las caricias. Bajo el calor. A tómame. Como pompa flotante de jabón. A ámame. Como quieras y puedas de corazón. Eso parece un navío suave sobre lisa agua. Flótame. Como un morado racimo de ligeras uvas del Paraíso. Llévame en tu errancia. Florecidos. Racimos de amor.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Pour la vie, la vie. Pour toutes vos nuits. Pour la balançoire des rêves. Derrière ton lit j'ai entretenu une grotte, primitive, humide, préhistorique. Vous prenez tout avec vos yeux tout d'un coup. Tu me retiens comme supposé mort. Vous venez. Vous courez Diffusons notre parfum ensemble. Il se nourrit de la peau de la mémoire. Pores paresseux de la peau. Ils viennent en exercice d'effort. Hors de l'air. Les pores paresseux fleurissaient sur les champs charnels. Les fils de ta peau. Tissé à partir de votre cou. Ils tapissent des arabesques aux couleurs vives.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
For a life, life. For all the nights of you. For the swing of dreams. Behind your bed I tended a cave, primitive, humid, prehistoric. You take everything with your eyes all of a sudden. You detain me as supposed dead. You come. You run Spread our scent together. It feeds on the skin of memory. Lazy pores of skin. They come in exercise of effort. Out of the air. Lazy pores bloomed on carnal fields. The threads of your skin. Woven from your neck. They tapestry brightly colored arabesques.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Para toda la vida la vida. Para todas las noches de ti. Para el columpio de los sueños. Detrás de tu lecho tendí una cueva, primitiva, húmeda, prehistórica. Me tomas todo con tus ojos de repente. Me detienes como supuesto muerto. Vienes. Corres. Corre nuestro olor junto. Se alimenta de la piel del recuerdo. Poros vagos de piel. Vienen en ejercicio de esfuerzo. Por fuera del aire. Poros vagos florecidos sobre carnales campos. Los hilos de tu piel. Entretejidos desde tu nuca. Hacen tapiz de brillantes coloridos arabescos.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Quand je sors de ce soleil clos. Dont je souffre. Tu ferais mieux de te dire de m'apprendre. Pour vivre ouvert. Comme ma mémoire me le dit. De ses souvenirs je vis. Comme promis. Je pense à toi. Comme une rivière nocturne. Mais ses eaux oscillaient, entraînant la nuit noire, épaisse, consistante comme une peau de vache gonflée.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
When I get out of this enclosed sun. From which I suffer. Better tell you to teach me. To live open. As my memory tells me. From his memories I live. As promised. I think of you. Like a nocturnal river. But its waters swung, dragging the black night, thick, consistent like an inflated cowhide.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Cuando salga de este sol encerrado. Del que padezco. Más vale decirte que me enseñes. A vivir abierto. Según me dice la memoria. De sus recuerdos vivo. Como prometido. Te pienso. Como un nocturno río. Mas, sus aguas columpio, arrastran la noche negra, espesa, consistente como una inflada piel de vaca.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Je te dois ma vie en morceaux. Improvisé. J'ai évité. Dans ta voix être. Même. autre et impossible. Fuite et échec. Frais et nuageux. Vulnérable. En tant qu'air, vous apparaissez. Respirer la vie. Ils me cherchent dans ma cachette. Ma forêt désespérée. Où le vol est caché. Dans cette protection sauvage. Où corps sans aventure. Dans leur longue attente, ils fuient vos pas à la recherche. À propos des signes de deuil.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
I owe you my life in pieces. Improvised. I avoided. In your voice being. Same. other and impossible. Flight and failure. Cool and cloudy. Vulnerable. As air you appear. Breathing life. They are looking for me in my hiding place. My desperate forest. Where the flight is hidden. In that wild protection. Where body without adventure. In their long wait, they run from your steps in search. About signs of grief.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Te debo la vida hecha de pedazos. Improvisada. Yo, evitado. En tu voz siendo. Mismo. otro e imposible. Vuelo y fracaso. Fresco y nublado. Vulnerable. Como aire asomas. Insuflando vida. Me buscan en mi escondite. Mi bosque desesperado. Donde se oculta la huida. En esa protección salvaje. Donde cuerpo sin aventura. En su larga espera, corren de tus pasos en búsqueda. Sobre señales de pena.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Pausado. Cómplice. De las huidas, cómplices. En las plantas de tus manos, mis pasos. Llevo tu vestido rostro. Por largo tiempo ocupado por lo diverso. Y yo, un objeto más, te debo mi improvisada vida. Evitada y fecunda en pérdidas. Mis imposibles vuelos.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
En este refugio de mi inconsciencia. Tú, maravilla. Amor, digo. Amor en piezas. Soy tu siembra. En tus manos, siembra. Me ocurres. Me hablas desde cerca cumpliendo tu palabra. Me redactas. Con finas letras filigranas. Estremeces mis miedos calmándolos. Tú, así, creadora. Tú, frontera de mis sombras. Les pones límites a mis sombras. Les hablas, calmas, paras.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Que ardes ahora y quemas hasta dejarme sin muerte
martes, septiembre 21, 2021Que ardes ahora y quemas hasta dejarme sin muerte. Mi verdad seas. Una y duradera. En cuanto a tu naturaleza, fuente. Iluminas mis derivas. Y permaneces. Permaneces en mi nada. Donde tú naces. En este mundo hiciste, autora. En el terreno desierto de mis ojos. Verdugos de la belleza. Y de ella privados. Privados encerrados en su propia ausencia. En este mundo mío me encontraste privado. Con todos mis universales defectos.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Libros hechos de pájaros. Sus nidos invocan. La creencia en la fecunda incubación. Bailan las alas entre linternas. Flores de la noche. Luces de tu piel. Salpican sus sombras. Saltan como recién nacidos. Brotan las sombras y sus semillas. El vaivén murmulla en tus senos. En ti me hallo sin dudas permanentes. Poseído y en ti latente.
Our abbreviated eyes from there. There where your face makes water. Turn the ice of the gaze. The root navigates. There they walk. Sad hands. That they forget me. The streets do not know me. They put me on notice. Over your mouth. From the doubts that emerge, they scream, they dodge. On your breasts of earth. With its neap tides. With its twilights of mouth. Divine bread from which it is born. And to you, ship brought from the night. Chain of the pages of life.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Nos yeux abrégés de là. Là où ton visage fait de l'eau. Tournez la glace du regard. La racine navigue. Là, ils marchent. Mains tristes. Qu'ils m'oublient. Les rues ne me connaissent pas. Ils m'ont mis en garde. Sur ta bouche. Des doutes qui émergent, ils crient, ils esquivent. Sur tes seins de terre. Avec ses marées mortes. Avec ses crépuscules de bouche. Pain divin dont il est né. Et à toi, bateau ramené de la nuit. Chaîne des pages de la vie.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Pour prendre votre langue comme le commencement de toutes choses. Pour apprendre de votre volonté. De tous tes verbes du secret. Avec ses touches mystérieuses. Avec leurs esprits de l'ombre. Avec sa bouche de succion. Avec la bouche de ton corps. Et tout bascule dans le tournage. Vos yeux avec leurs paupières en ciseaux. Avec son temps maussade. Dans l'invisibilité du temps. Dans son âme noire. Dans son ventre éveillé. En l'absence de pierre.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
To take your tongue as the beginning of all things. To learn from your will. Of all your verbs of the secret. With its mysterious keys. With their shadow minds. With her suckled mouth. With your body mouth. And everything turns in the shoot. Your eyes with their scissor lids. With its gloomy weather. In the invisibility of time. In his black soul. In her awake belly. In the absence of stone.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Your mouth on my body turned. His ideas. The shoot of the eyes. If you look, if you search, they should exist. For example, winters. Time is forgotten. He regrets having existed in the storm of days. Weaving. Weaving. The tongue weaving. It frays and weaves those loose threads.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Ta bouche sur mon corps s'est tournée. Tes idées. La pousse des yeux. Si vous regardez, si vous cherchez, ils devraient exister. Par exemple, les hivers. Le temps est oublié. Il regrette d'avoir existé dans la tempête des jours. Tissage. Tissage. Le tissage de la langue. Il s'effiloche et tisse ces fils lâches.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
D'un oiseau au loin. De Je t'aime, ombre. De nouveau. Rivière, eau, puits, pendule ; la recherche. Encore le parfum de l'horloge. Encore une fois la nuit hermétique invisible. Cette solitude qui est empaquetée avec ses propres tresses. Votre salive en attente. Assez de visage. J'ai ta main et tu es né. Vous oubliez les chagrins et les certitudes qui tournent comme de fous tourbillons de misère.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
From a bird the distance. From I love you, shadow. From again. River, water, well, pendulum; the search. Again the perfume of the clock. Again invisible hermetic night. That loneliness that is bundled with her own braids. Your saliva waiting. Enough face. I have your hand and you are born. You forget the sorrows and certainties spinning like crazy whirlwinds of misery.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
With the lively mouth. For the hole of the lips. All veins spinning. Leaky tachycardias. And this burned. Smoke of silence. Space bird. A day without a day. He snatches her from him. Far away birds. Pendulums in the air.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Avec la bouche vive. Pour le trou des lèvres. Toutes les veines tournent. Tachycardies qui fuient. Et cela a brûlé. Fumée du silence. Oiseau de l'espace. Un jour sans jour. Ses éclats. Oiseaux lointains. Pendules dans l'air.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Une impatience dans la déchirure. Vole, regarde l'architecture. Celui sur l'eau et la mémoire. Ses falaises. Que puis-je faire pour t'invoquer ? Par les portes closes. Il a survolé le temps comme un colibri statique à travers les temps cycliques des catastrophes. Au bord de l'immense obscurité. A chaque fois goutte à goutte, dure et froide.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
An impatience in the tear. Fly, look at the architecture. The one about water and memory. Its cliffs. What can I do to summon you? Through the closed doors. He was flying over time like a static hummingbird through the cyclical times of catastrophes. On the edge of the immense darkness. Each time drop by drop, hard and cold.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Rootless hands fall into the water, they land on new moons like full windows. Yes, you can watch and hear the night. And speak sighing. Open your mouth to time. Open your mouth to the shadows. Paint the trees like huge butterflies. Your belly of future flight. In their ceremony of flight around the wings they undulate the moors.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Des mains sans racines tombent dans l'eau, elles se posent sur les nouvelles lunes comme des fenêtres pleines. Oui, vous pouvez regarder et entendre la nuit. Et parle en soupirant. Ouvrez la bouche au temps. Ouvrez votre bouche aux ombres. Peignez les arbres comme d'énormes papillons. Ton ventre de futur vol. Dans leur cérémonie de vol autour des ailes, ils ondulent les landes.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Tes lèvres sont faites d'angoisse. Juste au cas où le vent éteint le feu. Juste au cas où tu serais un feu de joie. Ou les yeux fermés. Ou flamme orange. Juste au cas où la faim. Mains coupées accrochées aux portes. Habillé dans les allées flottantes. Douce nuit d'amour doux. Pour les premiers mensonges verticaux. Pendant la nuit en mer. Dans les rêves, trapèzes. Dans la cime des arbres de tes mains. J'y voyais des navires jaunes comme des fruits paradoxaux des paysages du temps.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Your lips are made anguish. Just in case the wind puts out the fire. Just in case you were a bonfire. Or closed eyes. Or orange flame. Just in case the hunger. Severed hands hanging on doors. Dressed down the aisles floating. Mild night of mild love. For the first vertical lies. While at sea night. In dreams, trapezoids. In the treetops of your hands. I saw yellow ships there like paradoxical fruits of the landscapes of time.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Skeptical accurate rain. Invisible crystal created by the liquid of the sky. Look at the crystal yourself through the surface of the seas. He remembers the misfortunes that fell from the sky. Dry sky of disagreement. Misfortune of the body on fire. Their eyes fall in a multitude from the top without bursting from pressure, from dry tears, without gestures of anguish. Shaking the wind as inside an immense magic pot.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Pluie précise sceptique. Cristal invisible créé par le liquide du ciel. Regardez vous-même le cristal à travers la surface des mers. Il se souvient des malheurs tombés du ciel. Ciel sec de désaccord. Malheur du corps en feu. Leurs yeux tombent en multitude du haut sans éclater de pression, de larmes sèches, sans gestes d'angoisse. Secouant le vent comme à l'intérieur d'un immense pot magique.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Tes mains fuyantes se sont réveillées. Épidémies de croisements aléatoires. Les jambes sont détachées des cuisses ; ils courent chacun de leur côté ; ils crient, ils sautent, à la liberté ils chantent avec une certaine joie folle qui ne connaîtra plus jamais les amarres ; ni de viande, ni de brique, ni de corde ou de lien. Leurs jambes courent librement à leur rythme, l'air qu'ils atteignent avec leurs bras autour de la taille de l'air porte le rythme de la danse invisible de l'air.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Your fleeing hands woke up. Outbreaks of random crosses. The legs are detached from the thighs; they run each on their own; they shout, they jump, to freedom they sing with a certain crazy joy that will never know moorings again; neither of meat, nor brick, nor rope or link. Their legs run freely, the air that they reach with their arms around the waist of the air carries the rhythm of the invisible dance of the air.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
The memory goes into a trance in its old humidity. It seems like three years since I was born and it seems like the first old memories, of coagulated milk, the sour smell of the first illness. Urine, poop and sour milk, already expired at the source. Veil that divides the space of the rooms. Watertight compartments of each one in the rhythm of their world that do not disappear because they are simply present. Scent marks of the territory. Every cat with his claws; pads come and go sustaining the silence of the night. His fluorescent eyes fixed in every corner of his gaze.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
La mémoire entre en transe dans son ancienne humidité. Cela fait trois ans que je suis né et cela ressemble aux premiers vieux souvenirs, du lait coagulé, l'odeur aigre de la première maladie. Urine, caca et lait caillé, déjà périmés à la source. Voile qui divise l'espace des pièces. Des compartiments étanches de chacun au rythme de leur monde qui ne disparaissent pas parce qu'ils sont simplement présents. Marques olfactives du territoire. Chaque chat avec ses griffes ; les coussinets vont et viennent soutenant le silence de la nuit. Ses yeux fluorescents fixés dans chaque coin de son regard.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Nuestros ojos abreviados de allí. Allí donde tu rostro se hace agua. Gira el hielo de la mirada. La raíz navega. Allí caminan. Manos tristes. Que me olvidan. Me desconocen las calles. Me ponen sobre aviso. Sobre tu boca. De las dudas que emergen, gritan, esquivan. Sobre tus pechos de tierra. Con sus mareas muertas. Con sus crepúsculos de boca. Divino pan del que nace. Y a ti, barco traído de la noche. Cadena de las páginas de la vida.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Para tomar tu lengua como el principio de todas las cosas. Para aprender de tu voluntad. De todos tus verbos del secreto. Con sus claves misteriosas. Con sus mentes de sombras. Con su boca amamantado. Con su boca cuerpo. Y todo gira en el retoño. Tus ojos con sus párpados tijeras. Con su tiempo sombrío. En la invisibilidad del tiempo. En su alma negra. En su despierto vientre. En la ausencia de piedra.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Tu boca sobre mi cuerpo giraba. Sus ideas. El retoño de los ojos. Si miras, si buscas deberían existir. Por ejemplo, los inviernos. Cae olvidado el tiempo. Se arrepiente de haber existido en la tormenta de los días. Tejiendo. Tejiendo. La lengua tejiendo. Se deshilacha y teje aquellos hilos sueltos.
De pájaro la lejanía. De te amo, sombra. De otra vez. Río, agua, pozo, péndulo; la búsqueda. Otra vez el perfume del reloj. Otra vez invisible hermética noche. Esa soledad que se lía con sus propias trenzas. Tu saliva de espera. Cara suficiente. Tengo tus mano y naces. Olvidas las penas y certezas girando como locos torbellinos de miseria.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Con la viva boca. Para el agujero de los labios. Todas las venas dando vueltas. Taquicardias que se escapan. Y esto ardía. Humo del silencio. Pájaro del espacio. Un día sin día. Sus arrebatos. Lejanos pájaros. Péndulos en el aire.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Una impaciencia en la lágrima. Vuela, mira la arquitectura. La del agua y la memoria. Sus precipicios. ¿Qué puedo hacer para invocarte? A través de las cerradas puertas. Volaba sobre el tiempo como un colibrí estático por los cíclicos tiempos de las catástrofes. En la orilla de la inmensa oscuridad. Cada vez gota a gota, dura y fría.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Manos sin raíces caen al agua, aterrizan en lunas nuevas como ventanas plenas. Sí, puedes mirar y escuchar la noche. Y hablar suspirando. Abrirle la boca al tiempo. Abrirle la boca a las sombras. Pintar los árboles como inmensas mariposas. Su vientre del vuelo futuro. En su ceremonia del vuelo alrededor de las alas ondulan los páramos.
Se hacen tus labios angustia. Por si acaso el viento apaga al fuego. Por si acaso fueras hoguera. O cerrados ojos. O anaranjada llama. Por si acaso el hambre. Manos cortadas colgadas de las puertas. Vestidos por los pasillos flotando. Leve noche de amor leve. Por las las primeras verticales mentiras. Mientras en el mar noche. En los sueños, trapecios. En la copa de los árboles de tus manos. Vi allí barcos amarillos como frutas paradójicas de los paisajes del tiempo.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Lluvia certera escéptica. Invisible cristal creado por el líquido del cielo. Mira el cristal a sí mismo a través de la superficie de los mares. Se acuerda de las desgracias caídas del cielo. Seco cielo del desacuerdo. Desgracia del cuerpo en llamas. Caen en multitud sus ojos desde lo más alto sin reventar por la presión, de llanto secos, sin gesticulación de angustia. Agitando el viento como dentro de una inmensa de mágica marmita.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Se despertaron tus manos de huida. Brotes de cruces aleatorios. Se despegan las piernas de los muslos; corren cada una por su lado; gritan, saltan, a la libertad canturrean con cierta alegría loca del que nunca más conocerá amarras; ni de carne, ni ladrillo, ni de soga o eslabón. Corren las piernas sueltas a su aire, al aire que van alcanzando con el brazo alrededor de la cintura del aire lleva el ritmo de la danza invisible del aire.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
El recuerdo entra en trance en su humedad de viejo. Ya parecen tres años desde que nací y ya parecen los primeros recuerdos añejos, de coagulada leche, agrio olor del primer malestar. Orina, caca y agria leche, caducada ya en el origen. Velo que divide el espacio de las habitaciones. Compartimentos estancos de cada uno en el ritmo de su mundo que no desaparecen por estar en simple presencia. Marcas del olor del territorio. Cada gato con sus garras; almohadillas van y vienen sosteniendo el silencio de la noche. Fijos sus fluorescentes ojos en cada rincón mirada.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
L'hiver était évident avec un gel froid et scintillant. La résurgence est évidente. Naissance de la terre. Les feuilles vertes, faibles et fragiles apparaissent avec une nouvelle curiosité. Qu'est-ce que le mystère ? Comment la vie est née brute de rêves. Et parfois, plus au sud, le fruit menace. Avec anticipation. Eh bien, cours vite derrière la pluie en jouant au tag.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Winter was evident with cold, glistening frost. The resurgence is evident. Birth of the earth. The green, weak and fragile leaves appear with new curiosity. What is it but mystery? How life is born raw from dreams. And sometimes, further south, the fruit threatens. With anticipating. Well, run fast behind the rain playing tag.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Era evidente el invierno con escarcha fría y reluciente. Evidente el resurgir. Nacimiento de la tierra. Las hojas verdes, débiles y frágiles asoman con nueva curiosidad. ¿Qué es sino misterio? Como nace la vida en carne viva desde los sueños. Y a veces, más al Sur, la fruta amenaza. Con anticiparse. Pues corre veloz detrás de la lluvia jugando al pilla-pilla.
Les fragments de vie étaient inouïs. Fragmentez-moi, moi, moi. Des pièces qui se tourmentent en se perdant dans les rues fragmentées. Des fragments de pluie se sont refermés comme un rideau d'eau qui rafraîchit l'amour. La course de la nostalgie; Je vois la course et les fruits de la nostalgie germer dans des couleurs éclatantes. Fruits évidents de la vie et du jus, de la saveur et de la nature.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
The fragments of life were unheard of. Fragment me, me, me. Pieces that torment themselves getting lost in the fragmented streets. Fragments of rain closed like a curtain of water that refreshes love. The run of nostalgia; I see the running and the fruits of nostalgia germinate in brilliant colors. Obvious fruits of life and juice, flavor and nature.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Eran inauditos los fragmentos de la vida. Fragmento yo, de mí, yo. Trozos que se atormentan perdiéndose en las fragmentadas calles. Fragmentos de lluvia cerrada como cortina de agua que refresca al amor. El correr de la nostalgia; veo el correr y los frutos de la nostalgia germinar en relucientes colores. Frutos evidentes de vida y jugo, sabor y naturaleza.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Effects of the future on the present, changed prior to its realization. We feed on the heat of our dreams. And of the complete metaphors of the achievable reality. You were in the part of me that denies your absence. With your words orgasms seducing the vibrations of my lost body gathering my tormented fragments.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Effets du futur sur le présent, modifiés avant sa réalisation. Nous nous nourrissons de la chaleur de nos rêves. Et des métaphores complètes de la réalité réalisable. Tu étais dans la partie de moi qui nie ton absence. Avec tes mots des orgasmes séduisant les vibrations de mon corps perdu rassemblant mes fragments tourmentés.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Efectos del futuro sobre el presente, cambiado con anterioridad a su realización. Nos alimentamos del calor de nuestros sueños. Y de las completas metáforas de la realizable realidad. Estabas en la parte de mí que desmiente tu ausencia. Con tus palabras orgasmos seduciendo la vibraciones de mi extraviado cuerpo reuniendo mis atormentados fragmentos.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Je suis revenu en étant ton nocturne. Âme qui marche habituellement la nuit. Avec des ailes de vide. Voler au hasard des lucioles. Des ailes fragiles fendant l'air silencieux. Ses effets, par vagues, atteignent l'autre bout de l'univers. Son immense fond noir luisant de l'univers des lucioles. Ils arrivèrent au bout et revinrent, se croisant sans cesse dans des salutations amicales lumineuses.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
I came back being your nocturnal. Soul that usually walks at night. With wings of emptiness. Flying randomly from fireflies. Fragile wings slicing through the silent air. Its effects, by waves, reach the other end of the universe. Its immense black background shining with the universe of fireflies. They reached the end and returned, endlessly passing each other in luminous friendly greetings.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
Volví siendo tu nocturno. Alma que suele pasearse en la noche. Con alas de vacío. Volando al azar de las luciérnagas. Frágiles alas cortando el silencioso aire. Sus efectos, por olas, llegan al otro extremo del universo. Su inmenso fondo negro luciendo con el universo de las luciérnagas. Llegaban al final y retornaban, cruzándose interminablemente unas con otras en luminosos amistosos saludos.
Y ahora, tu pelo. El gato nocturno. El gran placer de la realidad. La delicia del susurro primero materno. Edén. Sus sonoros valles. Esos orgasmos perceptivos. Gotean como savia desde los tallos de las hojas. Nocturno susurro de su respiración. Presencia en el oscuro e invisible silencio. Estás ahí, siempre; aún en los momentos de terror. En esa espera de la lenta mañana, perezosa y tardía. Cuando llegan las palabras de la obligación que nos separan del indeleble paraíso.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Tiempos del núcleo del amor. La esclavitud del sin amor alrededor. Amor testigo gigante. Contagia hasta el viento que pasa inocente más allá de lo humano. Ante sus ojos se hace causa. Se va el viento con sus dudas atormentado por el vértigo. A pesar duran las violetas en sus bulliciosas bahías. Y ahora del lado de su aullido se repliega.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Désorienté l'immensité. Entre les arbres jaillissent des sources. Et de belles après-midi. Des nuits éparses arrivent. Ici, ils rendent les actes. Ils se multiplient dans le lit la nuit. Il perd le souvenir de la journée. Tous vos mots disparaissent. Du côté de la pluie. Des pommes vertes scintillent mouillées suspendues aux arbres. Des moments d'amour entre les éléments de la nature.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Disoriented the vastness. Between the trees springs occur. And some wonderful afternoons. Scattered nights happen. Here there they return the acts. They multiply in the bed at night. He loses his memory of the day. All his words disappear. On the side of the rain. Green apples glisten wet hanging from the trees. Times of love between the elements of nature.
Sense, then ex-isto as a hypo/ thesis.
Desorientada la inmensidad. Entre los árboles ocurren las primaveras. Y algunas tardes maravilla. Suceden las noches dispersas. Acá allá devuelven los actos. Se multiplican en la cama de la noche. Pierde del día la memoria. Todas sus palabras desaparecen. Del lado de la lluvia. Manzanas verdes brillan mojadas colgando de los árboles. Tiempos de amor entre los elementos de la naturaleza.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Así anduvo ante el reloj, ese velo del tiempo. Fugaz segundo. Agujas que señalan al cuerpo. Combinación de la mecánica de las cosas. Y si no las miras suenan. Se remueven y pretenden saltar, a saltos de caballo sin respetar las líneas rectas. A veces se desorientan y paran: debes contribuir a su tiempo, a su tiempo muerto. A la inmensidad de las horas. A su declive y avance. A su cruel martirio. Te arrastran hacia su vacío, hacia su terrible silencio. Hojas muertas del árbol del tiempo.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Para vislumbrar la armonía del caos. Sale el mundo de su vientre de arcilla. Sale de la sombra primera: ese origen de tu silencio. La piel en silencio. En el silencio de la mirada. En sus elementos los ojos vistos. Rojiza carne del más allá. Del más allá de las manos. A su ausencia no responden. anduvo Así ante el fugaz velo del amor sin aparecer en los gestos ni en su frenesí ni en el sentido que mueve el universo.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Si duermo en tus insomnios. En sus abismos, sí. Prueba de desesperado amor. Hoy he visto pasar tu sombra en tus manos y duermes. Y ríes. Y a veces, lloras. Viajas y ríes. Y vuelves con las cajas plenas de sueños. Viajaban también los insomnios, a riesgo de perder sus nombres. Así como suena: perdían los insomnios sus fechas y nombres. Para vislumbrar el más allá del viaje.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
E (a (hoy) (tu sombra (como el fondo) (físico (acabó la memoria)) ( ) (así mal suena) del libro (infinita-mente cierta) (Sale del mundo las ardillas como móviles piedras)) (he (tus manos (ríe (ya) (que (se) (para vislumbrar el caos (para ver (cada noche hace sombra) (más allá) (del lado invisible del amor) (acabó la mentira (la armonía) del insomnio) (se) (acabó la mitad del día)) (como) (un viaje) (visto) (prueba de amor) (esto no es) (un wc en abismo)
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis
Detrás de ti el llorar. El reír. Y otros mapas del viaje. Roja expedición hacia el más allá de la carne. Momento de las horas. En su exceso. En el de tus labios. En su vívido desarreglo. Hablan tus rincones de una tuya felicidad, sin llamadas perdidas. La chispa de tus labios pretendía encender la noche. Encontrar los caminos de la noche, su lectura.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Para la belleza. Su estremecer. Para salir del ruido de la fealdad. Su torpeza suena a fruta de cuadro pasada. A cuerpo sin sal. Con un sudor de agua desalada, sin sabor. Un cuerpo sin sabor para la larga lengua que habla de él lamiéndolo. Tuvo que anclar su larga lengua, con una gruesa y pesada ancla, en el fondo del hipersalado mar. Zambullir los desalados cuerpos en sus aguas y después de un prolongado remojo, pasarlos por la lengua desanclada a fin de saborear su acidez.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
En trama, tiempo. En espera, los suspiros. A los segundos secos. Caerse el resto del día. Sin sed. Sin sed. El sueño de las horas. Sus lagunas. En la intimidad del tiempo. Desconocidas marcas. De lluvia, marcas. De antes de la lluvia. Mientras llueve ahí fuera se evaden los sueños vestidos negro. Su sonrisa se abre en la tormenta de las pesadillas. Florece agua. Piel de origen. Se arranca el tiempo, usado tiempo. En su estremecer.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Y todavía soy recuerdo en tu suave ausencia. Y era tan sola sin dolor. De su eco. Alocado eco que redobla como aullidos de encelados gatos. Anticipábamos los designios de los tiempos. Esas fuerzas raíz. Fuerzas del pasar del tiempo invadidas del alma encerradas en la cueva de su desconfianza, clavos oscuros del desamor invaden mi alma en silencio.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Flácida la vida como antiguos labios. Sin fin cuelga, elásticos. Son las iniciales de las entradas. No se termina nunca el anticipo del placer. También se niegan como viejos y anquilosados sobres de pergaminos largo tiempo cerrados. Reproche a la consecución de la vida. Pura negación. ¡Qué sabrán ellos del deseo del otro! Su desconocimiento. Ciego monólogo de la austera vida. Cerradas puertas del cuerpo hasta las trancas.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Con el ruido del tiempo, confusos. Ofreciendo el cuello a los gritos. Cuello sobre la mesa cortado. Como experimento de la noche. Como entrega de la carne. Apareciste como crisis siempre. Fugitiva. Para el regazo de la imagen. En tu nuca donde desemboca mi boca encuentro anunciadas promesas. Mientras, en tu cabello dispuesto crece la fiebre.
Con daño de sangre se rompe. Se rompe el cuerpo en su imperfecta noche. Se divierte en filigranas uniendo pequeños granos. Cada cual aporta su belleza mentira. Su abuso. // Te recuerdo con sentido. Tú, la llegada. En el rezo de tu boca. En el despertar. Siempre, en la incoherencia del sufrimiento. Viene a cerrar mis ojos indolentes, con la lentitud de un párpado, entre estas paredes-fuertes, tan pronto como me hiciste mar.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Cae el agua frágil sobre la fuente de los sueños
sábado, septiembre 04, 2021Cae el agua frágil sobre la fuente de los sueños. Gota a gota marca la letra del tiempo. Máscara del dolor. En los pasos del tiempo. Recorridos vistos como fuentes. Cada comienzo. Clarividente. Entonces, tú, divina, a mi prestada, predicha y clara, por ti fui adornado. Portado en el ultraje de tus brazos. Desfallezco allí, a contra mar.
Y entonces se apaga. En ti reverso anverso. Sufro me ceso. En la esperanza. Cruel esperanza inhumana. Primitiva ella desde el origen de los tiempos del hambre que hizo recorrer África. Primitiva, primitivo dolor. De pies descalzos. Mascando raíces y frutos de los fagáceos angiospermas. Raspando la lengua boca. Sus ojos de piedra aún sin sonrisa hacían metáfora de las distancias terrestres. Emperezaron a oír sobre el seco suelo, oreja comprimiendo la tierra, las lejanos pasos de las manadas de los elefantes que caminaban hacia la desembocadura del Nilo.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Granulación de imágenes.
Había que esperar para consolar este dolor por tus ojos hecho, quedado y herido. Como un dolor dueles como el escozor del veneno. Y tristeza. Que me niega la vida. A ti amor, a tus besos, a tus de entonces ojos que como ave de sueños te miro planeando. A tu inocente corazón. Amargo como boca quemada.
Algo se arrastra y empuja. Tal vez el amor. Hecho de movimientos. Movimientos de tierra desde donde brota. Somos heridos con desgarros. Se desgarran las manos. Buscan los huecos como gatos. Suspiran con lágrimas. Esas quejas del ronroneo. A veces a manos muertas. Dispuestas a retomar la lux. Obstinación contra el tiempo perdido. Su luz desvanecida. Tanta luz sale por tu boca que se calienta ardiendo el aire.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Y tienes del Destino la calma. Calma de muerte seca. En el interior de la sangre. Vivir de nieve en hibernación. En tus piernas. Ofrecidas manos. En llamas de sueños. Viviren los mordiscos de la nieve. Incansables bocados del perdurar. Boca a boca. Negras bocas. Urden tramas contra los besos.
Con luz y matiz. Puño cerrado de luz golpea. Sin esfuerzo. Adicta luz su crecida. Luz de la memoria. Esa cara extraña de sus ojos. Y, a veces, recuerdo. Cuelgan las pestañas de la luz de los ojos. Ahí lucen como materialidad del deseo. Su boca “relamea”. ¡Qué te esperabas! Que la voz amanezca clara. Sin los escombros de la noche. Clara agua en la sequía de los tiempos.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Filigranas chinescas de papel
Llevaba en su soledad como algo que ocupa el lugar del vacío. Que acaba con los hechos. Con la voz del silencio. Con la ausencia de imagen en los ojos. Con la vacía espera que no acaba. Pues luz la soledad ilumina en su aislamiento el desierto, el bosque, algún redondo trozo del mar. Luz que separa a los objetos, a nos. Luz marca límites de los bordes de las cosas. A veces, sus rayos hacen sueños para el despertar.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
La vie, ce récit qui se fait dans les livres. Comment les enfants jouent, je suppose. Dans la conjecture de vous imaginer. Je sais juste avec la certitude du corps. Dans un tel fantasme où aucun mot n'est articulé. Tu m'as tellement manqué, tellement grand que je ne connaissais pas ma réalité à chaque instant. Il me capture comme étant mon prochain futur, mon lendemain. Puisqu'il est présent à chaque instant, il se termine.
Sens, puis ex-isto comme hypo/thèse.
Life, that narrative that is made in books. How children play I guess. In the guess of imagining you. I just know with the certainty of the body. In such a fantasy where no word is articulated. I missed you so great, so great that I did not know my reality at every moment. It captures me as being my next future, my tomorrow. Since it is present in every moment it ends.
Sense, then ex-isto as a hypo/thesis.
La vida, esa narrativa que se hace en los libros. Como los niños juegan a supongo. En el supongo de imaginarte. Solo sé con la certeza del cuerpo. En tal fantasía donde no se articula palabra. Tan grande te extrañé, tan grande de no saberte mi realidad en cada instante. Me capta como siendo mi próximo futuro, mi mañana. Ya que este presente en cada instante se acaba.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Ladrón de las últimas horas. Se ofende la imagen del doble retorciendo su cuerpo sobre la superficie del espejo. A la superficie del cielo. A la superficie de las sombras. Ayer vi tus latidos. Los latidos del árbol. Me has visto reír mirada colgada. Sorprendida en tu búsqueda no me encuentras dando círculos a tu cuerpo, elípticos, sobre el vacío que representamos. Algunos estaban a punto de caerse. Círculos como si fuesen boca sola, exterior y franca. De su boca nacen de las mariposas.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
El búho aclara noches con sus redondos ojos relámpagos. Hablando de noches a las sombras. Estas se asustan. Salen corriendo despavoridas. Buscan huecos donde esconder sus miedos por temor a verse vistas como sombras realmente cobardes. Se ríen los huecos de ellas, de su encogido temor. Mientras tanto cuentan la infinidad de las estrellas para que pase más rápidamente la terrible noche, sus aullidos, arrancados a la garganta de la oscuridad.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.
Descarado cultivo de oxigeno. Flujo de amor. Amor cedo. Me acunas la memoria durante las borrascas del olvido. Encerrado en la memoria sin raíces. Se metamorfoseó la memoria en mariposas negras. Picoteaban la descubierta piel dejando sus infernales marcas. Se fueron transformando esos cuerpos en árboles calcinados del absoluto bosque.
Senso, luego ex-isto como hipó/tesis.