Nous avions de la place pour la vie. Sans cesser de nous aimer. Par conséquent, déjà perdu. Embarqué. Dans les épreuves rapides. Corps, entre autres. Pour remplir l'amour vide. Contre qui nous nous sommes battus tant de fois. Surmonter. Convaincu et sans doute vaincu. Pour l'amour et la vie dure. Pour les résistants on n'a pas envie d'y aller. Au fond de la douleur.
Teníamos margen para la vida. Sin dejar de querernos. Por eso, ya perdidos. Incrustados. En los rápidos eventos. Corporales, entre otros. Para llenar al amor vaciado. Contra el que tantas veces luchábamos. Superados. Convencidos e indubitablement vencidos. Por el amor y la dura vida. Por el resistente no queremos ir. Hasta el fondo del dolor.
To love you embedded in my memory. In the touch of the hands. Of the laziness of the fingers. His holes. That creation of the primal touch. The touching consistency. Matter resists. Granting contours, edges, limits. Not beyond. A continent. It resists dissolution.
T'aimer gravé dans ma mémoire. Au toucher des mains. De la paresse des doigts. Ses trous. Cette création de la touche primale. La consistance touchante. La matière résiste. Accorder des contours, des contours, des limites. Pas au-delà. Un continent. Il résiste à la dissolution.
Para quererte incrustada en mi memoria. En el tacto de las manos. De la dejadez de los dedos. Sus agujeros. Esa creación del primario tacto. El tocar la consistencia. Se resiste la materia. Otorgando contornos, bordes, límites. No más allá. Un continente. Se resiste a la disolución.
The stone statues at the bottom of the cavern moved. White flat side fine cardboard-like surface painted in marble grey. Oval. Expression of fixed sensory organs. Like from Venice. With the moisture of the body extracted. What fault does the body have if it multiplies as a shadow? On the margins of reality.
Les statues de pierre au fond de la caverne ont bougé. Surface blanche en carton fin à côté plat peinte en gris marbré. ovale. Expression des organes sensoriels fixes. Comme de Venise. Avec l'humidité du corps extraite. Quel défaut a le corps s'il se multiplie comme une ombre ? En marge de la réalité.
Se movían las estatuas de piedra en el fondo de la caverna
miércoles, septiembre 28, 2022Se movían las estatuas de piedra en el fondo de la caverna. Cara plana blanca superficie fina como de cartón pintado en gris mármol. Ovalada. Expresión de órganos sensoriales fijos. Como de Venecia. Con la humedad del cuerpo extraída. ¿Qué culpa tiene el cuerpo si se multiplica como sombra? En los márgenes de la realidad.
So you can from us. Of his lived. Of how the hours you see. For now you see. Flat fruits. Like intimate ground. Where the cherries of resentment fall. Of those unfortunates weak of hope. The same when intimacy was awakened. Of death. Scavenger of time. On his come to remember the holes. Its limits open to the wind. From the cultivation of the gaze under secrecy. For the love of travel. Of in you. As return. Which is always measured in a spiral on itself. Squirming. Curving space. Thrown on our hands. On which the world extends.
Donc, vous pouvez de nous. De son vécu. De la façon dont les heures que vous voyez. Pour l'instant tu vois. Fruits plats. Comme terrain intime. Où tombent les cerises du ressentiment. De ces malheureux faibles d'espoir. De même quand l'intimité s'éveillait. De la mort. Chasseur de temps. Sur son venir se souvenir des trous. Ses limites s'ouvrent au vent. De la culture du regard dans le secret. Pour l'amour du voyage. De toi. Comme retour. Qui se mesure toujours en spirale sur elle-même. Se tortillant. Espace courbe. Jeté sur nos mains. Sur lequel s'étend le monde.
Así se puede de nos. Del su vivido. Del como las horas ves. Por el momento ves. Los frutos planos. Como suelo íntimo. Donde caen las cerezas del rencor. De aquellos desafortunados débiles de esperanza. Eso mismo cuando se despertaba la intimidad. De la muerte. Carroñera del tiempo. En su venir a recordar los agujeros. Sus límites abiertos al viento. Del cultivo de la mirada bajo secreto. Por amor al viaje. Del en ti. Como retorno. Que siempre se mide en espiral sobre sí mismo. Retorciéndose. Curvando el espacio. Echado sobre nuestras manos. Sobre las que el mundo se extiende.
What a divine invention! We learned to count. Bluntly. With you. No stone swirls. Without disturbing edges. To stay next to your reason. In case you appear with a look of disaster. Surrounded by contours of looks. As love can over the body. Without him. With the. Facts in the vacuum of thought. No visible catastrophes. For the few who are alive they know. Of that hour of succumbing. On the branches at times of dawn.
Quelle invention divine ! Nous avons appris à compter. Carrément. Avec vous. Aucune pierre ne tourbillonne. Sans bords gênants. Pour rester à côté de votre raison. Au cas où vous apparaissez avec un regard de catastrophe. Entouré de contours de regards. Comme l'amour peut sur le corps. Sans lui. Avec lui. Des faits dans le vide de la pensée. Aucune catastrophe visible. Pour les quelques vivants qu'ils connaissent. De cette heure à succomber. Sur les branches à l'aube.
¡Qué adivino invento! Aprendimos a contar. Sin rodeos. Contigo. Sin remolinos de piedras. Sin quehacer bordes. Para quedarme al lado de tu razón. Por si apareces con mirada de desastres. Rodeada de contornos de miradas. Como el amor puede sobre el cuerpo. Sin él. Con él. Hechos al vacío del pensamiento. Sin visibles catástrofes. Por los pocos que vivos se saben. De esa hora del sucumbir. Sobre las ramas a veces del alba.
From sorry. "Du" we feel. It already counts. As we know. Between us. Asset. What would we find? What was your skin called? We already knew that skin had no name. Nor the vineyards of the Lord. Nor the vines of Hell. They go away. Or they come from this country. Every morning at dawn. Like one of our mornings. When the nights of love are over. In its following forms. Eyes. The formulas of his eyes. When the weather rises. In its simple forms. If your stamps are sold out. His scholarly inventions. Your resort. With absence resources.
Du désolé. "Du" nous nous sentons. Ça compte déjà. Comme on le sait. Entre nous. A tout. Qu'allions-nous trouver ? Comment s'appelait ta peau ? Nous savions déjà que la peau n'avait pas de nom. Ni les vignes du Seigneur. Ni les vignes de l'Enfer. Ils s'en vont. Ou ils viennent de ce pays. Chaque matin à l'aube. Comme un de nos matins. Quand les nuits d'amour sont finies. Sous ses formes suivantes. Des yeux. Les formules de ses yeux. Quand le temps se lève. Dans ses formes simples. Si vos timbres sont épuisés. Ses inventions savantes. Votre station. Avec des ressources d'absence.
Del del sentimos. “Desdel” sentimos. Ya cuenta. Como se sabe. Entre nosotros. A todo. Que íbamos a encontrar. ¿Cómo se llamaba tu piel? Ya sabíamos que las pieles no tienen nombre. Ni las viñas del Señor. Ni las viñas del Infierno. Se van. O vienen de aquella tierra. Cada mañana al amanecer. Como una mañana nuestra. Cuando se acaban las noches de amor. En sus formas siguientes. De ojos. Las fórmulas de sus ojos. Cuando se levanta el tiempo. En sus formas simples. Si se acaban sus sellos. Sus aprendidos inventos. Su recurrir. Con recursos de ausencias.
Highest slow desire. Wanting every time. Break the black. Break what dies looking for words. The screams are believed. Beggars of old memory. Of recognized pain. On the knitted body. In a live of enthusiasm. Deep waist truth. Like calling those idols. With foreign lips. Of flares. They echo over their own shadows. Of love unnoticed. Like the you and you account. Just as memories. All memories like cemeteries.
Désir lent le plus élevé. Vouloir à chaque fois. Casser le noir. Brisez ce qui meurt en cherchant des mots. Les cris sont crus. Mendiants de l'ancienne mémoire. De douleur reconnue. Sur le corps tricoté. Dans une vie d'enthousiasme. La vérité profonde de la taille. Comme appeler ces idoles. Aux lèvres étrangères. Des fusées éclairantes. Ils résonnent sur leurs propres ombres. D'amour inaperçu. Comme le compte toi et toi. Tout comme des souvenirs. Tous les souvenirs comme des cimetières.
Más alto lento deseo. Queriendo cada vez. Romper lo negro. Romper lo que se muere buscando palabras. Se creen los gritos. Mendigos de vieja memoria. De reconocido dolor. Sobre el cuerpo tejido. En un vivir de entusiasmo. Profunda verdad de cintura. Como llamando a esos ídolos. Con labios ajenos. De llamaradas. Retumban sobre sus propias sombras. De amor desapercibido. Como el tú y tú cuenta. Solo como recuerdos. Todos los recuerdos como cementerios.
There is the night. Scandalous Like unpronounceable words. His green dance. His green Moon. Private. Of love they say. Body to love. Now and always his adorned look. Its after the mirror. !Well of course! Clear light. After that it was glass. Of fractal lines. They run cold. In each moment it is shaped. The long and loud light. The color devours. At the command of death. Scandalous. Within each moment. That grows. And it grows. Until the next. If you want me for a moment. Inside your hands. Out in the park. If you love me as in thought. In sleepy music.
Il y a la nuit. Scandaleuse. Comme des mots imprononçables. Sa danse verte. Sa Lune verte. Privé. D'amour qu'ils disent. Corps à aimer. Maintenant et toujours son look orné. C'est après le miroir. !Bien sûr! Lumière claire. Après c'était du verre. De lignes fractales. Ils font froid. A chaque instant il se façonne. La lumière longue et forte. La couleur dévore. Au commandement de la mort. Scandaleuse. A chaque instant. Cela grandit. Et ça grandit. Jusqu'à la prochaine. Si tu me veux un instant. Entre tes mains. Dans le parc. Si tu m'aimes comme en pensée. Dans la musique endormie.
Está la noche. Escandalosa. Como las palabras impronunciables. Su verde baile. Su verde Luna. Privada. De amor dicen. De cuerpo de amar. Ahora y siempre su engalanada mirada. Su después del espejo. !Pues claro! Clara luz. Tras eso fue cristal. De fractales líneas. Corren frías. En cada instante se plasma. La luz larga y sonora. El color devora. A la orden de la muerte. Escandalosa. Dentro de cada instante. Que crece. Y crece. Hasta el siguiente. Si me quieres un instante. Dentro de tus manos. Fuera en el parque. Si me quieres como en el pensamiento. En música somnolienta.
Nothing to start. slow edges. Drowned. Each letter sculpted "archaeologically". Hanged stagnant dirty water. It looks like memory of water. Sea that begins. It seems to want land. Thus of the will of matter. Next to. Next to. Of doing. No shaking ground. That terror of the tongue. It was and it wasn't. But here he does not remember. She is not in his arms at night. Not even in his learned language. The one that speaks par coeur. From memory. Always waiting for what is missing. What will not come. Although that is scandalously expected. In their distant orbits. Sidereals. Of soft silence. Wingless flight. No friction. No visible stops.
Rien à commencer. Bords lents. Noyé. Chaque lettre sculptée "archéologiquement". Pendu l'eau sale stagnante. Il ressemble à la mémoire de l'eau. Mer qui commence. Il semble vouloir de la terre. Ainsi de la volonté de la matière. À côté. À côté. De faire. Pas de terrain tremblant. Cette terreur de la langue. C'était et ce n'était pas. Mais ici, il ne se souvient pas. Elle n'est pas dans ses bras la nuit. Pas même dans sa langue savante. Celui qui parle par coeur. Par cœur. Toujours en attente de ce qui manque. Ce qui ne viendra pas. Bien que cela attend scandaleusement. Dans leurs orbites lointaines. Sidérales. Du doux silence. Vol sans ailes. Pas de frottement. Pas d'arrêts visibles.
Nada de empezar. Bordes lentos. Ahogados. A cada letra esculpidos “arqueológicamente”. Ahorcada agua sucia estanca. Parece memoria de agua. Mar que comienza. Parece quererse tierra. Así del querer de la materia. Al lado. Al lado. Del hacer. Sin tierra temblorosa. Ese terror de la lengua. Estaba y no estaba. Sino aquí no recuerda. No está en sus brazos de noche. Ni en su aprendida lengua. Esa que habla par coeur. De memoria. Esperando siempre lo que falta. Lo que no vendrá. Aunque eso escandalosamente espera. En sus lejanas órbitas. Siderales. De suave silencio. De vuelo sin alas. Sin fricción. Sin visibles topes.
The perpetual movement of signifiers. Cross country. Of phonic rails. In the dried-up fountain of the black marble of nocturnal water. Patience of the surprising trains. that they will come Like words without seasons. They fall in love with the eyes of summer nights; but two eyes are not a person, nor an outdoor movie character. They left without saying their daily chores. That way no one would think of interfering. It was the freedom of the monsters.
Le mouvement perpétuel des signifiants. Cross-country. De rails phoniques. Dans la fontaine asséchée du marbre noir de l'eau nocturne. Patience des trains surprenants. qu'ils viendront Comme des mots sans saisons. Ils tombent amoureux des yeux des nuits d'été ; mais deux yeux ne sont pas une personne, ni un personnage de film en plein air. Ils sont partis sans dire leurs tâches quotidiennes. De cette façon, personne ne penserait à intervenir. C'était la liberté des monstres.
El perpetuo movimiento de los significantes. A campo travieso. De railes fónicos. En la fuent-seca del negro mármol de nocturna agua. Paciencia de los sorprendentes trenes. Que vendrán. Como palabras sin estaciones. Se enamoran de los ojos de las noches de verano; pero dos ojos no son una persona, ni un personaje de cine al aire libre. Se iban sin decir su quehacer diario. De ese modo nadie se le ocurriría inmiscuirse. Era la libertad de los monstruos.
Always in our case. Pressured. In plant. Slowly the shipwreck. I thought it was your way out of the sea. You lived today. The time of pain. It is. That. The stop in time. In time unsaid. Mouth closed on the chest. Egyptian look. Desert stone. Millennia to remember. Came from the mummies. Drunk with the memory. Drunk with gods. From the slow nothing. He extracted their soul through their noses, turning it into sand dust. He gave her immortality as a mate. Vertical skywalk. It runs in a dream. In a dream at night between wedged blocks of stone.
Toujours dans notre cas. Sous pression. Dans l'usine. Lentement le naufrage. Je pensais que c'était ton moyen de sortir de la mer. Vous avez vécu aujourd'hui. Le temps de la douleur. C'est celui là. L'arrêt dans le temps. Dans le temps non dit. Bouche fermée sur la poitrine. Aspect égyptien. Pierre du désert. Des millénaires à retenir. Vin des momies. Ivre de mémoire. Ivre de dieux Du lent néant. Il a extrait leur âme par le nez, la transformant en poussière de sable. Il leur a donné l'immortalité en tant que compagne. Passerelle verticale. Il tourne dans un rêve. Dans un rêve la nuit entre des blocs de pierre coincés.
Siempre en nuestro caso. Presionados. En planta. Lentamente el naufragio. Creía que era tu salida de mar. Tu vivido hoy. El tiempo del dolor. Es. Ese. La parada en el tiempo. En el tiempo sin decir. Boca cerrada sobre el pecho. Mirada egipcia. De piedra del desierto. Milenios para recordar. Vino de las momias. Embriagadas del recuerdo. Ebrias de dioses. De la lenta nada. Les extrajo por las narices el alma convirtiéndolos en polvo de arena. Les dio como compañera la inmortalidad. Vertical pasadizo aéreo. Se recorre en un sueño. En un sueño de noche entre encajados bloques de piedra.
As I say. You tell me. We. From another day we are. Owls of the eternal night. Without eyes they eat. The darkness of their bodies. The words are shaken with canine bodily swaying. The parts are removed with agile simian fingers. They are eaten with the mouths of the night.
Comme je dis. Tu me dis. Nous. D'un autre jour nous sommes. Chouettes de la nuit éternelle. Sans yeux, ils mangent. L'obscurité de leurs corps. Les mots sont secoués d'un balancement corporel canin. Les pièces sont enlevées avec des doigts simiens agiles. Ils sont mangés avec la bouche de la nuit.
Como te digo. Me dices. Nos. De otro día somos. Búhos de las eternas noches. Sin ojos comen. La oscuridad de sus cuerpos. Se sacuden las palabras con corporal balanceo canino. Las partes se espulgan con ágiles dedos simiescos. Se comen con las bocas de la noche.
From the wing of himself. From the thirst of the question. As if we had all the answers. That answer to the void. In the hiding places of tenderness. In the mouth covers. Words eyes of love. As if they had caresses glued to their hands. Any. Confused love breeds hard. Desperate smile. I would have the place of sorrow.
De l'aile de lui-même. De la soif de la question. Comme si nous avions toutes les réponses. Cette réponse au vide. Dans les cachettes de la tendresse. Dans la couvre-bouche. Mots yeux d'amour. Comme s'ils avaient des caresses collées à leurs mains. N'importe quel. L'amour confus se reproduit difficilement. Sourire désespéré. J'aurais la place du chagrin.
Del ala de sí mismo. De la sed de la pregunta. Como si tuviéramos todas las respuestas. Que al vacío responden. En los escondites de la ternura. En los cubre-boca. Palabras ojos de amor. Como si tuvieran caricias pegadas a las manos. Cualesquiera. Cría duro el amor confuso. Desesperada sonrisa. Tendría el lugar de la pena.
The soul pieces. Asleep. On the long sand. They will take all the memory. Drift subject. Its rooms, its shores. By mistake. For the branch of the day. On the absent branch. The golden bough of inspiration. Sinister figure of the day. Watchful soft hand. The murderer maybe. Hidden in the early tree. The one with the mysterious symbols. Priesthood of the occult rules. Replacing the dead places. By strong life skill. His figure was shadowed in the statues of the trees. The gloomy scenes that die. The escaped lay unconscious of herself in the silent darkness of the mansion.
Les morceaux d'âme. Endormi. Sur le long sable. Ils prendront toute la mémoire. Sujet de dérive. Ses chambres, ses rives. Par erreur. Pour la branche du jour. Sur la branche absente. Le rameau d'or de l'inspiration. Sinistre figure du jour. Main douce vigilante. Le meurtrier peut-être. Caché dans l'arbre primitif. Celui avec les symboles mystérieux. Sacerdoce des règles occultes. Remplacement des lieux morts. Par une forte compétence de vie. Sa silhouette était ombragée dans les statues des arbres. Les scènes sombres qui meurent. L'évadé gisait inconscient d'elle-même dans l'obscurité silencieuse du manoir.
Los trozos de alma
miércoles, septiembre 14, 2022Los trozos de alma. Dormidos. Sobre la larga arena. Tomaran toda la memoria. Sujeta de la deriva. Sus estancias, sus orillas. Por error. Por la rama del dia. Sobre la rama ausente. La rama dorada de la inspiración. Siniestra figura del día. Mano blanda vigía. El homicida tal vez. Ocultado en el temprano árbol. El de los misteriosos símbolos. Sacerdocio de las ocultas reglas. Substituyéndose a los lugares muertos. Por fuerte habilidad de la vida. Se ensombrecía su figura en las estatuas de los árboles. Las escenas sombrías que mueren. La huida yacía inconsciente de sí misma en la silenciosa oscuridad de la mansión.
The sharp sound of the eyes. The brain full of thought gears. In that something that is existence. Feel of boxes. of resonances. Travel winds. Of the nude pass. Ever return, eternal. Walk. ever resumed. With the tips of the fingers. Which point to its consistency. Root always active. As asleep. In the long sleep of the earth.
Le son aigu des yeux. Le cerveau plein d'engrenages de pensée. Dans ce quelque chose qui est l'existence. Sensation de boîtes. de résonances. Vents de voyage. De la passe nue. Toujours revenir, éternel. Marche. jamais repris. Avec le bout des doigts. Ce qui témoigne de sa cohérence. Racine toujours active. Comme endormi. Dans le long sommeil de la terre.
El agudo sonido de los ojos. El cerebro lleno de engranajes de pensamiento. En ese algo que es la existencia. Sentir de cajas. De resonancias. Vientos de viaje. Del desnudo transcurrir. Alguna vez retorna, eterno. Andar. Retomado alguna vez. Con la punta de los dedos. Que apuntan su consistencia. De raíz siempre activa. Como dormida. En el largo sueño de la tierra.
Of little. From those. Of us. Our mouth like yours. No shared sadness. Without fair penalty. Always in his moments. It rumbles us. When it is said it takes us. Beyond the common wild. Without loving the destruction. In its unbearable break. In his blind hands. How not to see them cutting the hours! In this black land. Murals on which reality paints itself. It would be called a trip. Open wind. In front of that safe of the walls of the chest of the soul.
De peu. De ceux. De nous. Notre bouche comme la tienne. Pas de tristesse partagée. Sans peine juste. Toujours dans ses moments. Cela nous émeut. Quand c'est dit ça nous prend. Au-delà du sauvage commun. Sans aimer la destruction. Dans sa pause insupportable. Dans ses mains aveugles. Comment ne pas les voir couper les heures ! Dans ce pays noir. Des peintures murales sur lesquelles la réalité se peint. Cela s'appellerait un voyage. Vent ouvert. Devant ce coffre-fort des murs du coffre de l'âme.
De poco. De esos. De nosotros. Nuestra boca como tuya. Sin tristeza compartida. Sin justa pena. En sus momentos siempre. Nos retumba. Cuando se dice nos lleva. Más allá del común salvaje. Sin amar el destrozo. En su insoportable rotura. En sus manos ciegas. ¡Cómo no verlas cortando las horas! En esta tierra negra. Murales sobre la que la realidad se pinta sola. Se llamaría viaje. Viento abierto. Frente a esa caja fuerte de los muros del pecho del alma.
If one day from the say. From little. To be. You say: I will have. Before living. Towards life, years. With kisses as questions. They will be left without answers. In his broken pain. Taken to dark come. As if I had your smile on my lips. The sadness would lift me.
Si un jour à partir du dire. De peu. Être, vous dites : j'aurai. Avant de vivre. Vers la vie, les années. Avec des baisers comme questions. Ils resteront sans réponses. Dans sa douleur brisée. Pris à l'obscurité venir. Comme si j'avais ton sourire sur mes lèvres. La tristesse me soulèverait.
Si algún dia desde el dices. Desde el poco. Ser. Dices : tendré. Antes del vivir. Hacia la vida, años. Con besos como preguntas. Quedarán sin respuestas. En su roto dolor. Llevado al vienes oscura. Al si tuviera tu sonrisa en mi boca. Se me levantaría la tristeza.
In the present autopsy the breath of the soul was released. Enunciating the lived love. Day and night lasted a short time or a long time or perhaps they went unnoticed, innocent of their own absence, turbulent, devastating. And tell me if one day you say that we were carried away by the simple passing of events, like naive little lambs, "pastors" of wide deserts, dry oases, mirage dunes, and the deformed space expanding in a deep movement of sailing.
Dans la présente autopsie, le souffle de l'âme a été libéré. Énoncer l'amour vécu. Le jour et la nuit ont duré peu ou longtemps ou bien sont passés inaperçus, innocents de leur propre absence, turbulents, dévastateurs. Et dites-moi si un jour vous dites que nous avons été emportés par le simple passage des événements, comme des petits agneaux naïfs, "pasteurs" des vastes déserts, des oasis sèches, des dunes mirage, et l'espace déformé se dilatant dans un profond mouvement de voile.
En la presente autopsia se desprendía el vaho del alma
viernes, septiembre 09, 2022En la presente autopsia se desprendía el vaho del alma. Enunciando el amor vivido. Día y noche duraron poco o mucho o tal vez pasaron desapercibidos, inocentes de su propia ausencia, turbulentos, arrasadores. Y me dices si algún día dices que fuimos llevados por el simple transcurrir de los hechos, como corderitos ingenuos, “pastadores” de amplios desiertos, oasis secos, dunas espejismos, y el deformado espacio ampliándose en un profundo movimiento del navegar.
Like at all. That's where you wake up. For life, collected. For him we love each other, sustained. Devastated. Sometimes, in the doubt of hell. Or the sky of the body. His infinite receivers of suffering. They do not precipitate into stoic ataraxia. Even on rewind live like a hectic video scene that endlessly repeats itself out of pause control. The same fractions of seconds are repeated in the static date of passing.
Comme du tout. C'est là que tu te réveilles. Pour la vie, collectionné. Pour lui on s'aime, soutenu. Dévasté. Parfois, dans le doute de l'enfer. Ou le ciel du corps. Ses récepteurs infinis de souffrance. Ils ne précipitent pas dans l'ataraxie stoïque. Même en rembobinant en direct comme une scène vidéo trépidante qui se répète sans cesse sans contrôle de pause. Les mêmes fractions de secondes se répètent dans la date statique du passage.
Como del todo. En eso amaneces. Por la vida, recogidos. Por el nos amamos, sostenidos. Arrasados. A veces, en la duda del infierno. O el cielo del cuerpo. Sus infinitos receptores del sufrimiento. No precipitan en la estoica ataraxia. Incluso en el rebobinado vivir como una agitada escena de video que infinitamente se repite fuera de control del pause. Se repiten las mismas fracciones de segundos en la estática fecha del trascurrir.
I couldn't feel anything G. from Guinea flying over the empty Boston Bridge
miércoles, septiembre 07, 2022I couldn't feel anything G. from Guinea flying over the empty Boston Bridge. The waters were transferred to the deep ocean where the forms are blurred. That seems to be all: the rest? Things, present objects producing misunderstood perceptions. Without what do I experience? The dissolution of the causes. Hence the nonsense. When reality falls in thousands of divided drops on the tiles, it will remain scattered but the danger will be dissolved in its invisibility. That is why the aquatic current fails to represent it; and mixing remains as an insubstantial act.
Il n'a rien senti G. de Guinée en survolant le vide pont de Boston
miércoles, septiembre 07, 2022Il n'a rien senti G. de Guinée en survolant le vide pont de Boston. Les eaux ont été transférées dans l'océan profond où les formes se sont estompées. Cela semble être tout : le reste ? Choses, objets présents produisant des perceptions incomprises. Sans, qu'est-ce que c'est ce que j'éprouve? La dissolution des causes. D'où l'absurdité. Lorsque la réalité tombera en milliers de gouttes divisées sur les dalles, elle restera dispersée mais le danger se dissoudra dans son invisibilité. C'est pourquoi le courant aquatique ne le représente pas ; et le mélange reste un acte non substantiel.
No podía sentir nada G. de Guinea volando sobre el vacío puente de Boston
miércoles, septiembre 07, 2022No podía sentir nada G. de Guinea volando sobre el vacío puente de Boston. Se trasladaban las aguas al profundo océano donde las formas se difuminan. Eso parece ser todo: lo demás? Cosas, objetos presentes produciendo percepciones incomprendidas. Sin ¿qué es lo que vivencio? La disolución de las causas. De ahí el sinsentido. La realidad al caer en miles divididas gotas sobre las losetas quedará esparcido pero disuelto en su invisibilidad el peligro. Por eso la acuática corriente no consigue representarlo; y mezclarse queda como un acto insustancial.
Always always. So the day of love. It lifts us above the bodies of things. It links us to spirituality. As you know. In another place you prefer. Another day. Again. Maybe love tastes like grass. For omnivores. For the one who everything is mountain to the one who throws the house out the window in high-flying passion. Like the one who prefers the mess of the air. The hug mess. Of the steps. The door mess. The one with the rain of landscapes.
Toujours toujours. Alors le jour de l'amour. Elle nous élève au-dessus du corps des choses. Il nous relie à la spiritualité. Comme tu le sais. Dans un autre endroit que vous préférez. Autre jour. Encore une fois. Peut-être que l'amour a le goût de l'herbe. Pour les omnivores. Pour celui pour qui tout est montagne à celui qui jette la maison par la fenêtre dans une passion de haut vol. Comme celui qui préfère le désordre de l'air. Le bordel des câlins. Des marches. Le bordel de la porte. Celui avec la pluie de paysages.
Siempre Siempre. Así el día del amor. Nos eleva por encima de los cuerpos de las cosas. A la espiritualidad nos enlaza. Como bien sabes. En otro lugar prefieres. Otro día. Otra vez. Tal vez el amor sepa a hierba. Para omnívoros. Para el que todo es monte al que tira la casa por la ventana en pasión de altos vuelos. Como el que prefiere el lío del aire. El lío de los abrazos. De los pasos. El lío de las puertas. El de la lluvia de los paisajes.
He began to walk on all fours: on all fours from the bed of insomnia to the window of the gaze through which the voice entered. By the edges. It was sight. And heard. Smell. Voice. Crusaders. Hieroglyphs of the body. Beams of light Keys. Body composition. Their sounds and notes are recomposed. Like an atonal piece. The notes reappear every moment. Time is reborn. In his thin existence. Consubstantially empty. Time rises through its immateriality even in the distance to become an insensible cause.
Il se mit à marcher à quatre pattes : à quatre pattes du lit d'insomnie à la fenêtre du regard par laquelle la voix entrait. Par les bords. C'était la vue. Et la vue. Sentir. Voix. Croisés. Hiéroglyphes du corps. Faisceaux de lumière. Clés. La composition corporelle. Leurs sons et notes sont recomposés. Comme une pièce atonale. Les notes réapparaissent à chaque instant. Le temps renaît. Dans sa mince existence. Consubstantiellement vide. Le temps s'élève par son immatérialité jusque dans le lointain pour devenir une cause insensible.
Se puso a andar a cuatro gatas: a cuatro patas desde la cama del insomnio hasta la ventana de la mirada por donde entraba la voz. Por los bordes. Era vista. Y oído. Olor. Voz. Cruzados. Jeroglíficos del cuerpo. Haces de luz. Llaves. Del cuerpo composición. Se recomponen sus sonidos y notas. Como una pieza atonal. Reamanecen a cada instante las notas. Renace el tiempo. En su delgada existencia. Consustancialmente vacío. Se eleva el tiempo a través de su inmaterialidad hasta en la lejanía volverse causa insensible.
I don't know. It is not. To see. Scared empty bed. Leak impulse. Cross missing. Blind sleepers. In the fleeting void. Furious with waving arms. He moves like an Asian lightning bolt. He looked like the pupil of the rain of the high East. Where the sea does not sleep. In its embroidered border of the invisible thread that sustains the world. Whose reality no one dares to doubt.
Je ne sais pas. Ce n'est pas. Pour voir. Lit vide effrayé. Impulsion de fuite. Croix manquante. Dormeurs aveugles. Dans le vide éphémère. Furieux en agitant les bras. Il se déplace comme un éclair asiatique. Il ressemblait à l'élève de la pluie du grand Orient. Où la mer ne dort pas. Dans sa bordure brodée du fil invisible qui soutient le monde. Dont la réalité personne n'ose douter.
No sé. No es. Para ver. Asustada cama vacía. Impulso de fuga. Ausencia cruz. Dormidas ciegas. En el fugaz vacío. Furioso de agitados brazos. Se mueve como un asiático rayo. Miraba como la pupila de la lluvia del elevado Oriente. Donde el mar no duerme. En su bordado borde del invisible hilo que al mundo sostiene. De cuya realidad nadie osa dudar.
Returning as a stranger the feeling of the chest became a trip. I walk and wait. From the meeting, hands. From looking, space. And from where you make me history. In the path of blood. In the air that shortens the distance. Well, because of you I learned the place of names. The essence of things. What I will do today and tomorrow. Scattering fear. Leaving him between the awakening. Before the new days to come in germ.
De retour comme un étranger, la sensation de la poitrine est devenue un voyage. Je marche et j'attends. De la rencontre, les mains. Du regard, de l'espace. Et d'où tu me fais l'histoire. Dans le chemin du sang. Dans les airs ça raccourcit la distance. Eh bien, grâce à vous, j'ai appris la place des noms. L'essence des choses. Ce que je ferai aujourd'hui et demain. Dispersant la peur. Le laissant entre le réveil. Avant les nouveaux jours à venir en germe.
Al volver como desconocida el sentir del pecho se hizo viaje. Camino y espera. Del encuentro, manos. Del mirar, espacio. Y desde donde me haces historia. En el recorrido de la sangre. En el aire que acorta las distancia. Pues por ti aprendí el lugar de los nombres. La esencia de las cosas. Lo que haré hoy y mañana. Desparramando al miedo. Dejándolo entre el despertar. Ante los días nuevos por venir en germen.