La vie plie les yeux à la douleur

De chaque côté du monde du champ de l'amour. Les heures tristes, vous font fou comme la rue sinistre, avec ses stations arbitraires, maintenant froid, rien maintenant, et leurs heures de caoutchouc, et leurs rayons chauds. Vous savez que cela est une éclipse, un temps du scintillement inconscient. La vie plie les yeux à la douleur. Il est une nuit, aveugle, sans rancœur. Il est un me voir et se cacher pour drainer le coup de la terreur. Il regarde comme vous regardez l'autre que n'existe pas. Le terrible vous désincarne les yeux, l'image terne ou couleur, multilocale, que lie l'angoisse à tous les points de l'espace.