Une image en aller-retour. Image de mot. Qui promet l'absence de tromperie. Au final clairement. Dans l'ici. Ça fait mal comme des trous de viande. Sans aide nous nous apportons. Pendu au pleurer Dans son bruit incroyable. Dans son excès. De mettre la vie dans le corps. Par poignées. Mains libres. Dans sa sale danse. En se mettant dans les pieds volants. Du vol de la musique.
Una imagen de ida y vuelta. Imagen de palabra. Quien promete ausencia de engaño. Al final a las claras. En el aquí. Duele como boquetes de carne. Sin ayuda nos traemos. Colgados del llorar. En su asombroso ruido. En su exceso. Del meterse la vida en el cuerpo. A puñados. A manos sueltas. En su sucia danza. Al meterse en los pies voladores. Del vuelo de música.
The diffuse came to stretch. When the word enters the violence of noise. Hurts. It always hurts. Al you went after the words. In their violence they break. With excess tears. Like a butterfly at birth dressed as a hurricane. Metamorphosis of death. That to live resists. In the future flight of dry wings. At the end of the flight maze.
Le diffus est venu s'étirer. Quand le mot entre dans la violence du bruit. Fait mal. Ça fait toujours mal. Al vous êtes partis après les mots. Dans leur violence ils cassent. Avec trop de larmes. Comme un papillon à la naissance habillé en ouragan. Métamorphose de la mort. Que à vivre résiste. Dans le futur vol d'ailes sèches. Au bout du labyrinthe du vol.
Vino lo difuso a estirase. Cuando la palabra entra en la violencia del ruido. Duele. Siempre duele. Al te fuiste detrás de las palabras. En su violencia se rompen. Con desgarros de exceso. Como una mariposa al nacer vestida de huracán. Metamorfosis de la muerte. Que a vivir se resiste. En el futuro vuelo de las alas secas. Al final del laberinto del vuelo.
Behind nobody's footsteps. Serving hand. Pity that cries Love that separates. In the unexpected hope. I want with you to create beauty. The good and the bad. What comes from the holes? From his eyes. Along the fields of hope. Of hope the labyrinth. From the escaping shadow.
Derrière les pas de personne. Main servante. Dommage qui pleure. L'amour qui sépare. Dans l'espoir inattendu. Je veux avec toi créer de la beauté. Le bien et le mal. Qu'est-ce qui vient des trous ? De leurs yeux. Le long des champs de l'espoir. D'espoir le labyrinthe. De l'ombre qui s'échappe.
Detrás pasos de nadie. Mano que sirva. Pena que llora. Amor que separa. En la inesperada esperanza. Quiero contigo crear la belleza. La buena y la mala. Que de los agujeros viene. De sus ojos. A lo largo de los los campos de la esperanza. De la esperanza el laberinto. De la sombra que escapa.
Towards the end of the sea you scream. Cliff you. A word bird, and then a swallow. As the beginning of flight. Still the belly full of stones, the mouth full of words, the force in the air turbines. Standing love works. From suitcase. By mouth. Behind the memories to forget if they do not serve the well-being of the other. To the beloved who does not forget. The one whose mouth hurts from loving you. In flesh and image. At the dazzling gates. At the end of tears.
Vers la fin de la mer tu cries. Falaise vous. Un mot oiseau, puis une hirondelle. Comme le début du vol. Toujours le ventre plein de cailloux, la bouche pleine de mots, la force dans les turbines d'air. L'amour debout fonctionne. De la valise. Par la bouche. Derrière les souvenirs à oublier s'ils ne servent pas le bien-être de l'autre. A l'aimé qui n'oublie pas. Celui qui a mal à la bouche de t'aimer. En chair et en image. Aux portes éblouissantes. Au bout des larmes.
Hacia el final del mar gritas. Acantilado tú. Ave de palabra, Y después golondrina. Como principio de vuelo. Aún el vientre pleno de piedras, la boca llena de palabras, la fuerza en las turbinas del aire. El amor de pie sirve. De maleta. De boca. Detrás de los recuerdos para olvidar si no sirven al bienestar del otro. Al amado que no olvida. Al que le duele la boca de amarte. En carne e imagen. En las puertas deslumbrantes. Al final de las lágrimas.
Som steg du säger, jag ska berätta om staden, säger du. Vi var i färgen på dess vatten. Ja självklart! Som om det vore möjligt. Inte heller underkäken på blommor. Du vaknar inte ens. Inte ens tidens stopp. Låt oss ta bort ni och allt annat kommer att vara i negation. Vertigo av oskuld. Tidens portar. De kallar svarta hål som tysta odjur. Buffalo från rymdens prärier. De ser oss kollapsa.
Tystnad hörs i fållan av sångerna. Bortkastad Det kommer från havet. Upplöst från skuggorna fortsätter. Svarta skeppsspindel. Ögon darrar. Mörker i ögonen och natten. Talisman av lidande. Svarta moln ser ibland ut som järn. smakyta. I de första stegen av läpparna. Här räknas de. Här kommer de för läpparna. Eftermiddagspromenader.
As steps you say, I'm going to tell you about the city, you say. We were in the color of its water. Yes of course! As if that were possible. Nor the mandibles of flowers. You don't even wake up. Not even the stop of time. Let's remove the ni and everything else will be in negation. Vertigo of innocence. Gates of time. They call black holes like silent beasts. Buffalo from the prairies of space. They watch us collapsing.
Au fur et à mesure que vous dites, je vais vous parler de la ville, dites-vous. Nous étions dans la couleur de son eau. Oui biensur! Comme si c'était possible. Ni les mandibules des fleurs. Vous ne vous réveillez même pas. Pas même l'arrêt du temps. Enlevons le ni et tout le reste sera dans la négation. Vertige d'innocence. Portes du temps. Ils appellent les trous noirs comme des bêtes silencieuses. Buffalo des prairies de l'espace. Ils nous regardent s'effondrer.
Como escalones dices, Te voy a contar la ciudad, dices. Estuvimos en el color de su agua. Sí, claro! Como si eso fuese posible. Ni las mandíbulas de las flores. Ni los amaneces parados. Ni el stop del tiempo. Suprimamos el ni y todo lo demás será en negación. Vértigo de la inocencia. Puertas del tiempo. Llaman los agujeros negros como calladas fieras. Búfalos de las praderas del espacio. Nos miran derrumbándose.
Silence is heard in the fold of the songs. thrown away It comes from the sea. Dissolved from the shadows proceeds. Black ships spider. Eyes tremble. Darkness of the eyes and night. Talisman of suffering. Black cloud sometimes looks like iron. flavor surface. In the first steps of the lips. Here they count. Here they come for the lips. Afternoon walks.
Le silence se fait entendre dans le pli des chansons. jeté Il vient de la mer. Dissous de l'ombre produit. Araignée de navires noirs. Les yeux tremblent. Obscurité des yeux et de la nuit. Talisman de la souffrance. Le nuage noir ressemble parfois à du fer. surface de saveur. Dans les premiers pas des lèvres. Ici, ils comptent. Ici, ils viennent pour les lèvres. Promenades de l'après-midi.
En el repliegue de las canciones se escucha el silencio. Tirado. Del mar procede. Disuelto de las sombras procede. Araña negra de los barcos. Tiemblan ojos. Oscuridad de los ojos y noche. Talismán del sufrimiento. Nube negra a veces parece hierro. Superficie del sabor. En los primeros pasos de los labios. Aquí cuentan. Aquí ven por los labios. Los paseos de la tarde.
Finger letters. Prepared they contain us. Shadows of silence sleep safe in their nights. Subjected to the probable illusion. Invisible in their folds. It is this painted afternoon where you are missing like dry trees from a garden. Those hallway steps. Your travels pushed. They sailed in the seven leagues. On precipices of voluminous water. Looking for happiness in reward to life.
Lettres de doigt. Préparés, ils nous contiennent. Les ombres du silence dorment en sécurité dans leurs nuits. Soumis à l'illusion probable. Invisible dans leurs plis. C'est cet après-midi peint où tu manques comme les arbres secs d'un jardin. Ces marches de couloir. Vos voyages poussés. Ils ont navigué dans les sept lieues. Sur des précipices d'eau volumineux. À la recherche du bonheur en récompense de la vie.
Letras de dedos. Preparadas nos contienen. En sus noches duermen seguras sombras de silencio. Sometidas a la probable ilusión. Invisibles en sus repliegues. Es esta tarde pintada donde tú faltas como árboles secos de un jardín. Esos pasos de pasillos. Tus viajes empujaban. Navegaban en las siete leguas. Sobre precipicios de voluminosa agua. Buscando la felicidad en recompensa a la vida.
Their faces were misconfigured. Of that. Then their sadness thawed. White gloves for the deal. May the contagion not run to loose teeth, open jaws. It comes to say the abyss of the other. In its salt ridges. Love sometimes in its steps. The body comes to access its solitude. By multiple doors that take.
Leurs visages étaient mal configurés. De ce. Puis leur tristesse s'est dissipée. Des gants blancs pour l'affaire. Que la contagion ne coule pas jusqu'à déchausser les dents, ouvrir les mâchoires. Il vient dire l'abîme de l'autre. Dans ses crêtes de sel. L'amour parfois dans ses pas. Le corps vient accéder à sa solitude. Par plusieurs portes qui prennent.
Se les desconfiguraban la face. De eso. Se les descongelaban entonces la tristeza. Guantes blancos para el acuerdo. Que el contagio no corra a dientes sueltos, mandíbulas abiertas. Viene a decir el abismo del otro. En sus cordilleras de sal. El amor a veces en sus pasos. Viene el cuerpo a acceder a su soledad. Por múltiples puertas que tome.
Ihre Gesichter waren falsch konfiguriert. Davon. Dann taute ihre Traurigkeit auf. Weiße Handschuhe für den Deal. Möge die Ansteckung nicht zu lockeren Zähnen und offenen Kiefern führen. Es kommt zu dem Abgrund des Anderen. In seinen Salzkämmen. Liebe manchmal in ihren Schritten. Der Körper findet Zugang zu seiner Einsamkeit. Durch mehrere Türen, die nehmen.
Let them give us sadness. In their restless eagerness. To fuck our living life. In its closure. To the new airs of the way of being. On its salty lips transformed into scattered grains. Now you're going to tell me that they are tides of the mouth. In their expanded tsunamis. Where the beaches await them. Of the salty world await them.
Biarlah mereka memberi kita kesedihan. Dalam keinginan mereka yang sulit diatur Untuk bercinta dengan kehidupan kita. Dalam penutupannya. Kepada udara baru dari cara hidup. Pada bibirnya yang asin berubah menjadi butiran-butiran yang berserakan. Sekarang Anda akan mengatakan kepada saya bahwa mereka adalah pasang surut mulut. Dalam tsunami mereka yang diperluas. Di mana pantai-pantai menanti mereka. Dari dunia asin menanti mereka.
Qu'ils nous donnent de la tristesse. Dans leur empressement indiscipliné. Pour baiser notre vie. Dans sa fermeture. Aux nouveaux airs de la manière d'être. Sur ses lèvres salées transformées en grains épars. Maintenant vous allez me dire que ce sont des marées de la bouche. Dans leurs tsunamis élargis. Où les plages les attendent. Du monde salé les attendent.
Que nos den la tristeza. En su revuelto afán. De jodernos la viva vida. En su cierre. A los nuevos aires del modo del ser. Sobre sus salados labios transformados en dispersos granos. Ahora me vas a decir que son mareas de la boca. En sus tsunamis expandidas. Donde las playas los esperan. Del salado mundo los esperan.
Give us sadness. In his scrambled eagerness. To fuck our lives. In its closure. To the new airs of the way of being. On his salty lips transformed into scattered grains. Now you are going to tell me that they are tides from the mouth. In their expanded tsunamis. Where the beaches await them. From the salty world they await them.
Donne-nous de la tristesse. Dans son empressement brouillé. Pour baiser nos vies. Dans sa fermeture. Aux nouveaux airs de la manière d'être. Sur ses lèvres salées transformées en grains épars. Maintenant tu vas me dire que ce sont des marées de la bouche. Dans leurs tsunamis étendus. Où les plages les attendent. Du monde salé, ils les attendent.
Que nos den la tristeza. En su revuelto afán. De jodernos la viva vida. En su cierre. A los nuevos aires del modo del ser. Sobre sus salados labios transformados en dispersos granos. Ahora me vas a decir que son mareas de la boca. En sus tsunamis expandidas. Don las playas los esperan. Del salado mundo los esperan.
I do not know. Will be. Misshapen laughter. Open the air vents. Frightened generation. Like footprints from nowhere. Disoriented. Semi-erased on the stones. Messengers of Oblivion. Your holes. Culmination. In this explosion, the world closes.
Je ne sais pas. Sera. Rires difformes. Ouvrir les bouches d'aération. Génération effrayée. Comme des empreintes de nulle part. Désorienté. Semi-effacé sur les pierres. Messagers de l'oubli. Vos trous. Culmination. Dans cette explosion, le monde se ferme.
Semiborradas sobre las piedras mensajeras del olvido
miércoles, noviembre 09, 2022No sé. Será. Risas deformes. Bocas de viento abierto. Generados asustados. Como huellas de ninguna parte. Desorientadas. Semiborradas sobre las piedras. Mensajeras del olvido. Sus huecos. Culminación. En ese estallido se cierra el mundo.
The double alternates with the absent one; makes alternating. They threw what they saw into their eyes. Even if it's just to see. While time is running out every moment. It's slippery. Under the golden bridges. Where the statues of boredom. Smile of cloudy water. Cement foot shores. Sleepy shoes. Of the misshapen great river.
Le double alterne avec l'absent ; fait alterner. Ils ont jeté ce qu'ils ont vu dans leurs yeux. Même si c'est juste pour voir. Alors que le temps presse à chaque instant. C'est glissant. Sous les ponts d'or. Où les statues de l'ennui. Sourire d'eau trouble. Pieds d'étaiement en ciment. Chaussures somnolentes. Du grand fleuve difforme.
El doble se alterna con el ausente; hace alterne. Tiraban lo que veían dentro de sus ojos. Aunque solo sea para verse. Mientras el tiempo a cada instante se termina. Se resbala. Bajo los dorados puentes. Donde las estatuas del aburrimiento. Sonrisa de turbia agua. Orillas de pies de cemento. Zapatos somnolientos. Del deforme gran río.
Dubbeln alternerar med den frånvarande; gör alternerande. De kastade det de såg i deras ögon. Även om det bara är för att se. Medan tiden rinner ut varje ögonblick. Det är halt. Under de gyllene broarna. Där statyerna av tristess. Leende av grumligt vatten. Cementfotstränder. Sömniga skor. Av den missbildade stora floden.
Eyes that close and open in another place, in another dimension, in other vessels, in the same place. Their eyes had eternal memories. Like the coldness of our hands. In his sunrises. "Rebon they say". Violations of what is said. Heated. "At hand". In the heat of noise. It's your heartache. Because I want you I love you. And talking to you my life is going away. Such is the love he has for us. What loses us Even if we didn't know enough to "warn us".
Des yeux qui se ferment et s'ouvrent dans un autre endroit, dans une autre dimension, dans d'autres vaisseaux, au même endroit. Leurs yeux avaient des souvenirs éternels. Comme la froideur de nos mains. Dans ses levers de soleil. "Rebon-ils disent". Atteintes à ce qui est dit. Chauffé. "À portée de main". Dans la chaleur du bruit. C'est ton chagrin d'amour. Parce que je te veux je t'aime. Et en vous parlant ma vie s'en va. Tel est l'amour qu'il nous fait. Ce qui nous perd Même si nous n'en savions pas assez pour "nous prévenir".
Ojos que se cierran y se abren en otro lugar, en otra dimensión, en otros barcos, en el mismo lugar. Tenían los ojos eternos recuerdos. Como la frialdad de nuestras manos. En sus amaneceres. “Rebon-dicen”. Asaltos sobre lo que se dicen. Acalorados. “A manos”. En el calor del barullo. Es su pena desgarrada. Porque te quiero te amo. Y en hablarte se me va la vida. Tal es el amor que nos hace. Que nos pierde. Aunque no sabíamos tanto como para “prevenirnos”.
And the shadow comes out. Look at the yard. Elusive paintings pass over his walk. Nothing is observed in the mobile museum of appearances. Seeing, in its solitude of light, drags itself through its own silence. No bumps. Of waves. Of breath. Taken away. Sobbing of seeing. In her cold hands. In his arms, balanced. Like mime boats. Street map. Among the hodgepodge of colorful walkers.
Et l'ombre sort. Regardez la cour. Des tableaux insaisissables défilent sur sa promenade. Rien ne s'observe dans le musée mobile des apparences. Le voir, dans sa solitude de lumière, se traîne dans son propre silence. Pas de bosses. De vagues. De souffle. Emporté. Sangloter de voir, Dans ses mains froides. Dans ses bras, en équilibre. Comme des bateaux mimes. Plan. Parmi le méli-mélo de promeneurs colorés.
Como barcos de mimo callejero entre el batiburrillo de los coloridos paseantes
sábado, noviembre 05, 2022Y se sale la sombra. Mira el patio. Sobre su andar transcurren huidizos cuadros. Nada se observa en el móvil museo de las apariencias. El ver, en su soledad de luz, por su propio silencio se arrastra. Sin tropiezos. De olas. De aliento. Quitado. Sollozos del ver. En sus manos frías. En sus brazos, balanceado. Como barcos de mimo. Callejero. Entre el batiburrillo de los coloridos paseantes.
When the tree loves close to your eyes, your mouth open like a desert, without force of mouth, like a detached, crushed torrent, exasperates. It contains, cut on its mirror, a proud image of this surface where the straight points are reflections. About the wall what you tell me nothing. From so many hours withheld. When I'm asleep I sob as I name the rooms. And you turn on all the lights like fluorescent windows.
Quand l'arbre aime près de tes yeux, ta bouche ouverte comme un désert, sans force de bouche, comme un torrent détaché, écrasé, exaspère. Elle contient, découpée sur son miroir, une fière image de cette surface où les points droits sont des reflets. A propos du mur ce que vous me dites rien. De tant d'heures tenues. Quand je dors, je sanglote en nommant les pièces. Et vous allumez toutes les lumières comme des fenêtres fluorescentes.
Cuando del árbol ame cerca de tus ojos, tu boca abierta como un desierto, sin fuerza de boca, como torrente desprendida, aplastada se exaspera. Se contiene cortada sobre su espejo orgullosa imagen de esta superficie donde los puntos rectos son reflejos. Sobre el pared lo que me dices nada. De tantas horas retenida. Cuando dormida yo sollozo mientras le pongo nombres a las habitaciones. Y enciendes todas luces como fluorescentes ventanas.
I wait for you in the underground surveillance where we met already with death finished. You tell me. I say to you. I "grieve". You "hurt". Does not drag. He adores us. in gold In his delusional greed. It "exports" us. To his traffic of bodies. Over the 100,000 freighters that sail through the uninhabited seas in silence of water. Without aromas of trees on the surface they "fly" like giant metal looking for the black holes of the seas.
Je t'attends dans la surveillance souterraine où nous nous sommes rencontrés déjà avec la mort finie. Tu me dis. Je te dis. Je pleure". Tu blesses". Ne traîne pas. Il nous adore. en or Dans sa cupidité délirante. Il nous "exporte". A son trafic de corps. Plus de 100 000 cargos qui naviguent à travers les mers inhabitées dans le silence de l'eau. Sans arômes d'arbres à la surface, ils "volent" comme des métaux géants à la recherche des trous noirs des mers.
Del te espero en la subterránea vigilancia donde nos veíamos ya con la muerte acabada. Me dices. Te digo. Me "duelo". Te "dueles". Nos arrastra. Nos adora. En dorado. En su delirante avaricia. Nos "exporta". A su tráfico de cuerpos. Sobre los 100.000 cargueros que por los deshabitados mares en silencio de agua navegan. Sin aromas de árboles sobre superficie "vuelan" como de metal gigantes buscando los agujeros negros de los mares.